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  • Coupe du monde : victoire du cosmopolitisme, de l’Afrique et de la guérilla urbaine ...

     

    Après la victoire de l’équipe Black-Blancs-Beurs en finale de la coupe du monde de football il y a vingt ans, Jacques Chirac avait fortement grimpé dans les sondages. Alors que son impopularité était forte jusque-là, qu’il avait perdu un an plus tôt à la suite d’une dissolution hasardeuse la majorité à l’Assemblée, le triomphe d’une équipe de mercenaires cosmopolites lui avait tout à coup redonné des couleurs. Il y a fort à parier qu’il en ira de même pour le président Macron qui va chercher à profiter le plus possible de ce succès des “Bleus” et qui pourrait gagner une dizaine de points dans les enquêtes d’opinion. C’est que la victoire de l’équipe dite de France le 15 juillet à Moscou face à la Croatie a été l’occasion d’un débordement à la fois de liesse et de violence un peu partout en France.

    Même dans les villages les plus reculés, les hameaux les plus minuscules, les bourgs les plus modestes, ce ne fut qu’un long concert de klaxons, de hourras, de cris et de hurlements de la part de Français de souche qui applaudissaient avec ferveur voire frénésie la victoire d’une équipe composée très majoritairement de Noirs. 

    Sur les 23 joueurs de l’équipe dite de France, 17 sont en effet d’origine africaine. Ce n’est plus une minorité visible, c’est une majorité ostentatoire.

    Imagine-t-on l’équipe de Corée du Sud avec trois Asiatiques sur vingt ?Ou une majorité de blondinets dans l’équipe du Cameroun ? ...

    Poser la question, c’est y répondre... Le plus tragique, c’est que les remplacés applaudissent à tout rompre les remplaçants, les colonisés se réjouissent sans réserve, sans retenue de la victoire des nouveaux colonisateurs.

    Le dimanche 15 juillet 2018 restera dans l’histoire comme l’une des principales dates du suicide français, de l’acceptation par tout un peuple de son remplacement, de son effacement, de son adultération, de son abâtardissement, de sa honteuse abdication.

    La Coupe du monde : victoire de la France ou du cosmopolitisme, de l’Afrique et de la guérilla urbaine ? Le spectacle dimanche était saisissant entre une équipe croate exclusivement blanche, ethniquement homogène, et une équipe française majoritairement composée d’Africains. Et que la finale de cette compétition ait eu lieu en Russie, un des derniers pays qui reste encore (pour combien de temps ?) très majoritairement blanc (il suffit de prendre le métro à Moscou pour s’en rendre compte) était un symbole politique particulièrement fort.

     

    Car il faut être un fieffé imbécile pour ne pas mesurer la dimension idéologique du sport professionnel aujourd’hui, et singulièrement du football.

    Les mondialistes se servent du sport, et de l’engouement populaire qu’il suscite, pour détruire les défenses immunitaires des peuples européens.

    Depuis déjà un certain nombre de décennies le sport professionnel est une arme de destruction massive des identités, des ethnies, de l’intelligence, de l’esprit critique, de la capacité de résistance des peuples. A l’instar de l’opération « Je suis Charlie », le phénomène « Je suis les Bleus » sur les réseaux sociaux apparaît comme une gigantesque opération de sidération et de manipulation des masses. Ce qui est triste, même si cela ne nous surprend pas, c’est que cela fonctionne à chaque fois. Il suffit de lire les réactions de la LICRA, de la gauche et de la grande presse pour comprendre pourtant la dimension idéologique et politique de ce résultat sportif. Ces partisans du cosmopolitisme se réjouissent bruyamment de la victoire d’une équipe multiraciale, multiethnique censée représenter la vraie France, celle d’aujourd’hui et plus encore celle de demain. Cette victoire est la leur. C’est leur victoire, et c’est notre défaite. Imagine-t-on ce qu’auraient pensé nos aïeux d’un tel spectacle, qu’auraient pensé les combattants de 14-18 qui se sont sacrifiés par centaines de milliers à Douaumont, au Chemin des Dames, et qui se verraient représentés par une équipe mélanisée ? Car, de grâce, que l’on ne vienne pas nous parler de patriotisme dans cette affaire. Ces joueurs de football sont des mercenaires cosmopolites qui se vendent — ou que l’on vend — à prix d’or indépendamment de tout attachement charnel à un terroir, à un peuple, au sol et au sang. Un jour ils sont dans une équipe belge, le lendemain dans une équipe anglaise ou néerlandaise, un autre jour dans une équipe allemande, toutes d’ailleurs multiraciales. Ils se vendent au plus offrant et sont parfaitement interchangeables. Ce qui compte, c’est leur carrière, leur situation, et non l’intérêt national, le bien commun. Ce sont des mercenaires.

    Mais on se tromperait à ne voir là qu’une affaire de gros sous. Il y a bien plus grave.

    La volonté d’accélérer le Grand Remplacement, de faire accepter aux indigènes de ce pays qu’ils doivent se faire tout petits et accepter la France de la diversité, du mélange, car c’est cette France multicolore qui gagne, qui remporte des victoires sur le monde entier. Voilà le message que l’on entend faire passer au peuple français, ou à ce qu’il en reste. Las, les réactions à cette odieuse propagande sont bien faibles. Combien de nationaux, combien d’électeurs lepénistes se sont réjouis ouvertement, bruyamment, de cette victoire qui est pour eux la leur ? Ils ne voient pas, ils ne veulent pas voir que c’est leur asservissement, leur mise en servitude qu’ils proclament en saluant ainsi la victoire, peut-être arrangée d’ailleurs, de cette équipe de «remplaçants”. Mais de même qu’on ne peut pas faire boire un âne qui n’a pas soif, on ne peut pas sauver les Français contre eux, ou malgré eux. S’ils acceptent de disparaître ou de devenir ultra-minoritaires dans leur propre pays, s’ils ne font plus d’enfants, s’ils ne croient plus en rien, s’ils sont drogués de télévision et conquis, ou tétanisés, par la propagande cosmopolite, holocaustique et homosexualiste, par l’antiracisme unilatéral, s’ils participent activement à ce suicide organisé, que peut-on y faire ?

     

    Comme toujours lorsqu’une équipe de mercenaires gagne une compétition, les débordements de toutes sortes se multiplient. Ce fut encore le cas dimanche soir tant à Paris que dans les villes de province où l’on a pu assister à de multiples scènes de guérilla urbaine : pillages de magasins, incendie de voitures et de poubelles, heurts violents avec les forces de l’ordre, saccage du Drugstore Publicis aux Champs-Elysées, les casseurs brisant les vitres et volant champagnes et bouteilles de vin, jets de divers projectiles, violentes échauffourées dans quasiment toutes les villes de France, de Lyon à Marseille, de Grenoble à Aix-les Bains, de Rouen à Ajaccio, de La Roche-sur-Yon à Nantes, etc. 

    Et la célébration de cette victoire s’est soldée par au moins deux morts (dont celle d’un automobiliste qui faisait la fête en conduisant et qui a heurté un platane tandis qu’un quinquagénaire, qui avait sans doute trop arrosé la victoire, s’est tué à Annecy en plongeant dans un canal, dans une trop faible profondeur d’eau !) et plusieurs blessés graves, dont trois enfants, de trois à six ans, qui ont été percutés par un motard qui faisait la fête en roulant en Meurthe-et-Moselle. Quel vide spirituel que d’entrer ainsi en transes pour la victoire d’une équipe de mercenaires cosmopolites ! Quels pauvres gens ! Quel pauvre pays ! Quelle déchéance !

     

    L’homme blanc est mort une première fois à Stalingrad en 1943. Il se pourrait bien qu’il soit mort une seconde fois, trois quarts de siècle plus tard, un 15 juillet 2018 au soir. Mais cette fois la défaite n’est pas militaire, ne s’est pas faite les armes à la main, elle est mentale, elle est cérébrale et elle est totale. C’est tout un peuple qui a renoncé à être lui-même, qui se glorifie d’être représenté, incarné au plus haut niveau sportif, et devant le monde entier, par une équipe issue pour l’essentiel de l’Afrique noire. Il y a bien pire qu’une conquête militaire par l’ennemi, c’est la conquête des cœurs, des âmes, des cerveaux et des intelligences. On peut se relever d’une défaite militaire, on ne se relève pas d’une abdication de l’âme. Or, force est de constater que cette conquête des esprits est quasiment achevée chez la plupart de nos compatriotes. Ils creusent leurs tombes à coups de klaxons, ils se jettent dans le vide en braillant « On est les champions », ils courent vers l’abîme en hurlant « On a gagné ».  Mais il est vrai que le pire des esclavages, c’est celui dont on n’a pas conscience et la pire des défaites, c’est celle qui se grime en prétendu triomphe. 

  • On s' y attendait: Macron, la LICRA et les journaleux se servent des "bleus" pour vanter la société multiraciale ! ...

     

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    Tout est politique, diront certains. Même le football. Avec une finale qui a opposé une équipe française symbole du multiculturalisme à une équipe croate véritablement croate, les interprétations n’ont pas manqué.

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    Y compris des professionnels de la police de la pensée.

    Voici d’abord ce message diffusé sur Facebook par la fédération parisienne de la LICRA.

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    Dans les deux cas, comme c’était prévisible, la LICRA (parisienne ou nationale) se sert de l’équipe des Bleus pour vanter le multiracialisme !

     

    Pauvre France ! Qui nous débarassera de tous ces impies , de cette racaille et de toutes ces officines anti françaises ?

     

     

     

     

  • Rapport parlementaire sur l’immigration clandestine en Seine-Saint-Denis ...

     

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    Ce rapport avait été déposé le 31 mai 2018 à l’Assemblée nationale par deux députés sans que personne ne s’y intéresse. Il fallut donc attendre que le Figaro y consacre un article le 5 juillet pour qu’on puisse en découvrir le contenu alarmant.

    Les députés François Cornut-Gentille (LR) et Rodrigue Kokouendo (LREM) ont dressé un rapport sur la situation migratoire en Seine Saint-Denis.

    Mais le sujet est semé d’embûches. Les députés ont d’emblée rencontrer une première difficulté : « l’État ignore le nombre d’habitants » qui vivent dans ce qu’on appelle le 9-3.

    À fortiori, le nombre d’immigrés clandestins vivant en Seine-Saint-Denis est inconnu.

    Pour établir leur rapport, nos deux députés ont donc pris en compte les chiffres de demandes d’AME (Aide Médicale d’État) et les données des allocations familiales. En croisant ces informations, les parlementaires arrivent à une estimation qui secoue : il y aurait en Seine-Saint-Denis entre 150.000 et 400.000 immigrés clandestins, soit entre 9 et 24 % de la population totale du département évaluée par l’Insee à 1.646.000 habitants.

    Cette information contredit complètement les propos du ministre de l’Intérieur Gérard Collomb qui, en novembre 2017, évaluait le nombre d’immigrés clandestins présents dans toute la France à… 300 000 !...

    Ce rapport parlementaire précise que la Seine Saint-Denis « est un sas d’entrée de la France par l’aéroport Roissy-Charles-De-Gaulle ». Les auteurs soulignent à quel point le discours officiel sous-estime scandaleusement l’ampleur du phénomène.

    Après l’évaluation des immigrés clandestins, il faut encore tenir compte de ceux en situation régulière. Selon l’Insee, 423.879 personnes de nationalité étrangère en situation régulière vivent en Seine-Saint-Denis !

    Et pour avoir un aperçu plus complet de la situation en Seine-Saint-Denis, il faudrait encore savoir combien d’habitants sont des étrangers naturalisés ou des Français nés de parents immigrés ...

    En 2009, ce qui est déjà loin, les démographes Michèle Tribalat et Bernard Aubry, cités par Malika Sorel dans son essai Décomposition française, notaient qu’en Seine-Saint-Denis, les jeunes de moins de 18 ans originaires du Maghreb représentaient 39,2% du total des jeunes du département, et ceux originaires du reste de l’Afrique 28,4 %. Combien sont-ils près de dix ans plus tard ?

    A méditer par ceux qui disent que le grand remplacement n’est qu' un mythe. !

     

    Tous les départements sont en fait concernés: en Bretagne, par exemple, ils arrivent de nuit par train ou car pendant la nuit, à Vannes, Lorient, Brest etc  avec la pleine complicité des autorités ;des "assoc" les prennent en main et on les retrouve par la suite à Pontivy, Quimper, Gourin etc et même dans des hameaux comme Le Faouet où des logements sociaux leur sont réservés en priorité ...