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  • Tandis que Castaner accuse les Gilets Jaunes d’alimenter le terrorisme, Macron visite le quartier islamiste belge d’où vient Salah Abdeslam ! ...

     

    BREIZATAO – POLITIKEREZH (20/11/2018) Alors que le ministre de l’Intérieur français, Christophe Castaner, accuse le mouvement des Gilets Jaunes de « favoriser le terrorisme », le président français était en déplacement… à Molenbeek, une enclave musulmane de Bruxelles connue pour avoir protéger Salah Abdeslam, djihadiste des attentats du Bataclan.

    Marianne (source) :

    Haro sur les gilets jaunes. Invité ce mardi 20 novembre de la matinale de France 2, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a dénoncé la « dérive totale d’une manifestation qui pour l’essentiel était bon enfant samedi »Et de marteler : « On voit qu’on a une radicalisation, avec des revendications qui ne sont plus cohérentes, qui vont dans tous les sens ». La veille déjà, le fidèle parmi les fidèles d’Emmanuel Macron n’avait pas hésité à pointer la responsabilité des gilets jaunes, qui monopolisent des effectifs de police, en cas… d’éventuelle attaque terroriste.
    Alors « que notre pays doit faire face à des risques sécuritaires majeurs, dont le risque terroriste qui est toujours présent, a-t-il ainsi lancé lors d’une conférence de presse lundi soir, il faut avoir en tête que la mobilisation massive de nos forces de sécurité a aussi un effet sur notre capacité à intervenir sur d’autres sites du territoire »… En clair, le risque d’attentat est décuplé par les manifestations des gilets jaunes.

    Emmanuel Macron, qui a quitté la France samedi au début du mouvement, n’a pas daigné répondre aux centaines de milliers de personnes mobilisées.

    Il était aujourd’hui à Bruxelles où il a longuement vanté l’enclave musulmane de Molenbeek, connue pour sa radicalisation islamique.


    Une réalité notoire, toujours d’actualité.

    C’est de cette ville que venait le commando djihadiste qui a tué près d’une centaine de personnes au Bataclan et également c’est là que s’est replié pendant 4 mois le djihadiste Salah Abdeslam, protégé par la population musulmane locale.

     

    Il semble donc que le mouvement populaire des Gilets Jaunes, opposé au racket fiscal gouvernemental piloté depuis Paris, représente un « danger terroriste » plus grand que les islamistes voulant passer à l’action armée dont le nombre est évalué à près de 20,500 en France (lire ici).

    C’est une augmentation de 2,000 activistes liés à la mouvance terroriste islamique en une seule année (source).

     

  • Non, le Philippe Pétain de 1940-45 ne fut pas un autre homme que celui de 1914-18 .

     

     

     


    La semaine avant la commémoration de la victoire de 1918, au cours de son “itinérance” dans le nord-est de la France, où il a parlé dans une atmosphère parfois houleuse, de toutes sortes de sujets, dont on ne saurait donner la liste à la Prévert, du prix de l’essence au pouvoir d’achat des retraités et à l’avenir de telle industrie, Emmanuel Macron a osé reconnaître que Philippe Pétain avait été « un grand soldat » en 1914-18 ; audacieux mais non téméraire, le président de la république a vite reculé devant le chahut déclenché par les ligues de vertu “bien-pensantes”, progressistes, maçonniques et juives.

     

    Le mal français

     

    En fait, évoquer, de quelque manière que ce soit, ce soldat autour duquel se crispent encore tant d’incompréhensions, tant d’idées fixes et tant de haines n’est pas « politiquement correct ». Pour notre pays, ce n’est pas un signe de bonne santé nationale que de ne pas pouvoir regarder son Histoire en face, sans qu’une partie se croie tenue de montrer du doigt et de culpabiliser l’autre partie.

    L’Histoire mal connue divise et l’Histoire examinée sans œillères rassemble. C’est à un effort d’objectivité que le président, s’il avait été lui-même un “grand” président, aurait dû convier les Français pour triompher des conditionnements que ne cessent d’imposer ceux qui entretiennent de vieux clivages. Si sa reconnaissance des mérites du général Pétain en 1916 avait été autre chose qu’un discours de circonstance, Emmanuel Macron aurait été logique avec lui-même en annonçant, en ce grand jour du Onze novembre, que les cendres de celui qui devint ensuite Maréchal de France seraient transférées sous peu à Douaumont où son âme n’a jamais quitté celles de ses Poilus.

    En la circonstance, Emmanuel Macron s’est montré aussi pusillanime que ses prédécesseurs de la Ve république. Et la France va continuer de s’enfoncer dans les divisions et dans la haine…

     

    Magnanimité

     

    Philippe Pétain fut, certes, le vainqueur de Verdun, la plus grande des batailles jamais disputées et remportées par les armées françaises. Il fut alors le sauveur par les dispositions tactiques qu’il imposa, mais surtout par ses qualités de chef qui permirent à ses combattants de supporter, dix mois durant, leurs indicibles souffrances physiques et morales. Placé en mai 1917 à la tête des armées françaises dont le moral était gravement atteint lors de vaines offensives, il enclencha un redressement par son autorité naturelle, son attachement à ceux qu’il commandait et le respect qu’il portait à leurs vies. Sans lui, l’armée n’aurait pas surmonté la crise de 1917. C’est ainsi que les batailles décisives de 1918 purent être préparées. Sa stratégie défensive lui avait permis de constituer une réserve générale grâce à laquelle les armées alliées firent face aux ultimes offensives allemandes, notamment à la deuxième bataille de la Marne dont l’issue victorieuse ouvrit le chemin de la victoire, car le général Pétain, contrairement au maréchal Foch qui se serait lancé dans des élans offensifs risqués, avait su attendre les Américains et les chars, sans oublier d’employer massivement les forces aériennes.

    Quant il fallut, après l’Armistice, pour mieux dicter la paix, porter nos armées en pays allemand, Philippe Pétain signa un Ordre général adressé aux armées françaises, où l’on pouvait lire : « Vous ne répondrez pas aux crimes commis par des violences qui pourraient vous sembler légitimes dans l’excès de vos ressentiments. Vous resterez disciplinés, respectueux des personnes et des biens : après avoir abattu votre adversaire par les armes, vous lui en imposerez encore par la dignité de votre attitude et le monde ne saura ce qu’il doit le plus admirer : de votre tenue dans le succès, ou de votre héroïsme dans les combats. »

    Ces nobles paroles sont à rapprocher de celles du grand Condé qui, à Rocroi, en 1643, alors qu’il n’était encore que Louis de Bourbon, duc d’Enghien, âgé de vingt et un ans, calma la fureur des siens contre les courageux bataillons de tercios espagnols qui avaient ouvert le feu par surprise. Philippe Pétain aimait citer cet exemple qui figure dans la célèbre Oraison funèbre du prince de Condé par Bossuet, évêque de Meaux. On peut aussi penser à Louis XV, disant au dauphin, le soir de la bataille de Fontenoy (1745) devant le champ de bataille jonché de cadavres : « Voyez, mon fils, ce que coûte un triomphe. Le sang de nos ennemis est toujours le sang des hommes ; la vraie gloire, c’est de l’épargner ! » Philippe Pétain était de la trempe de ces grands hommes de guerre pour lesquels l’honneur de pardonner le disputait à l’honneur de vaincre. Le souvenir de ces sages instructions données en 1918 à nos troupes d’occupation allait certainement contribuer, en 1940, à la décision allemande de nous accorder l’armistice demandé par le maréchal Pétain.

    Contrairement à ce que pense notre ignare de président, le Pétain de 1918 n’était pas un autre homme que celui de 1939-1945.

     

    Un armistice sauveur

     

    Le Maréchal n’avait rien à ajouter à sa gloire quand la débandade des politiciens qui avaient mené la France à la défaite fit de lui en 1940 l’arche de salut des Français désemparés.

    L’armistice de 1940 — tous les historiens honnêtes l’ont reconnu — était impératif et a sauvé la France : la poursuite de vains et sanglants combats eût été vaine, le nombre de prisonniers aurait doublé et l’Afrique du Nord eût été occupée par la Wehrmacht, privant ainsi les Alliés de la plate-forme d’où ils pourraient un jour partir pour délivrer la métropole ; et peut-être un gauleiter se serait-il installé aux commandes de la France. L’armistice fut donc signé le 22 juin avec l’Allemagne et le 24 avec l’Italie. Aussitôt, députés et sénateurs confièrent au Maréchal qui venait de sauver la France pour la deuxième fois la charge de l’État, comme le souhaitaient la quasi-totalité des quarante millions de Français, dont il s’employa immédiatement à soulager les peines, sans oublier les prisonniers…

    A Montoire, le vieux Maréchal rencontra le chancelier du Reich Adolf Hitler le 24 octobre 1940 et se révéla, une fois de plus, un grand et rusé politique.

    Ayant fait à la France « le don de sa personne », il devint plus “grand” que jamais, et même sublime dans sa vie de sacrifice : dans des conditions effroyables, il dut gouverner, dans l’attente encore une fois des Américains, tout en résistant sans cesse aux exigences de l’Occupant et tout en subissant les harcèlements radiophoniques et calomniateurs du traître Charles De Gaulle et de sa bande de gaullo-communistes… Il allait tout souffrir pour la France, à l’exemple de sainte Jeanne d’Arc qui, après avoir délivré Orléans, dut s’immoler atrocement, à l’exemple de Notre-Seigneur Jésus-Christ qui, après son entrée triomphale à Jérusalem, dut subir une indicible Passion pour nous racheter…

     

    Michel FROMENTOUX

     

  • L’influence puissante et nocive du Lobby contre le Maréchal Pétain !

     

     

    Il n'aura pas résisté longtemps. Moins de vingt-quatre heures. Après avoir rendu hommage au maréchal Pétain le 7 novembre au matin en disant qu’il avait été « un grand soldat » en 14-18 et qu’il méritait l’hommage de la nation au même titre que les sept autres maréchaux de la Grande Guerre, Emmanuel Macron a fait aussitôt machine arrière devant les cris d’orfraie du CRIF, de la LICRA, du Grand Orient de France et d’une grande partie de la classe politique, des communistes à certains représentants du Rassemblement national comme Steeve Briois, l’ahuri et inverti maire d’Hénin-Beaumont.

    Se disant “choqué” par les propos du chef de l’Etat, le CRIF, comme à son habitude, n’a pas fait dans la nuance : « La seule chose que nous retiendrons de Pétain, c’est qu’il a été, au nom du Peuple français, frappé d’indignité nationale lors de son procès en juillet 1945 », a ainsi déclaré le président du Crif, Francis Kalifat. Il est vrai qu’en indignité, le CRIF s’y connaît ! Jacques Attali, le mentor de Macron, a publiquement rappelé à l’ordre son poulain : « Que le président de la République rende hommage au responsable des lois anti-juives, de la rafle du Vel d’Hiv et d’autres horreurs serait un sacrilège. Et j’ai assez confiance en Emmanuel Macron pour penser qu’il n’en fera rien. »

    La réaction du CRIF et de ses esclaves et acolytes a, comme d’habitude, été suffisante pour faire plier le président de la République ! ... 

    Bien que ce dernier ait répété qu’il était contre « une police de l’histoire » (pourquoi alors n’abroge-t-il pas la loi Fabius-Gayssot ?) et qu’il fallait « regarder la réalité en face », il a reculé le soir même. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement, écrivait sur Facebook le soir même. « Aucun hommage ne sera rendu à Pétain le 10 novembre aux Invalides. Les maréchaux dont l’honneur n’a pas été entaché, ceux-là, et ceux-là seuls, recevront l’hommage de la République : Foch, Joffre, Lyautey, Franchet d’Esperey, Fayolle, Maunoury. Pas Pétain, qui a été frappé d’indignité nationale pour avoir collaboré avec la barbarie nazie de façon odieuse et criminelle. » Selon Benjamin Griveaux, « dans les propos » d’Emmanuel Macron concernant le maréchal, « il n’était nullement question d’hommage républicain, mais de vérité historique ». Mais la quête de la vérité historique est une revendication dangereuse dans une République qui repose sur le mensonge, l’imposture et la falsification de l’histoire !

     

    La vérité, c’est que le maréchal Pétain est toute sa vie resté fidèle à lui-même, toujours soucieux d’économiser le sang français, de veiller à l’intendance, d’être à l’écoute de ses soldats, de ses compatriotes.

    S’il a reçu le qualificatif glorieux de vainqueur de Verdun, et joui d’un extraordinaire prestige, c’est qu’il avait su redonner le moral à ses troupes, les galvaniser, en montrant que les soldats n’étaient pas de la chair à canon mais des êtres humains qui méritaient d’être traités dignement, décemment, malgré la tragédie de la guerre. C’est ce même souci de sauver ce qui pouvait l’être et de préserver autant que possible son peuple du malheur et de la division qui l’anima de 1940 à 1944 et qui lui fit faire don de sa personne à la France. Alors que la guerre en juin 1940 avait déjà fait cent mille morts et deux millions de prisonniers et que des millions de Français fuyaient sur les routes, que le désastre était total, il réussit à négocier un armistice le moins défavorable possible puisque la moitié du territoire métropolitain restait en zone libre et la France gardait la totalité de son empire colonial. 

    Puisque nous vivons dans un univers judéocentré, tout le bien qu’a pu faire le maréchal Pétain ne compte pas. Il est effacé, il est gazé par la Shoah qui agit comme un virus effaçant de nos mémoires notre véritable histoire nationale et transformant nos héros les plus valeureux en fieffés assassins. Le statut des juifs suffit à gommer aux yeux de la Synagogue l’héroïsme et les vertus d’un maréchal de France tant aimé de ses Poilus, voilà où nous en somme en France !

    Les organisations juives prétendent à longueur de journée qu’elles luttent contre la haine, mais qui déverse des flots de haine à jets continus, qui agit en censeur de l’histoire, qui pousse des cris d’orfraie dès qu’un propos n’a pas l’heur de leur plaire, qui menace, exige, condamne, ordonne sans cesse, qui se veut l’arbitre des élégances, qui édicte la frontière entre le bien et le mal, le permis et l’interdit, le digne et le nauséabond ? 

    Interrogé par Elkabbach à la fin de son second septennat sur la volonté de Klarsfeld de faire condamner officiellement la France pour son attitude prétendument criminelle à l’égard des juifs pendant la guerre, Mitterrand avait répondu : « cela, c’est l’entretien de la haine ». On ne saurait mieux dire. Et lors de l’ultime petit-déjeuner qu’il prit à l’Elysée, le 17 mai 1995, quelques heures avant de céder sa place à Jacques Chirac qui paya très vite « sa dette électorale à la communauté juive »  en prononçant le honteux discours du Vel d’Hiv le 16 juillet 1995, François Mitterrand confia à l’académicien Jean d’Ormesson à propos de la campagne médiatique orchestrée contre lui au sujet de ses relations avec Bousquet (le célèbre, pas l’ectoplasme de la Nouvelle librairie !) et de son refus de se plier au diktat de Klarsfeld : « Vous voyez là l’influence puissante et nocive du lobby juif ». 

     

    Cette influence n’a nullement reculé depuis la mort de Mitterrand, bien au contraire. Et elle ne date pas d’aujourd’hui. Quasiment tous les présidents de la République, même les plus judéoserviles, ont fait face, à un moment donné, aux attaques du Sanhédrin parce qu’ils ont fait une déclaration ou pris une initiative jugée non judéo-comptatible !

    De Gaulle, qui a toujours été entouré d’israélites autour de lui, de René Cassin à Maurice Druon, qui a fait d’un petit-fils de rabbin, Michel Debré, le Premier ministre de la France, qui avait comme ami Lucien Neuwirth, le père de la pilule contraceptive, a été attaqué pour avoir évoqué en 1967, au moment de la guerre des Six Jours « un peuple d’élite, sûr de lui et dominateur ». Pompidou, ancien de la banque Rothschild, qui servit pendant son mandat présidentiel les intérêts de la finance apatride, fut critiqué pour avoir partiellement gracié en 1972 l’ancien milicien Paul Touvier et pour avoir appelé à tourner la page de ce temps « où les Français ne s’aimaient pas ». Déclaration en effet contraire à la vengeance talmudique et à la traque aux vieillards dont est friand le Lobby ! Le très cosmopolite Giscard fut lui aussi mis en cause, ainsi que son Premier ministre Raymond Barre, pour l’attentat de la rue Copernic et pour leur réaction jugée insuffisamment compatissante à l’égard des victimes juives, car, dans l’esprit de certains, une victime est forcément juive ! Quant à Mitterrand, on l’a dit, bien qu’il ait nommé Laurent Fabius Premier ministre, promulgué la loi Gayssot, se soit entouré de conseillers comme Attali, qu’il ait peuplé le PS, ses gouvernements successifs et l’audiovisuel de juifs patentés, le Lobby qui en veut toujours plus et qui en fait toujours trop lui a fait payer son refus de condamner la France, comme Klarsfeld l’exigeait. C’est ainsi que les grands media dont on sait qui les dirige ont tout à coup reproché à Mitterrand les fleurs qu’il faisait déposer chaque 11 novembre, de 1986 à 1992, sur la tombe du maréchal Pétain à l’île d’Yeu, puis sa longue amitié avec Bousquet, sa francisque, ses relations amicales par le passé avec des personnalités jugées sulfureuses et extrémistes. Choses que le Tout-Paris savait, que RIVAROL et Minute avaient depuis longtemps révélées, mais que l’on mettait tout à coup en exergue à la fois pour le faire fléchir et pour le punir de son manque de docilité. 

    Il faut le dire et le répéter : tant que le pays ne sera pas délivré de cette « influence puissante et nocive », toute renaissance nationale sera vaine, tout discours sur le relèvement français restera un mensonge ou une illusion. La patrie ne renaîtra que quand disparaîtra le culte de la Shoah.