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  • Sommet UE/Turquie : La Hongrie met son véto au plan d’immigration totale de Merkel (Censure des médias français)...

     

     
     

    ARCHIV - Bundeskanzlerin Angela Merkel (CDU) gibt am 10.05.2010 im Bundeskanzleramt in Berlin eine Pressekonferenz. Bundeskanzlerin Angela Merkel (CDU) hat sich mit ihrer Forderung nach einer drastischen Sparpolitik in Griechenland wenig Freunde gemacht. Im Gegenteil: 83,7 Prozent der Griechen bewerten die deutsche Regierungschefin negativ. Nur 14 Prozent finden sie gut. Das ergab eine Umfrage des Meinungsforschungsinstituts Kapa Research, die in der Athener Zeitung «To Vima» veröffentlicht wurde. Foto: Rainer Jensen dpa (zu dpa 0126 vom 01.01.2011) +++(c) dpa - Bildfunk+++

     

    BREIZATAO – ETREBROADEL (08/03/2016) La Hongrie a mis une fin brutale au sommet entre l’UE et la Turquie en imposant son véto au plan d’immigration illimitée soutenu par Angela Merkel et le gouvernement islamiste turc. La presse française a imposé une censure totale de cette révolte diplomatique spectaculaire, évoquant simplement une “extension des négociations”.

    La Hongrie sauve l’Europe

    Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a refusé de céder d’un millimètre. Hier soir, lors du sommet entre l’UE et la Turquie portant sur la crise migratoire, le chef du gouvernement hongrois a pris la tête du front du refus face à une Angela Merkel plus extrémiste et isolée que jamais.

    Selon le plan prévu par Berlin et Ankara, la Grèce était censée renvoyer tous les migrants clandestins vers la Turquie. Cette dernière les accepterait… pour mieux les expédier directement en Europe… par avion. Ensuite, les clandestins musulmans seraient répartis de façon autoritaire dans toute l’Union Européenne.

    Comme si ce plan d’accueil systématique ne suffisait pas, le gouvernement islamiste turc a accru son chantage en réclamant des milliards d’euros supplémentaires pour les millions de migrants orientaux qui s’entassent sur son territoire.

    Des demandes inacceptables pour nombre d’états européens. Fort d’un soutien diplomatique régional patiemment organisé, la Hongrie – notamment soutenu par le Royaume-Uni – a opposé son véto à toute décision impliquant l’importation de millions de clandestins du tiers-monde en Europe.

    Un échec retentissant pour Angela Merkel, lancée dans une politique délirante d’accueil systématique des migrants afro-musulmans !

    Censure de la presse française

    Alors que la presse européenne souligne depuis ce matin la rupture organisée par la Hongrie – et de nombreuses nations d’Europe avec elle – la presse française a imposé une impressionnante censure.

    Le journal catalan El Punt Avui titre aujourd’hui “Orban s’impose à Merkel” (voir), tandis que la chaîne britannique Sky News déclare “La Hongrie bloque les propositions de l’UE et de la Turquie” (voir). Même la presse allemande s’est fait sans détour l’écho du véto hongrois, à l’instar de Die Welt qui évoque le “véto hongrois” (voir ici).

    Rien de tel en France où la presse est étroitement contrôlée par le gouvernement. Le Monde ose même affirmer que l’accord est en voie de “finalisation”...

    2016-03-08 15_57_48-Le Monde.fr - Actualité à la Une

     

    Le ton triomphant de l’article (lire ici) – qui détaille les négociations – tend à convaincre le lecteur que la position immigrationniste radicale de Berlin et de Bruxelles aurait été adopté par les états européens. Extraits :

    L’Union européenne s’est donné un délai de dix jours pour finaliser un nouvel accord avec Ankara visant à stopper l’afflux de migrants vers l’Europe. Le sommet entre les dirigeants des Vingt-Huit et la Turquie, achevé dans la nuit du lundi 7 au mardi 8 mars à l’issue de discussions laborieuses, a donc abouti sur la promesse de nouvelles tractations, avec en point de mire un nouveau rendez-vous le 18 et 19 mars à Bruxelles.

    Le succès selon le quotidien français résiderait dans “l’aboutissement” portant sur une “promesse” de “nouvelles tractations”. En somme, c’est le blocage le plus complet et le journal socialiste tente de camoufler l’étendue de la crise en devisant sur des vœux pieux.

    C’est à ce point vrai que le journal ne mentionne pas une seul fois le mot “véto”, partout en titre dans la presse européenne. Ce n’est qu’en fin d’article que “Le Monde” daigne évoquer la position hongroise :

    Le premier ministre hongrois Viktor Orban, déjà vent debout contre le plan de répartition dans l’UE de réfugiés arrivés en Grèce et en Italie, a clairement fait part de son opposition à tout accord impliquant des « réinstallations » massives depuis le territoire turc.

    Le Premier ministre hongrois “n’a pas fait part” de son opposition : il a opposé un véto qui a fait échouer le plan que cherchent à imposer brutalement Merkel, Juncker et Davutoglu.

    Le journal Le Figaro n’a pas réagi différemment, titrant lui aussi sur le “délai” de dix jours visant à “finaliser” un accord qui en réalité n’existe pas (voir ici).

    Une vaste coalition vise à renverser Merkel

    Dans les coulisses, la Hongrie n’est pas seule. Et l’enjeu dépasse de beaucoup les simples modalités techniques de l’accord abondamment mis en avant dans la presse hexagonale.

    La Hongrie a été rejointe par un nombre important de pays d’Europe Centrale et de la région balkanique pour imposer une ligne de défense de l’intégrité ethnique et religieuse de l’Europe. La Bulgarie est par exemple en train de militariser activement sa frontière (voir ici) avec le soutien du groupe de Visegrad (Pologne, Tchéquie, Hongrie, Slovaquie) tandis que la Slovaquie a annoncé sa volonté de construire son propre mur de défense.

    L’Autriche a entrepris de défier Merkel en organisant à Vienne un sommet européen visant à fermer la route des Balkans aux masses de migrants afro-musulmans.

    Plus révélateur : la révolte s’organise au sein de la CDU, le parti d’Angela Merkel, où le Premier ministre de Bavière, Horst Seehofer, a pris la tête de la fronde. Celui-ci était récemment en Hongrie où il a soutenu la politique de Viktor Orban (voir ici), mais aussi en Russie où il a rencontré Vladimir Poutine (voir ici). Qu’on ne s’y trompe pas : c’est une déclaration de candidature pour remplacer Angela Merkel à la tête du gouvernement allemand. Le Premier ministre de l’état de Bavière engrange donc les soutiens internationaux en vue de mettre au point politique européenne cohérente.

    En toute logique, une victoire de l’aile droite de la CDU à Berlin terrorise le gouvernement socialiste français...

    Mais il y a plus.

    La Russie, principal adversaire de la Turquie islamiste en Syrie, voit ses intérêts converger avec ceux des opposants à la politique migratoire de Merkel, étroitement liée à celle d’Ankara sur le sujet. Et Paris pourrait rapidement voir sa politique “orientale” pro-islamiste,menée  en lien avec l’Arabie Saoudite, être complètement réduite en poussière si Berlin tranchait en faveur d’Assad.

    Sans surprise, Viktor Orban a dénoncé fin février les sanctions économiques contre la Russie, affirmant à mots couverts que la Hongrie ne les soutiendrait plus d’ici peu (voir ici).

    Pour des raisons idéologiques, économiques et sécuritaires mais aussi culturelles, conservateurs allemands, hongrois et russes veulent mettre un terme à l’anarchie dont sont responsables Angela Merkel et Recep Tayip Erdogan. Ce qui suppose d’isoler la Turquie, de fermer totalement les frontières de l’Europe – extérieures et intérieures – et de restaurer les relations euro-russes.

    Déclassement français

    Avec la fin de Schengen et la montée en puissance du sentiment identitaire et souverainiste en Europe Centrale et Orientale, on comprend que Paris soit soucieuse de masquer les dynamiques en cours et sur lesquelles la France n’a plus aucune espèce d’influence.

    La tentative de Manuel Valls de se faire l’écho de cette nouvelle donne lors de la conférence sur la sécurité de Munich (voir ici), a été accueillie froidement par la presse allemande et contredite par la nomination de Jean-Marc Ayrault au ministère des Affaires Étrangères.

    Ce dernier a récemment “salué” la politique d’Angela Merkel sur la question (voir ici). Jean-Marc Ayrault est unanimement reconnu comme parfaitement incompétent en matière de diplomatie – comme du reste – et a illustré l’incapacité de la présidence française à comprendre ce qui se passe. Et, au surplus, a encore renforcé l’isolement du Premier ministre français, sciemment marginalisé par le président français. Peu étonnant donc que Manuel Valls ne cache plus son envie de claquer la porte (lire ici).

    La chute de Merkel, inévitable, annoncerait l’effondrement du dogme immigrationniste en vigueur à Bruxelles et Paris. Et avec elle, la présidence socialiste française serait définitivement marginalisée en Europe, le centre de gravité des affaires continentales se déplaçant résolument à l’Est à mesure que l’UE se désintègre! ...

     

  • 19 MARS 1962, LA COMMEMORATION DE LA HONTE



     
                   Dans quelques jours, les ennemis de la France commémoreront dans la honte et le déshonneur, les « accords d’Evian » du 19 mars1962 (commémoration à laquelle assistera hollande) .

                 Pour eux, cette date funeste représente la « victoire » du FLN -leur allié d’alors- sur « l’odieux colonialiste »… sans la moindre pensée pour ces milliers de jeunes soldats, d’Européens et de Musulmans assassinés tout au long de ces huit années de guerre.
                 
                   Ce qui est révoltant, c’est cette arrogance despotique qu’affiche depuis 60 ans ce milieu gauchisant représentant l’anti-France, pour qui la colonisation française ne fut qu’« agression » et « souffrance » envers les « pauvres Musulmans marchant à coups de trique » (sic). C’est proprement odieux !


                   Alors que les meilleurs soldats que la France n’ait jamais eu tombaient chaque jour dans cette sordide guerre et au moment même où leur sacrifice lui permettait de relever la tête et d’émerger d’une longue série de défaites, cette intelligentsia gauchiste -qui de tout temps a pris le parti de l’étranger- n’eut de cesse de soutenir la cause des égorgeurs du FLN. Ce sont ces mêmes souteneurs que l’on retrouve aujourd’hui sous La bannière NPA, PC, Verts, CGT, FNACA… flanqués de leurs satellites « humanistes » champions des « droits de l’homme ».


                   Les âmes chagrines disent que la conscience se révolte au spectacle de certains crimes. Les images qui représentent les milliers d’hommes égorgés, les visages mutilés au couteau, les enfants déchiquetées par les bombes, les femmes violées puis éventrées, reculent les limites assignées à l’horreur. Cependant, ces atrocités, répliques de tant d’autres commises déjà en Indochine, ne révoltent pas les consciences contre les criminels mais contre les victimes. Ces milliers d’innocents versés dans la mort servent à apitoyer le monde sur le sort des bourreaux. Le réflexe n’est pas l’indignation devant la sauvagerie du crime, mais la compassion envers les assassins à qui l’on trouve toujours une excuse à leur acte « désespéré »...

    Et si les survivants excédés ou terrorisés prennent les armes pour sauver leur vie, dans un geste de défense aussi vieux que les âges, ils soulèvent contre eux l’unanimité des censeurs !

  • Le Conseil de l’Europe et le racisme en France : une déclaration suffocante !

     
    Le Conseil de l’Europe et le racisme en France : une déclaration suffocante !
     

     

    Dans un communiqué institutionnel incroyable du Conseil de l’Europe, de l’Union Européenne, et encore d’une certaine organisation paneuropéenne Thorbjom Jagland (sic), un comité bidule appelé ECRI (Experts de la Commission contre le Racisme et l’Intolérance) a publié un rapport sur « l’accroissement des violences racistes, antisémites et islamophobes » en France...

    Selon l’article de l’AFP qui lui est consacré (01/03/2016 - 16 h 08), ce texte évoque   « la persistance préoccupante des discours islamophobes alimentés par certains responsables politiques comme Marine Le Pen ou Jean-François Copé »...

    À la première, il est reproché sa déclaration (décembre 2010) sur les prières de rue comparables à l’occupation allemande et au second d’avoir évoqué le fait de « voyous » musulmans qui auraient arraché un pain au chocolat à un « jeune » au motif qu’on ne mange pas pendant le ramadan (octobre 2012).

    Les grands experts dénoncent aussi la suppression en 2015 par Gilles Platret, maire de Chalons sur Saône, des menus sans porc des cantines scolaires.

    De telles indicibles horreurs ont donc amené l’ECRI à exiger des autorités de légiférer pour que le racisme ou l’homophobie constituent « une circonstance aggravante de toute infraction pénale ordinaire ». Dans l’ignorance que cela est déjà établi. Et qu’il y a beaucoup à redire sur la notion juridique de « circonstances aggravantes ».

    Certaines circonstances sont ainsi préétablies comme plus « aggravantes » que d’autres considérées sans doute par le fait même comme de moindre gravité…

    On reste pantois devant ce rapport. Pour sa débilité insigne il mériterait de rester dans les annales du totalitarisme eurocratique comme un exemple de l’incommensurable aberration de l’antiracisme idéologique et obsessionnel… parfaitement raciste.

    Oser ressortir plusieurs années après, faute de mieux, comme un révélateur de l’abomination raciste qui sévirait en France des propos tels que ceux évoqués, c’est tout simplement hallucinant!

     Les « experts » de l’ECRI ne savent donc pas que, comme le rapportent des Français musulmans non fanatiques, et aussi nos amis musulmans convertis au christianisme, de plus en plus des brigades de police islamique des mœurs patrouillent dans certains quartiers considérés comme acquis à l’islam! Leur mission est d' interpeller non seulement de supposés coreligionnaires sur leur observance trop relâchée de la charia mais même des consommateurs chrétiens considérés comme des dhimmis et ainsi déjà tenus, par exemple, à ne pas boire un demi-pression sur la terrasse d’un café en zone islamisée...

    Mais la perversion idéologique de ce rapport expressif du discours totalitaire eurocratique ne tient pas seulement à ce qui y est mentionné , elle tient tout autant à ce qui n’y figure pas.  

    C’est en effet un rapport du Conseil de l’Europe dans lequel siège la Turquie :

    -  Cette Turquie où a été perpétrée dans des horreurs indicibles le premier génocide du XX° siècle et qui non seulement ne s’en repent pas mais qui honore ses grands criminels tel Talaat Pacha avec un somptueux mausolée où le sinistre Erdogan si cher à Mme Merkel l’honore.

    -  Cette Turquie où l’on a assassiné de rares religieux, missionnaires héroïques,, sans jamais punir les assassins, soit qu’on les déclare fous, et donc intouchables, soit qu’on ne les trouve jamais.

    Ces « experts du Conseil de l’Europe » sont en effet des experts en préparation de la dhimmitude et en collaborationnisme ottoman.