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  • Macron bâcle les commémorations du centenaire de la Grande Guerre pour lancer ses projets de gouvernance mondiale !

     

     

    Emmanuel Macron était doué pour la comédie si l’on en croit les témoignages de ses condisciples lorsque Brigitte était son enseignante et qu’ils travaillaient ensemble à un projet théâtral...

    C’est sans doute ce qui explique l’air solennel qu’il peut prendre durant ses visites sur les lieux les plus marquants des combats de la Première Guerre mondiale en France, comme aux Eparges, commune de la Meuse qu’il a visitée avec son maire, le Colonel Xavier Pierson, ancien directeur du Mémorial de Verdun.

     

    Mais le même Emmanuel Macron a choisi la date ô combien symbolique du 11 novembre 2018 pour ouvrir à Paris un Forum dont l’objectif est la mise en place de la gouvernance mondiale !

    Sous le nom passe-partout de Forum de Paris sur la paix, c’est bel et bien le Nouvel Ordre Mondial qui se dessine.

    Et pour qu’on ne vienne pas dire que nous exagérons, concentrons-nous simplement sur ce que chacun peut lire sur le site web officiel de ce Forum.

     

    « Le premier Forum de Paris auquel nous vous inviterons le 11 novembre prochain sera aussi l’occasion de réfléchir à l’organisation du monde en marge des commémorations de la fin de la Grande Guerre pour bien souligner quelle est notre responsabilité collective à nous qui devrions savoir mieux que tous nos prédécesseurs ce qui a conduit l’humanité au malheur dans le passé et ce qui pourrait causer sa perte à l’avenir. »

    Emmanuel Macron, le 4 janvier 2018

     

    Autre extrait :

    Le Forum de Paris sur la Paix est une organisation indépendante dont l’initiative a été lancée par le président Macron au cours de l’été 2017. La première édition du Forum de Paris sur la Paix se tiendra du 11 au 13 novembre 2018 à La Grande halle de La Villette à Paris. Elle sera inaugurée par les chefs d’État et de gouvernement des pays invités par le président de la République française à la suite des commémorations du centenaire de la Première Guerre mondiale.

    Présentation des lieux :

    L’espace des débats : des idées et initiatives y seront discutées et développées dans des formats de discussion innovants pour aboutir à des conclusions opérationnelles.

    L’espace des solutions : des projets de gouvernance mondiale y seront présentés par des organisations et des individus qui ont été retenus à la suite d’un appel à candidatures.

    L’espace de l’innovation : un hackathon portant sur la transparence des données financières y sera mené en collaboration avec des challengers et des mentors.

    Et lorsque le lecteur clique sur projets de gouvernance mondiale, il peut lire :

    Le Forum de Paris sur la Paix est la plateforme annuelle des projets de gouvernance mondiale. Conçue comme une réponse aux tensions croissantes dans le monde contemporain, il est fondé sur la conviction qu’une paix durable ne peut être atteinte que par une coopération transnationale. Le Forum de Paris sur la Paix vise ainsi à être le lieu de toutes les solutions de coopération dans les domaines de la paix et de la sécurité, de l’environnement, du développement, des nouvelles technologies et de l’économie inclusive. Chaque année, il convoquera jusqu’à 20 000 personnes issues de la politique, de l’économie, des universités, des médias et de la société civile pour discuter et faire progresser les projets de gouvernance dans ces domaines.

    Le Comité de sélection du Forum de Paris sur la Paix a reçu près de 900 candidatures issues de 116 pays. Parmi celles-ci, 119 projets ont été sélectionnés pour être présentés dans le cadre de la première édition du Forum de Paris sur la Paix qui se déroulera du 11 au 13 novembre 2018 à La Grande Halle de La Villette à Paris.

    Pour les porteurs de projet sélectionnés c’est l’occasion unique de rencontrer des acteurs de la gouvernance mondiale, de faire connaître et de discuter de leurs idées avec des "experts" ou des "décideurs" et de faire avancer leurs initiatives.

    Le Comité de sélection a étudié toutes les candidatures et a fait son choix au regard de la qualité des projets ainsi que d’une représentation géographique équilibrée. Les porteurs de projet sélectionnés représentent les acteurs clés de la gouvernance mondiale, notamment les organisations internationales ainsi que la société civile et, plus particulièrement, les ONG, les fondations, les think tanks, les universités et les entreprises.

    C’est Jacques Attali et les loges qui doivent être fiers de leur Macron! ...

     

    Aussi est' il est souhaitable que les français manifestent massivement samedi 17 novembre :

    Le 17 novembre, nouvelle opposition entre pays réel et pays légal

    Après les “bonnets rouges”, voici les “gilets jaunes” qui appellent à une action de résistance au racket organisé par le gouvernement. Nous voici devant une nouvelle illustration concrète de la fameuse opposition entre pays réel et pays légal.
    C’est qu’il faut en avoir conscience, l’Etat républicain (le pays légal) est intrinsèquement antagoniste aux intérêts du pays réel.


    L’Etat républicain pratique la préférence étrangère au détriment des Français.


    L’Etat républicain organise la destruction de la Famille, cellule de base de la société.


    L’Etat républicain, foncièrement maçonnique, combat le christianisme, la foi du pays réel indispensable au salut de la France.


    L’Etat républicain est soumis aux forces occultes, aux lobbies cosmopolites et à leurs puissances d’argent apatrides.


    L’Etat républicain est le vassal du Nouvel Ordre Mondial.


    L’Etat républicain se maintient par le totalitarisme démocratique.

     

     

     

     

  • Verdun Merci Pétain .

     

     

    En ce jour de la commémoration du centenaire de l’armistice du 11-novembre, certains ont eu le courage de célébrer, à leur manière, la belle figure du maréchal Pétain, le grand vainqueur de Verdun.

    Ainsi la courageuse ancienne conseillère régionale pour le Front national, madame Claudine Dupont-Tingaud, a brandi, lors des cérémonies à Quimper, une pancarte sur laquelle était inscrit « Verdun merci Pétain ».

    Malheureusement, pas pour très longtemps. Rappeler la réalité historique et l’hommage sincère que devraient rendre tous les Français au maréchal Pétain pour son rôle essentiel dans la fin de la Grande Guerre est aujourd’hui un crime de l’historiquement incorrect ! Pétain est décrit comme un paria par les falsificateurs de l' histoire et doit le rester, même au prix des pires contradictions et négations historiques… Aussi, dès qu’une policière en civil a aperçu le message, elle a donc confisqué l’affiche !

    Car nos politiciens mondialistes le savent, et Georges Orwel l’a si bien diagnostiqué en quelques formules-choc :

    Le moyen le plus efficace de détruire les gens est de nier, puis d’anéantir, la compréhension qu’ils ont de leur histoirecar “qui contrôle le passé contrôle le futur . . .” et “ qui contrôle le présent contrôle le passé”…

     

  • Avenir du diesel en France.

    Voilà des mois que l'avenir du diesel est un sujet qui agite la planète automobile. Image écornée par les scandales, restrictions de circulation dans les zones urbaines, clients qui ont pris conscience d'une difficulté à rentabiliser le surcoût à l'achat : pas besoin de boule de cristal pour savoir que le futur de ce type de motorisation est sombre. Le déclin est déjà bien amorcé, avec une part de marché du diesel qui a fondu en quelques années.

    En France, un tournant plus que symbolique est en train d'avoir lieu et semble sonner le glas pour le diesel. Désormais, dans des stations aux quatre coins du pays, le gazole est plus cher que l'essence ! Un croisement des prix qui devrait perdurer et se répandre très rapidement, car le litre gazole sera augmenté au 1er janvier de 6,9 centimes de taxes, contre 3,5 centimes pour l'essence. Le diesel semble déjà condamné. Il est vrai qu'à présent, à part les très gros rouleurs, on se demande qui peut en avoir besoin.

    Encore présent dans les catalogues

    Quand on regarde l'offre, on se dit qu'il y a pourtant de la demande. Certes, des constructeurs ont pris les devants, abandonnant quasiment le diesel : Lexus, Toyota, Porsche… Mais le diesel fait de la résistance dans les gammes. Exemple avec ce qu'il se passe chez Skoda en ce moment. Alors qu'il a stoppé le TDI pour la Fabia, le tchèque vient d'annoncer que sa prochaine compacte, la Scala, sera proposée avec un 1.6 TDI 115 ch. On note quand même que ce sera la seule offre diesel pour la remplaçante de la Rapid, qui proposera par ailleurs trois blocs essence de 95, 115 et 150 ch. Chez Renault, l'Espace vient de troquer son 1.6 dCi pour un nouveau 2.0 dCi, avec une puissance inédite pour le modèle, 200 ch. La nouvelle 508 a été lancée avec des BlueHDi de 130, 160 et 180 ch. Le nouveau SUV urbain de Volkswagen, le T-Cross, a aussi le droit à son TDI. On se dit que c'est donc reparti pour un tour !

    Des marques ont dit stop, d'autres y croient

    On peut toutefois avoir le sentiment d'être dans une période de transition, d'entre deux, avec un diesel qui a une espérance de vie à court terme. L'incertitude domine. Jean-Philippe Imparato, patron de Peugeot, déclarait récemment à nos confrères du Monde : "Bien malin celui qui pourrait prévoir ce que sera sa part en Europe dans cinq ans. 10 % ou 30 % ? On n’en sait rien et, en plus, la répartition risque d’être différente selon les zones géographiques". Le Lion a toutefois reconnu que le 1.5 BlueHDi serait le dernier bloc diesel mis au point par le groupe. Il n'y aura plus d'investissement lourd pour le HDi donc. Mais les 1.5 et 2.0 BlueHDi, ultra modernes, sont en mesure d'avoir une longue vie !

    Mercedes croit en l'avenir du diesel sur les gros modèles. Le nouveau GLE pourra donc rouler au gazole.
    Mercedes croit en l'avenir du diesel sur les gros modèles. Le nouveau GLE pourra donc rouler au gazole.

    D'autres patrons sont plus directs. Dieter Zetsche, à la tête de Daimler, ne cesse de renouveler sa confiance en ce type de moteur. Il l'a encore fait le mois dernier au Mondial de l'Automobile. Lors d'une conférence de presse avec Carlos Ghosn, il a déclaré : "je suis certain que les moteurs diesels auront un avenir", précisant toutefois qu'il y a une différence de traitement par segment. En clair, le diesel est condamné pour les citadines, mais a un futur pour les grands modèles. Il explique que la dépollution a un coût qui n'est pas rentable sur les petites autos, mais l'est toujours pour le reste.

    Un constat partagé sur le moment par Carlos Ghosn, qui a déclaré "Il y a de nombreux segments où le diesel aura un avenir, les utilitaires légers ainsi que les segments supérieurs". Le PDG de Renault a toutefois avoué que son groupe doit s'adapter au déclin du diesel car il est plus concentré sur les citadines. Dieter Zetsche résume le tout avec un constat : c'est plus une question économique qu'écologique, car côté pollution, le diesel est quasiment au même niveau que l'essence.

    L'avantage CO2

    Pour l'instant, le diesel sauve la mise grâce à un avantage : il émet moins de CO2 que l'essence classique. Et le dioxyde de carbone reste pour nos dirigeants politiques, aussi bien en France qu'en Europe, le maître étalon de la pollution. Ce qui n'est pas la meilleure des idées pour certains, car le CO2 n'est pas un gaz polluant, mais un gaz à effet de serre. Les plus grosses contraintes pollution en Europe restent donc basées sur le CO2. L'UE souhaite une baisse de 15 % des rejets de CO2 d'ici 2025 et de 30 % en 2030.

    Pour remplir les objectifs sévères, les constructeurs vont surtout électrifier leur gamme. L'hybride rechargeable et le 100 % électrique vont se développer à grande vitesse à partir de 2019/2020 et ce bien que ne répondant aucunement aux besoins des gros rouleurs (faible autonomie, consommations importantes sur autoroutes, technologies de fabrication et recyclages pas du tout écologiques ...). 

    Aussi, le temps que cela ait un vrai effet sur les moyennes de CO2 des constructeurs, le diesel restera bien utile. Voilà qui pourrait lui donner un sursis.

    Certains pointent toutefois du doigt l'oxyde d'azote (NOx), un gaz polluant, néfaste pour la santé. C'est avec les NOx que le Dieselgate a éclaté et ils servent d'argument anti-gazole. Il est vrai que le scandale a mis au jour des triches et arrangements, donnant des véhicules qui dans la réalité rejettent des quantités de NOx bien loin des normes. Mais l'homologation va bientôt généraliser le test en conditions réelles RDE, qui empêchera toute triche.

    D'ailleurs, selon l'Adac (l'automobile club allemand), les meilleurs diesels Euro 6 émettent jusqu’à 99% moins de NOx que les diesels de générations précédentes ! Erik Jonnaert, le secrétaire général de l'ACEA est clair : il en a marre de la diabilisation du diesel dans son ensemble, "Nous devons différencier l’ancien parc diesel et la dernière génération de véhicules".

    Une technologie pour sauver le gazole ?

    Les diesels ne seront donc pas plus polluants que les essences. Et Bosch est même en passe de les rendre quasiment propres ! L'équipementier a révélé qu'il travaillait à la mise au point d'une nouvelle technologie qui pourrait "diminuer drastiquement" les émissions de ces moteurs grâce à une évolution "majeure". Un prototype de Golf n'a rejeté que 13 milligrammes d'oxydes d'azote par kilomètre lors d'un test en condition réelle, soit tout juste un dixième du seuil qui sera applicable à compter de 2020. De quoi sauver le diesel pour l'équipementier, car il n'y aurait pas de surcoût important, les ingénieurs ayant perfectionné la technologie existante. Le nouveau système serait prêt pour 2020 et compatible avec les nouveaux blocs Euro 6d dotés d'un système de traitement des NOx avec AdBlue.

    Bosch, par qui le scandale est arrivé, n'abdique pas et continue de travailler sur le diesel.
    Bosch, par qui le scandale est arrivé, n'abdique pas et continue de travailler sur le diesel.

    Mais n'est-ce pas trop tard ? À cette question, Bosch n'hésite pas à répondre : "Avec notre avancée technologique, nous sommes certains qu’à l’avenir, personne ne pourra imposer aux véhicules diesel une interdiction globale de circuler en ville. Le diesel aura toujours sa place dans le trafic urbain, que ce soit pour les artisans ou les banlieusards."

    Un gouvernement qui répond déjà non !

    Si Bosch parvient à ses fins, on aurait donc un diesel qui émet toujours moins de CO2 qu'un essence et qui en plus est au top en matière de rejets de NOx. Pourquoi donc en finir ? Le problème, c'est que la technologie a beau avoir progressé, les normes avoir été rendues plus sévères, pour les différentes majorités au pouvoir, c'est simple : le diesel, c'est polluant, il faut donc en finir. Et il est mission impossible de les faire changer d'avis, même avec les arguments les plus logiques.

    Évidemment, le discours est souvent plein d'erreurs.  Il n'y a donc sur ce point aucun intérêt à mettre fin au gazole si dans le même temps on autorise encore l'essence ! En revanche, il est vrai qu'il est nécessaire de chasser de nos routes les plus vieux modèles, dépourvus notamment de filtre à particules. La prime à la casse remplit parfaitement son rôle pour cela. On note le paradoxe sur le fait que celle-ci s'applique aussi sur des modèles neufs et occasion diesel ! Un paradoxe qui va de pair avec un bonus qui favorise toujours le diesel.

    On aurait d'ailleurs pu gagner du temps et répondre très vite "non" à la question posée ici "le diesel peut-il être sauvé ?". Les derniers gouvernements ont décidé de mettre fin à la domination diesel, en s'attaquant à son avantage fiscal à la pompe. Et aucune marche arrière n'est à espérer. Macron qui on le sait est aux ordres du GIEC ... vient de déclarer qu'il assume la hausse de la fiscalité sur le gazole et ne compte pas céder !

    Le diesel sauvé pour éviter une casse sociale ?

    Le levier fiscal ne peut donc qu'étouffer le diesel. Le seul argument qui pourrait entraîner une inflexion, c'est le chantage à l'emploi. Car le diesel est une filière qui fait travailler beaucoup de monde. On en revient d'ailleurs à Bosch qui a une usine spécialisée dans le gazole en France, à Rodez. 1 600 personnes y travaillent. Cet été, un accord a été signé entre les syndicats et la direction. La société va investir 14 millions d'euros pour moderniser une ligne de production d'injecteurs pour bloc diesel. Mais si Bosch s'est engagé à diversifier l'activité à Rodez, il a été clair : à court terme, des recours au chômage partiel sont nécessaires à cause la chute des ventes du diesel. Et si celle-ci s'accélère, l'usine pourrait vraiment être remise en cause.

    Au final : le diesel a encore de beaux jours devant lui

    Ce type de moteur n'a plus rien à se reprocher en terme de pollution grâce aux normes et tests de mesures plus sévères. Et technologiquement, il est prêt à être encore amélioré. Mais en France, nos politiques aux ordres des mondialistes sont en guerre contre le diesel. Dès septembre 2017, Carlors Tavares, patron de PSA, résumait toute la situation en une phrase : "Le diesel a gagné la bataille technologique, mais perdu la bataille politique".

    Le but du gouvernement est de remettre le diesel à sa place, c’est-à-dire un carburant pour les très gros rouleurs Le diesel pourrait donc très rapidement tomber autour de 20 % de part de marché chez nous. Un rééquilibrage nécessaire. La vraie fin ne serait donc pas proche.

    Mais elle peut devenir une réalité pour une autre raison : les interdictions de circulation dans les métropoles. Celles-ci pousseront des pros à abandonner le diesel pour éviter les restrictions et continuer à se déplacer librement. Par exemple, le Grand Paris bannira tous les diesels, même modernes, en 2024 !

    Avec une baisse de la demande, les constructeurs vont réduire leur offre et ne devraient plus invertir, surtout que le diesel n'avait d'intéret que pour le marché européen. Un cercle vicieux donc.