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  • Pou qui roule Macron ...

    Il est bien connu qu’un bon dessin vaut mieux qu’un long discours. Alors, pour bien comprendre les connections entre certains médias comme BFM, l’israélien Patrick Drahi et le Pinocchio à cravate de chez Rothschild, Emmanuel Macron, voilà un petit graphique ...

     

  • Islamophilie totale du parlement européen .

    Le Parlement européen vient de lever l’immunité parlementaire de Marine Le Pen afin qu’on puisse la poursuivre pour avoir retransmis quelques photos des abominations tortionnaires pratiquées par l’Etat islamique, qu’il ne faut d’ailleurs évoquer que par son acronyme arabe, « Daesh », histoire de ne jamais confondre le fait islamique et la barbarie…
     
    Une fois de plus, selon sa grande tradition, le Parlement européen s’est ainsi vautré dans son indigne tartufferie de l’islamo-politiquement correct. Comme si dans tous les médias ne dégoulinaient pas des cataractes de scènes ignobles, les plus crues, les plus violentes, les plus perverses. Faudrait-il donc ne strictement réserver la retransmission des horreurs qu’à celles perpétrées par le nazisme ? Extraordinaire pudibonderie sélective !
     
    Nous sommes donc en cette affaire totalement en accord avec Marine Le Pen et nous continuerons pour notre part à montrer indifféremment les égales monstruosités du communisme, du nazisme et de l’islamisme. Mais Marine Le Pen devrait dénoncer aussi les inqualifiables poursuites et condamnations ayant frappé des personnes ou des sites retransmettant tout simplement ce qu’est la réalité atroce des IVG.
     
    Différentes d’apparence, toutes les barbaries,islamiques ou modernes, ont en commun un même nihilisme dans tous les registres de la culture de mort.

  • Retour des djihadistes en France .

     


    Dans une interview accordée à Sputnik, Alain Chouet, ancien officier de renseignement français, parle de la menace que représente concrètement le retour sur le sol français des combattants partis en Irak et en Syrie depuis la France, ainsi que de l’accueil qui leur sera réservé en France à leur rentrée.

     

    Alors que se poursuit l'offensive sur Mossoul, celle sur Raqqa dans le nord de la Syrie se prépare, où déjà des combattants français se sont repliés. Les autorités doivent faire face à un retour éventuel sur le sol français des combattants partis en Irak et en Syrie. Selon le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, ils seraient actuellement 680, dont 293 femmes et 400 mineurs, pour la moitié nés pendant le conflit.  Quelle menace représente concrètement le retour de ces combattants, qu'ils soient repentis ou  avides de poursuivre la lutte ailleurs?  

     

    Selon l'interlocuteur de Sputnik, l'ancien officier du renseignement français Alain Chouet, en premier lieu, il faut évaluer le nombre exact de volontaires étrangers qui « vont rester sur place » et de ceux qui partiront. Il estime qu'en ce qui concerne les Français, « ça va représenter au maximum quelques dizaines de personnes ».

    Ensuite, explique M. Chouet, si ces personnes reviennent vers l'Europe, « cela va poser un problème pour les identifier, parce qu'on ne les connaît pas tous »...

    En outre, il faut aussi comprendre quelles contre-mesures on va devoir prendre en matière d'encadrement, de surveillance et éventuellement de répression judiciaire :

    « On a tous les instruments juridiques pour le faire (…). Je me réfère à l'article 414 du code pénal, qui prévoit 30 ans de réclusion criminelle, 750 000 euros d'amende pour toute personne qui a rejoint une armée étrangère menant des opérations hostiles contre la France. Reste à savoir si on a les instruments administratifs, policiers, pour les identifier, savoir où ils sont, et les arrêter », conclut l'expert !

    Selon l'interlocuteur de Sputnik, l'administration française est prête à peu près en permanence à faire face à ce genre de choses :

    « Nos services sont sensibilisés au retour des volontaires djihadistes sur place et on l'a bien vu, ils les ont interceptés à leur retour et ont donné les suites judiciaires, sociales, éducatives, qui s'imposaient dans la mesure où on  les a identifiés ».

    À la question de savoir si la non-distinction des cibles est un moyen de se prémunir contre les attaques concernant les assassinats ciblés, M. Chouet explique qu' « on a tué des ennemis combattants, on n'a pas à se justifier de ça ».

     

    Un autre interlocuteur de Sputnik, Fiodor Loukianov, rédacteur en chef de la revue Rossia v globalnoï politike (La Russie dans la politique globale), évoque une expérience similaire par le passé en Russie, lorsque après la libération des citoyens russes de la prison de Guantanamo, « la Russie les a accueillis et ils se sont retrouvés sous une surveillance très stricte » :

    « Je n'ai pas entendu parler que la Russie ait refusé d'accueillir qui que ce soit. S'ils arrivent, on les surveille. Mais on peut comprendre du point de vue humain qu'on n'a pas trop envie de les voir à nos côtés. » 

    La France est le pays européen le plus touché par le phénomène djihadiste.  Depuis la mise en œuvre du plan anti-djihad de 2014, 208 retours ont été recensés par les services de renseignement .