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  • Brest : Face à l’explosion de la violence et du salafisme, CUILLANDRE, le maire socialiste estime faire “du bon travail” ! …

     

     

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    BREIZATAO Face à l’aggravation croissante de la situation sécuritaire de la ville de Brest, son maire François Cuillandre a tenté une donner le change médiatique en “visitant” deux postes de police récemment “rénovés”. Un cache-misère qui ne trompe pas.

    Le naufrage d’un maire et d’une ville

    Ces dernières années, on ne parle plus guère de Brest, en Bretagne comme en France, que pour la progression du salafisme,  l’explosion des violences urbaines, les émeutes raciales ou le développement de réseaux mafieux, albanais notamment, qui prospèrent sur l’immigration illégale ou les vols (lire ici).

    Que ce soit les quartiers musulmans où sévit le désormais célèbre “imam” salafiste qui pourra bientôt ouvrir son école coranique (lire ici), ou les violences de l’extrême-gauche appuyant des filières de passeurs clandestins jusqu’au cœur du conseil municipal (lire ici), le nom de François Cuillandre est désormais synonyme de laxisme, d’incompétence voire, souvent, de bienveillance coupable.

    Face à l’envolée des innombrables cas d’agressions ou de meurtres (comme ici), la population avait lancé une pétition en ligne exigeant des mesures forte (lire ici).

    Malgré des milliers de signataires, Cuillandre, garant de l’orthodoxie idéologique socialiste – à défaut de contenir la fuite des habitants de la ville (lire ici) – a opposé une fin de non-recevoir à toute révision de sa politique. Ou plutôt à l’absence de toute politique sécuritaire digne de ce nom.

     

    Entre autosatisfaction et dogmatisme

    Mais la colère, sourde, qui gronde dans la “métropole Potemkine” ne peut être complètement ignorée. Aussi François Cuillandre cherche t-il à donner le change en se lançant dans une opération de communication de pure forme, avec l’aide complaisante de la presse gouvernementale.

    Ouest-France rapporte,  (lire ici), l’auto-célébration de l’édile socialiste :

    Les bâtiments appartiennent à la Ville de Brest. C’est à ce titre que François Cuillandre se déplace dans les locaux de la police.« Je le fais régulièrement. Cela montre la collaboration que nous avons avec la police nationale », fait remarquer le maire.
    « Et nous avons de très bonnes relations », abonde Régis Allégri, qui évoque des « contacts quotidiens ».

    Fort de ces mondanités et à défaut de bilan, Cuillandre continue de s’enfermer dans son laxisme de principe. Interrogé – une nouvelle fois – sur l’opportunité de constituer une force d’appoint via la cration d’une police municipale, l’intéressé s’énerve :

    Une nouvelle fois, il balaye rapidement l’idée.« La question ne se pose pas. Le travail est bien fait par la police nationale. »

    Un travail “bien fait” qui fait de la ville de Brest la première ville bretonne pour la violence gratuite (lire ici). Une police qui, par ailleurs, est régulièrement la cible d’attaques de la part de bandes ethniques connues, comme en août dernier où policiers et pompiers étaient visés par des cocktails molotov dans le quartier de Pontanézen où officie, précisément, l’imam salafiste Rachid Abou Houdeyfa (lire ici).

    L’année 2015, “excellente”, aura été celle où – pour la première fois – des fusillades auront éclatées en plein jour (lire ici)...

     

  • Incroyable mais vrai : l' Europe se couche devant les turcs !

    Le 19 avril, le premier ministre turc, Ahmet Davutoglu, a déclaré qu’Ankara cesserait de remplir ses obligations envers l’Union européenne concernant les « migrants » si cette dernière n’exemptait pas les Turcs de visas pour pénétrer librement dans l’espace européen. Dès le lendemain, la commission Junker a cédé et a programmé pour le 4 mai la mise en œuvre de cette disposition.

    Aussitôt demandé, aussitôt exécuté ! Ankara invoque l’accord signé à Bruxelles à la mi-mars entre la Turquie et l’Union européenne prévoyant, entre autres, cette exemption de visas, les Turcs s’engageant à conserver momentanément les « réfugiés » sur son territoire et à accepter le retour de ceux qui sont déjà arrivés en Grèce. Et ce, contre paiement de 75 milliards pour leurs frais ! Or, pour l’instant, seuls 750 « migrants » ont été transportés à bord de deux ferries du port de Mytilène sur l’île de Lesbos vers la Turquie. En revanche, Erdogan, est prêt à envoyer en Europe 25 000 « réfugiés » syriens en Europe après avoir vérifié qu’ils sont éligibles à la générosité européenne.

    Les autorités turques avaient exigé le 18 mars que le projet d’exemption soit déposé avant fin avril, d’où l’ultimatum à la Commission, laquelle avait accepté cette date butoir en espérant sans doute qu’Ankara ne serait pas à cheval sur le calendrier. D’ailleurs, elle avait tout accepté ! Notamment que les négociations pour l’intégration de la Turquie reprennent alors que la plupart des pays membres y sont hostiles, d’où l’arrêt du processus en 2011, car le pays ne satisfaisait pas aux conditions d’intégration, malgré les 4,8 milliards d’euros reçus de l’Union européenne (685 millions d’euros par an) pour faciliter son adaptation aux critères européens. Mais les dirigeants turcs, eux, considèrent que l’entrée dans l’Union est quasiment acquise, le premier ministre n’a-t-il pas déclaré mardi devant le Conseil de l’Europe que son pays est « partie inséparable de l’Europe » ? Une nation de 70 millions d’habitants dont 96 % sont musulmans serait donc européenne ! Si telle est aussi leur conviction, que Merkel et Hollande informent leurs ressortissants de cette nouvelle.

    La Turquie ne satisfait toujours pas aux critères posés par l’Union – elle n’en honore que 35 sur 72 – elle s’en est même éloignée sur le respect des droits de l’homme et ne reconnaît pas Chypre, pays membre de l’Union ! Mais nécessité fait loi pour Bruxelles. L’accord irresponsable du 18 mars a été pris dans la panique devant l’afflux massif des « réfugiés » invités par Mme Merkel, celle-là n’a vu de salut qu’en Ankara qui a évidemment profité de cet avantage pour faire monter les enchères et ses exigences. La Commission, prise à la gorge par sa propre inconscience, va évidemment céder, ne disposant pas de plan B pour arrêter l’invasion des « migrants ». Ou, plutôt, il n’y en a qu’un qui aurait empêché le recours à la Turquie : la fermeture des frontières et la dénonciation des accords de Schengen. Mais c’est ce à quoi les obstinés de l’utopie européiste ne se résoudront jamais, c’est aux peuples de les y contraindre.

  • Dhimmitude avancée des élèves de Sciences Po

     

     

    Des étudiants de Sciences Po organisaient mercredi un « Hijab Day » dans l’établissement pour « sensibiliser sur le port du voile » et « démystifier le tissu ». Toutes les élèves étaient invitées à venir voilées.

    La pseudo grande école parisienne censée former nos pseudo  futures élites de la fonction publique et politique et dont on pourrait penser naïvement qu’elle doit incarner à titre d’exemple les valeurs de la république à commencer par la laïcité, court au-devant de l’invasion culturelle et religieuse avec enthousiasme. Une provocation et une incitation communautaristes auxquelles la direction de l’école n’a rien trouvé à redire, au contraire.

    Les organisateurs de l’événement soutenus par l’association musulmane Salaam-Sciences Po encouragent leurs camarades à se voiler « afin de montrer que ces femmes disposent de leurs corps comme elles l’entendent » et « de vivre l’expérience de la stigmatisation vécue par de nombreuses femmes voilées en France ».

    L’Unef-Sciences Po, considère que « l’initiative est louable, car elle rappelle que le port du voile est un acte que les individus font, ou pas, en fonction de leur propre volonté ». Ils ont tout compris une fois de plus, les Rantanplan de la pensée politique dont le président est en licence à 27 ans !

    « La tenue de ce Hijab Day à Sciences Po pourrait permettre de créer un débat constructif autour de la question du voile à l’université », estime le syndicat. L’initiative est donc bien évidemment politique et entend faire pression pour l’autorisation du port du voile à l’Université.

    Soumission

    La direction de Sciences Po a déclaré que la tenue de cette initiative « ne saurait être interprétée comme un quelconque soutien de l’école ». Mais le fait qu’elle ne l’interdise pas et qu’elle la laisse se tenir dans ses propres murs est un sacré soutien. Aurait-elle eu la même tolérance pour une initiative catholique quelle qu’elle soit (la journée contre l’avortement au hasard) soutenue par la droite ?...

    Les jeunes barbus en herbe devaient attendre les étudiantes dans le hall d’entrée du bâtiment historique de l’IEP « avec leurs plus jolis foulards et pashmina, pour des petits tuto » (cours particuliers et assistance manuelle !) et « pour discuter plus longuement »... Voilà où nous sommes en France !