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  • Hulot est un médiocre et un fou, ça tout le monde le savait ! Voici qu' il propose aujourd'hui un totalitarisme vert pour remplacer le totalitarisme communiste ...

    Pour Lénine, tous les moyens sont bons pour que la critique du capitalisme et l’avènement du communisme, tels que proposés par Marx, soient suivis d’effet. Au prix de la terreur et la violence, il faut se débarrasser des classes qui « exploitent le peuple » et instaurer la dictature du prolétariat. Il faut, d’abord, faire table rase du passé et planifier la nouvelle « société socialiste multilatéralement développée ». Ce que veut Lénine en 1917, c’est un nouveau monde qui serait, forcément, le « paradis sur terre » pour le peuple. Ces belles promesses ont entraîné des événements parmi les plus tragiques de l’Histoire et, pourtant elles font toujours rêver.

    C’est le cas, entre autres, de l’ancien ministre Nicolas Hulot qui, depuis qu’il a quitté ses fonctions, semble avoir passé la plus grande partie de son temps à potasser les classiques du totalitarisme.

    Dans un document publié mardi 5 mars dans le journal Le Monde, Messieurs Hulot et Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT, affirment ne plus vouloir de la société actuelle ! ...

    Au nom de la lutte contre les « injustices et les inégalités » (c’est ce qu’invoquait Lénine aussi), ils proposent, comme l’auteur de « Que faire ? », un modèle tout neuf qu’au travers d’un « nouveau pacte politique, social et écologique », ils définissent comme « un pacte pour l’humain et pour l’humanité (…). Un pacte du pouvoir de vivre, aujourd’hui et demain, dans la dignité et le respect, un pacte qui nous engage tous ». Rien de moins que le paradis sur terre ! Une terre, bien entendue, transformée, parfaite, débarrassée de toutes les impuretés, « avec comme exigence centrale la préservation de l’environnement et des conditions de vie futures de l’humanité » telle la « société purifiée » dont rêvait Lénine.

    Ce Pacte contient 66 propositions qui font froid dans le dos.

    Au nom de l’écologie, du bien-être et de l’égalitarisme, il envisage l’étatisation et la confiscation de nos libertés au profit de ceux qui ont décrété que la réalité serait conforme à leurs convictions et nous disent comment doit fonctionner le monde.

    Ces nouveaux bolcheviks de l’écologie veulent contrôler les loyers et les logements, grandes obsessions socialistes qui débouchent forcément sur la hausse des prix et la spoliation des propriétaires.

    Ils veulent « Faire reculer le poids de l’appartenance sociale sur la réussite scolaire » et « Investir dans les politiques publiques d’éducation populaire » ! Qu’est-ce que « l’éducation populaire » ? C’est simple, demandez à Lénine ! lls proposent de « Développer une culture d’écoute des aspirations individuelles dans l’éducation, l’orientation et la formation tout au long de la vie. » Magnifique ! Cela ressemble aux réunions du parti auxquelles étaient obligés d’assister les ouvriers pour mieux les soumettre.

    Le travail doit changer aussi. Il sera « émancipateur ». Sous la surveillance de l’Etat (du parti ?) en « généralisant la qualité de vie dans les entreprises », en « faisant évoluer automatiquement la grille salariale… » ! Par directive du Politburo ?

    Bien sûr, il faut plus de « maisons de services au public » et il est impératif de prendre en charge les jeunes avec la « garantie jeune universelle », ainsi que les retraités avec une pension assurée.

    Vive les contrôles, les taxes, les impôts et…les « kolkhoses »

    L’Etat ou le parti vont s’assurer que les discriminations disparaîtront en mettant en place une « politique nationale de lutte contre les discriminations ». Pourquoi pas un programme de psychanalyse nationale ? L’économie et la finance doivent être « responsables » (sous le contrôle des soviets ?). Dans les kolkhoses, tout le monde était « responsable », à tel point que les produits manquaient et la famine revenait régulièrement.

    Bien entendu, il faut « taxer » et aussi garder un œil vigilant sur les ennemis de classe, les patrons, dont « la rémunération variable [...] doit être adossée à la performance sociale et environnementale, et pas seulement financière ». Toujours les concernant, il faut « Plafonner les rémunérations des dirigeants d’entreprise, et encadrer les écarts entre les plus hautes et les plus basses rémunérations ».

    Encore plus d’impôts progressifs, encore plus de taxes sur le patrimoine, « instaurer une fiscalité sociale et écologique » et « concevoir, piloter et évaluer les politiques économiques en fonction de leur impact sur la qualité de vie, la justice sociale, la réduction des inégalités, l’usage sobre des ressources et leur capacité à favoriser des emplois de qualité ». Qui décide des « emplois de qualités » Les nouveaux apparatchiks de l’écologie ?

    Tant qu’on y est, il faudra aussi « Rendre obligatoire la négociation dans les entreprises sur leur « raison d’être » » ou « Faire participer tous les salariés à la définition de l’agenda social dans l’entreprise, à l’initiative des institutions représentatives du personnel ». C’était le rôle des commissaires du peuple en URSS ! « Tout le pouvoir aux Soviets ! », demandait Lénine.
    On pourrait en rire si ce n’était pas si inquiétant. Monsieur Hulot et ses comparses veulent nous imposer une société écologique multilatéralement développée, une nouvelle URSS dans laquelle la dictature des écologistes remplace celle du prolétariat.

    Lénine n’avait jamais travaillé et pourtant il pensait savoir mieux que tous ce qui est bon pour le prolétariat.

    Selon sa déclaration du patrimoine, Monsieur Hulot ne possède pas moins de sept voitures dont des 4X4. Sait-il vraiment ce que c’est que l’écologie ? Ce type est un hypocrite et un fou à enfermer ou à exiler ! ...

     

  • Honneur au Colonel Jean-Marie Bastien-Thiry !

     

     
    Rendons un hommage tout particulier au Colonel Jean-Marie BASTIEN-THIRY, héros et martyr de la Patrie, fusillé il y a aujourd’hui 56 années, le 11 Mars 1963.

    Jean-Marie BASTIEN-THIRY était Lorrain, polytechnicien, Lieutenant-colonel dans l’Armée de l’air et l’inventeur de deux missiles antichars, les SS-10 et SS-11. Il avait 36 ans et laissait une veuve et trois petites orphelines.
    Organisateur de l’opération du Petit-Clamart, le Colonel Jean-Marie BASTIEN-THIRY aura tout sacrifié, sa famille et sa vie, pour l’honneur de la France. Il nous a laissé, en versant son sang, un message, un exemple à méditer, à admirer et à suivre.

     

    Alors que les tireurs du Petit-Clamart seront graciés par De Gaulle, celui-ci refusera d’accorder sa grâce au Colonel BASTIEN-THIRY.

    Jean-Marie BASTIEN-THIRY était l’exemple parfait du dévouement, du courage, de l’abnégation, du don de soi et du sacrifice de sa vie pour la Patrie. Il est l’honneur de l’Armée Française.

     

    Homme de Foi, grand Catholique, il mourra comme un saint, marchant vers le peloton d’exécution son chapelet à la main, après avoir entendu la Messe. Refusant d’avoir les yeux bandés, il regardera la mort droit dans les yeux avant de pouvoir contempler ensuite la Vie éternelle. Il sera le dernier condamné à mort à avoir été fusillé en France.

    Assassiné sur ordre de celui qui aura trahi l’Algérie Française et livré des dizaines de milliers de Harkis et Pieds-noirs aux tortures les plus innommables des bouchers fellouzes du FLN, le Colonel Jean-Marie BASTIEN-THIRY demeure un Français modèle, un héroïque soldat dont le nom restera pour toujours inscrit sur le Martyrologe de notre pays.

    Que Jean-Marie BASTIEN-THIRY repose en paix, aux côtés de tous les Morts pour la France, dans le Paradis des Héros, des Martyrs et des Soldats.

     

  • Déchristianisation de l’Europe : le diocèse d’Utrecht met en vente sa cathédrale !

     

     

    Églises et sanctuaires catholiques en ruine, ou en vente sont légion en Europe. Ce processus témoigne de la déchristianisation avancée d’une Europe post-moderne matérialiste et nihiliste, ayant perdu ses repères spirituels et identitaires, et de la faillite d’une Église conciliaire qui se veut avant tout, depuis Vatican II, ouverte à l’homme moderne et aux fausses reigions .

    Cette crise de la foi, dont ce dernier concile fut un des déclencheurs, bouleverse le paysage européen : les églises deviennent des boites de nuit, des restaurants à la mode ou des musées reliquaires d’une foi sous naphtaline et perçue par la majorité comme un folklore d’antan pedant que les mosquées pullulent ...

    Le dernier cas emblématique de cette déchristianisation vient de Hollande : l’archidiocèse le plus grand des Pays-Bas, celui d’Utrecht, a décidé de mettre en vente directement sa cathédrale ! Pour la curie locale, l’église de Sainte Catherine coûte trop cher : les bancs restent désespérément vides, les offertes quasi inexistantes, et maintenant le diocèse ne peut plus se permettre l’entretien de son édifice religieux le plus symbolique. Ainsi cette église qui depuis 1560 représente le cœur du diocèse d’Utrecht et qui est devenue cathédrale en 1853, risque de fermer définitivement ses portes, vendue comme un bien superflu.

    Un bien superflu valant 1 euro ! Parce que, non content de se défaire du patrimoine religieux et culturel de son diocèse, l’évêque à sa tête, Mgr Wim Eijk voudrait la céder pour cette somme symbolique au Museum Catharijne Convent qui la jouxte. Un édifice qui a eu une histoire semblable à celle que pourrait connaître la cathédrale, étant donné que de couvent il s’est transformé en galerie d’art.

    Malgré pétitions, courriels, lettres, et tam-tam sur les réseaux sociaux, Mgr Eijk ne veut pas changer d’avis : la cathédrale, témoin de siècles de foi catholique dans un monde protestant, sera vendue un point c’est tout. Et tant pis pour la symbolique d’un tel geste.

    L’Église conciliaire concourt ainsi à l’apostasie silencieuse du troupeau catholique, plus largement à la déchristianisation et sécularisation d’une Europe en crise d’identité spirituelle, charnelle, culturelle et surtout à la perte des âmes .

    Francesca de Villasmundo