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  • France : Selon les services de renseignement, l’islam radical progresse rapidement dans les enclaves ethniques urbaines.

     
     
     

     Les grands centres urbains connaissent une accélération de l’islamisation, principalement menée par les salafistes. D’après une note de la Direction centrale de la sécurité publique publiée récemment, il se développe de manière très inquiétante dans certains quartiers français.

    Valeurs Actuelles (source) :

    La situation est visiblement catastrophique. Dans une note que Le Figaro a pu se procurer, « l’emprise religieuse dans les quartiers sensibles » de Paris et de la petite couronne d’Ile-de-France est très préoccupante. « De véritables méthodes et stratégies locales » seraient utilisées par les salafistes.

    Une stratégie patiente d’expansion prend corps, d’après cette note :

    Pour se protéger de la surveillance policière, certaines familles radicalisées commenceraient même à quitter leur logement pour s’installer dans les cités, « pour y vivre leur religion en toute tranquillité ». Plus alarmant, le salafisme ne se développerait plus seulement à travers l’action de certaines mosquées, plus faciles à surveiller. Le mouvement s’insérerait dorénavant dans la vie économique et sociale et ce, même dans certaines villes à la réputation plutôt tranquille comme à Montluçon, dans l’Allier.

    « Je ne sais pas si c’est du salafisme, mais je constate depuis peu que le communautarisme gagne du terrain en ville. Les commerces sont rachetés un à un, et une ambiance délétère s’installe, qui pousse les riverains à partir et à céder leurs biens, rachetés à vil prix. C’est un vrai système qui s’est mis en place », déplore Daniel Dugléry, le maire LR de la ville au Figaro. Encore plus inquiétant, le travail de la police n’est plus aussi efficace : « Les policiers sont dépassés, car ils ne vivent plus dans les quartiers et ne savent plus bien ce qui s’y passe », avoue-t-il.

     

  • Syrie : Les USA posent un ultimatum à la Russie, exigent de Poutine qu’il cesse de soutenir Assad contre les djihadistes .

     

     
     

     Le ralliement de l’administration Trump au camp belliciste néo-conservateur se confirme. Le Secrétaire d’État Rex Tillerson, chef de la diplomatie US, a posé les termes d’un ultimatum à la Russie : choisir entre un apaisement avec les USA et le soutien au gouvernement syrien, en lutte contre les djihadistes soutenus par Washington et ses alliés.

    Aux côtés des ministres des Affaires Étrangères du G7 en Italie, Rex Tillerson a exigé de la Russie qu’elle cesse de soutenir le président syrien Bachar al-Assad dans sa lutte contre les groupes djihadistes soutenus par les USA et les pétromonarchies du Golfe mais aussi par la Turquie islamiste .

    « Il est clair pour nous tous que le règne de la famille Assad touche à sa fin. Mais la question est comment cela finit et la transition en elle-même pourrait être très importante à nos yeux pour la durabilité et la stabilité au sein du Syrie unifiée » a déclaré Rex Tillerson.

    Un jargon diplomatique qui ne trompe personne sur la volonté de changer le régime syrien à l’instar de l’Irak, de l’Afghanistan ou de la Libye, avec les effets désastreux que l’on connait.

    Une campagne de désinformation a en parallèle été lancée par le gouvernement américain via les médias d’état occidentaux. Elle vise à criminaliser le soutien russe à la lutte anti-djihadiste menée par la Syrie en accusant Moscou de soutenir l’usage d’armes chimiques, un mensonge grossier déjà utilisé en 2013 avant de légitimer l’intervention US et française aux côtés des islamistes .

     

  • Mélenchon tricolore à l' extérieur mais rouge sang à l' intérieur .

    Nous avons suivi hier le discours du camarade Mélenchon sur le vieux Port à Marseille. Quelques commentateurs ont salué cela comme un exploit d’artiste...

     Cet exploit n’a pourtant consisté qu’en un certain souffle dans un exercice tribunicien d’imitation des duperies révolutionnaires du siècle dernier sous couvert de pacifisme.

     Toujours rouge au-dedans mais désormais tricolore au dehors, Mélenchon a tenu de lénifiants propos dans le droit fil des injonctions léninistes exhortant ses révolutionnaires professionnels à savoir alterner ou combiner tactiquement la « ruse », le « louvoiement », le « compromis », les artifices de séduction, et la stratégie de guerre révolutionnaire.

     

    Par exemple, Lénine, dans « La maladie infantile du communisme », ne fixait-il pas ainsi la stratégie de conquête des syndicats : « Le plus strict dévouement aux idées communistes doit s’unir à l’art de consentir les compromis pratiques, les louvoiements, les zigzags, les manœuvres de réconciliation et de retraite ».

     

    Vieux fauve bolchévique, le cynique Mélenchon avance avec les ruses du loup dans la fable du petit chaperon rouge. Et en l’occurrence, en attendant la « lutte finale », il a fait remiser les drapeaux rouges dans les caves et fait suivre sans complexe de contradiction son discours pacifiste d’une Marseillaise (toujours « vibrante » bien sûr) appelant pourtant « aux armes » et « d’un sang impur » à abreuver les sillons…

     

    Il s’est efforcé principalement de prendre les accents de pacifisme angoissé d’un Jaurès en 1914. Il n’arrive pourtant pas dans ce registre à la cheville du fondateur du parti socialiste qui, quoi qu’on en pense par ailleurs, était lui un très grand orateur et certes dans l’erreur panthéiste, néanmoins un véritable philosophe.

     

    Pitoyable donc la ruse de Mélenchon de s’avancer, avec un regard humide bien travaillé de compassion humaniste, sous le couvert de la première lettre en alphabet grec du mot philosophie. Mais on peut certes admirer « l’estomac » qu’il lui faut, pour couvrir du concept de sagesse son adaptation dialectique du jour alors qu’il est sans aucune repentance sur son engagement de jadis dans le communisme et que le parti communiste le soutient activement.

     

    Toujours dans sa posture pacifiste et se parant de la sagesse grecque, le camarade Mélenchon a brandi un brin d’olivier, se proposant une fois élu de désengager la France de tout conflit. Mais cet auteur de « l’ode à la paix », comme le titre ce jour l’Humanité, dans le plus pur style des stances à Staline des années 50, n’a pas trouvé un mot pour exprimer de la répulsion face aux derniers massacres perpétrés quelques heures avant son meeting, en Égypte puis à Mogadiscio par l’islam jihâdiste.

     

    Mélenchon, se parant de la sagesse grecque et de la paix en Méditerranée, ne se soucie guère en effet de la continuité des persécutions atroces et des massacres faisant à la longue disparaître le vieux peuple chrétien des coptes (« Égyptiens »), comme si, sans cesse et dans une multitude de pays, n’existait pas la constante d’agression de l’islam jihâdiste.

     

    C’était vraiment mépriser son auditoire marseillais que d’oser jouer avec esbrouffe, le cœur sur la main, le prophète visionnaire se voulant à la fois analyste politique et défenseur de la paix sans même citer le mot « islam » et en s’en prenant uniquement à la politique américaine, certes pas exempte jusqu’ici de lourdes responsabilités, mais pas seule.

     

    Faute de rappel, aussi bien chez les Républicains qu’au Front National, de la monstruosité de cent ans de communisme, « horizon indépassable de l’esclavagisme moderne », avec, pour le moins, ses cent millions de morts, Mélenchon, pseudo-défenseur de la culture, peut donc aujourd’hui user des grosses ficelles pacifistes des chefs communistes staliniens de jadis.

     

    Il faut être en effet sans culture pour ne pas éprouver un haut-le-cœur devant les vieux procédés de la séduction pacifiste lénino-stalinienne utilisés avec un narcissique contentement gourmand, manière Fidel Castro, par  l’archéo-sans-culotte et néo-bolchévique Mélenchon.

     

    Le communisme, dans ses fondements de haine idéologique pour appartenance à une religion ou à une classe, correspond parfaitement à la définition actuelle du racisme. Le prétendu pacifisme du camarade Mélenchon ne saurait le dissimuler. Autant que le meilleur des mondes d’Emmanuel Macron, l’AGRIF a pour devoir de le dénoncer.

     

    Les idéologies de Macron et de Mélenchon sont deux aspects du même nihilisme, véritable racisme anti-humain.