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  • François Hollande a totalement échoué, notamment en matière de chômage !

     

    Encore un Plan qui passe complètement à côté de l’essentiel. Mais quand la gauche comprendra-t-elle que les entreprises ont besoin de respirer pour pouvoir embaucher ?

    Lors de vœux adressés au monde de l’entreprise au Conseil économique, social et environnemental (CESE) le 18 janvier dernier, François Hollande a annoncé une batterie de mesures destinées à avancer sur le terrain de l’emploi. Ces mesures incluent une prime à l’embauche de 2000 euros, un élargissement des baisses de charges « patronales » du crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE), un plan de formation de 500 000 chômeurs, une relance de l’apprentissage, une réforme de l’auto-entrepreneuriat ou encore une ouverture à la négociation sur le droit du travail et l’assurance chômage.

    À un an de l’élection présidentielle, alors que François Hollande a échoué lamentablement à faire reculer le chômage malgré ses promesses répétées d’inverser la courbe, ce plan de la dernière chance s’apparente en fait à un cache-misère et à une vaste manipulation statistique pour faire sortir un grand nombre de chômeurs des statistiques de demandeurs d’emploi.

    L’exécutif doit faire face à un véritable constat d’échec en matière de lutte contre le chômage, malgré un taux de croissance de l’économie de 1,1 % en 2015. La plupart des politiques publiques en matière d’emploi ont consisté en une augmentation des dépenses, en la création d’emplois publics et d’emplois aidés, et en diverses déductions fiscales pour alléger la facture des entreprises. Ce plan emploi, dont le coût global serait de 2 Milliards , ne fait pas exception. Il est présenté alors que le nombre de demandeurs d’emploi atteint un plus haut historique de 3 590 600 demandeurs d’emploi de catégorie A (sans emploi, recherche active d’emploi) et de 6 175 300 demandeurs d’emploi toutes catégories confondues. Cela représente une augmentation respectivement de 23 % et de 24 % du nombre de demandeurs d’emploi depuis le début du mandat de François Hollande en mai 2012. Si François Hollande fait remarquer avec raison que la mutation de l’économie est extrêmement rapide, ces mesures ne sont absolument pas à la hauteur de la tâche, et ne servent finalement qu’à préparer sa réélection.

    Nombre de demandeurs d’emploi

    Nombre de demandeurs d'emploi

    chiffres Pôle emploi

    Le tour de magie statistique du plan de formation

    François Hollande a annoncé un plan de formation dont le coût est évalué à 1 Md€, et qui consisterait dès 2016 à former 500 000 chômeurs dans les métiers du numérique et de l’énergie et dans les secteurs où l’offre d’emploi est importante, mais où il manque de personnel qualifié. Si la volonté de former les chômeurs est évidemment une orientation louable, puisque chaque année, entre 140 000 et 150 000 jeunes sortent du système scolaire sans qualification, la formation professionnelle est inutile si elle ne correspond pas aux besoins des entreprises et si la croissance économique est insuffisante.

    L’avantage pour l’exécutif d’un plan aussi large de formation est surtout que les 500 000 chômeurs de catégorie A passeront en catégorie D et sortiront donc des statistiques du chômage. À un an des élections présidentielles, on peut donc penser qu’il s’agit d’une manœuvre statistique politicienne pour faire artificiellement baisser le taux de chômage officiel – qui, rappelons-le, est calculé par rapport au nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A à Pôle emploi. De plus, il est tout à fait impossible de mettre en place un plan aussi vaste de formation, car ces 500 000 chômeurs viendraient se rajouter au cortège existant des candidats à une formation, et la dépense publique viendrait se rajouter aux 32 Mds€ déjà dépensés pour la formation professionnelle continue et pour l’apprentissage.

    Un plan d’urgence, mais des mesures limitées

    La deuxième mesure majeure est la prime à l’embauche de 2000 euros, qui sera accordée sur deux ans pour toute nouvelle embauche dans les entreprises de moins de 250 salariés, pour un salaire entre 1 et 1,3 SMIC, et pour tout contrat signé en CDI ou en CDD de plus de six mois. Mais comme on a pu le constater avec la mise en place du pacte de responsabilité et du CICE, l’effet sur l’emploi a été quasi-inexistant. De plus, l’effet d’une prime à l’embauche ne porte que sur les nouvelles embauches, mais ne permet pas de réduire durablement le poids du coût du travail. La plupart des entreprises préféreront donc embaucher des personnes sur des contrats courts de six mois, plutôt que de prendre le risque d’embaucher en CDI.

    Les entreprises n’ont pas besoin d’être subventionnées par l’État pour embaucher. Elles ont avant tout besoin que la productivité du salarié soit suffisamment supérieure au coût global de sa rémunération ; que l’embauche puisse être facilement défaite en cas d’inadaptation ou d’improductivité de l’employé ; que le temps de travail, la rémunération et les autres modalités du contrat de travail soit négociables facilement ; ou encore que leurs opportunités commerciales s’élargissent. Ce plan d’urgence pour l’emploi semble donc ne pas engager les réformes de fond dont les entreprises françaises ont besoin pour embaucher à nouveau. Il semble avant tout destiné à préserver l’emploi actuel du Président de la République…

  • La révolution française est terminée . L’apocalypse va frapper l’Europe .

     

     
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    BREIZATAO – PENNADSTUR (28/01/2016) Notre société est encore en léthargie et continue de se bercer d’illusions et d’utopies. L’Europe de l’Ouest n’a pas encore compris qu’elle est entrée en décrue, même si 70 ans de domination partielle des USA et de l’URSS ont pu lui faire croire que la modernité philosophique européenne avait triomphé sur l’ensemble du globe. L’heure de la révision drastique de cette vision du monde s’impose dans le sang.
     
    La fin de la modernité politique
    La société bretonne est actuellement rattachée à la société française et vit de ce fait au rythme des illusions de cette dernière. L’utopisme révolutionnaire français guidé par l’égalitarisme, une des trois idées “missionnaires” de Toynbee, est tombée avec l’Union Soviétique. A l’ombre de l’Union Européenne et de la religion séculière des “droits de l’homme”, les derniers tenants de la révolution française – soit la quasi totalité des élites hexagonales – ont pu se rassurer en s’accrochant à la fiction d’une “république” éthérée, inaccessible aux cycles historiques.
    La destruction de la Yougoslavie avait alimenté l’espoir d’un passage de l’utopisme communiste à l’utopisme américain, moyennant quelques changements marginaux. L’Union Européenne, en France, était perçue comme un simple décalque de la révolution française étendue au reste du continent, l’ensemble marchant à l’ombre de l’Otan.
    La destruction de la Libye par l’armée française préfigurait, indirectement, l’événement fondamental qu’a été la chute de Mossoul sous les coups de l’État Islamique. Le stato-nationalisme de type jacobin, hérité de la décolonisation, a volé en éclat et avec lui la modernité révolutionnaire en dehors de l’Europe.
    Certes, cette lutte avait commencé en 1979 lors de l’invasion de l’Afghanistan par l’URSS. Mais, jusqu’à présent, jamais des états créés sur la base de l’état-nation de type jacobin n’avait été détruit pour lui substituer des identités primordiales millénaires. L’Afghanistan n’a pas changé de frontières. L’État Islamique, lui, les supprime.
    Il n’y a plus d’Irak ou de Syrie. Il n’y aura bientôt plus de Liban ou de Jordanie. En lieu et place, il y a des Perses, des Arabes, des Kurdes ou des Turcs. Il y a des Chiites, des Sunnites, des Druzes, des Chrétiens, des Yézidis. Au sein de ces groupes, diverses tendances politiques ou religieuses existent voire s’affrontent.
    Le Moyen-Orient est au début d’une confrontation apocalyptique impliquant des acteurs prêts à une guerre d’extermination dont aucun de ses groupes ne pourra s’extraire. Précisément parce que des états comme l’État Islamique entendent, selon le principe de la guerre révolutionnaire communiste, activer des antagonismes ethniques et religieux afin de progresser partout.
     
    La faillite du monde arabo-musulman
    Ce conflit intervient dans le contexte d’un monde maghrébin et arabo-musulman en échec total. Il a échoué à intégrer la modernité occidentale a contrario de cultures comme celles d’Asie. Cet échec face à la modernisation n’a pas cependant permis aux sociétés arabo-musulmanes de demeurer dans un cadre traditionnel : à l’exception du Maroc, tous les pays arabes ont été détruits socialement au cours du XXème siècle. Monarchies et califat ottoman ont détruit par le colonialisme et les nationalismes laïcs.
    Le nationalisme arabe a malgré tout échoué. Il a invariablement muté en dictature militaire. Quand ces dictatures sont bouleversées – comme en Égypte en 2011 – c’est pour sombrer dans un islamisme ayant absorbé les principes de la guerre révolutionnaire et du terrorisme qui l’accompagne. La logique de cet islamisme est simple : l’échec à assimiler la modernité appelle à un retour en arrière radical. La seule distinction entre les différents groupes islamistes porte sur leurs méthodes.
    Et il prospère dans des pays où végètent des centaines de millions d’individus illettrés, pauvres et jeunes. Pire : il existe désormais des moyens de destruction peu coûteux dont ces groupes s’emparent pour imposer leur volonté.
    Les débats autour de “réformes” sociales ou philosophiques que l’on entend en Europe de l’Ouest n’ont aucun intérêt. La révolution iranienne en 1979 ou la proclamation du “califat” en 2014 par l’État Islamique ont mis un terme au débat.
    Démographie incontrôlée, absence de ressources suffisantes, déterminismes ethniques et raciaux sur fond de guerres entre puissances régionales – Iran, Turquie, Arabie Saoudite, etc. – font que l’islam radical, et plus encore le djihadisme, vont s’imposer dans ces pays. Et largement débordé.
     
    L’apocalypse va frapper l’Europe
     
    Ce débordement a déjà commencé en direction d’une Europe de l’Ouest gavée de principes anti-historiques, portés tantôt par le marxisme tantôt le social-démocratisme. Autant d’idées héritées du temps où l’Europe pensait dominer l’espace et le temps, croyait pouvoir abolir l’histoire et réduire les cultures non-européennes à la sienne propre.
    Ce retour des identités primordiales qu’accompagne le reflux général de l’Occident ne se limite pas à l’Afrique, au Proche-Orient ou à la Russie. Par le jeu de l’immigration, le retour de la culture, de l’appartenance ethno-raciale et tribale meuvent désormais des masses considérables au cœur des villes d’Europe de l’Ouest.
    Le camp du “progressisme”, aveuglé par sa conception absurde d’une temporalité linéaire et d’un universalisme qui n’existe que dans leur esprit, est en train de se fracasser sur le séparatisme racial, culturel voire religieux des populations allogènes.
    Ces tenants de l’ordre ancien continuent d’appeler à toujours plus d’immigration alors même que les millions d’extra-européens – généralement musulmans – déjà présents établissent des enclaves culturelles imperméables à leur propre culture. Ce fanatisme progressiste des élites européennes ne s’adresse pas tant aux immigrés musulmans qu’aux réalistes européens qui président à la destruction de la religion du progrès, de l’égalitarisme et de l’universalisme.
    L’opposition des progressistes de gauche ou de droite aux réalistes est en réalité un conflit religieux qui prend simplement la forme laïque du combat idéologique. Les élites progressistes refusent tout simplement d’admettre que les réalistes européens, agnostiques quant à leur religion universaliste, ne les renversent.
    L’universalisme et l’égalitarisme, paradoxalement, constituent le dernier stade du complexe de supériorité hérité de l’impérialisme français et européen. Leurs tenants, issus de la bourgeoisie blanche progressiste, croient pouvoir réduire les masses non-européennes à une simple extension d’eux-mêmes. Mais les afro-orientaux et autres musulmans sont par nature inassimilables à la culture européenne car ils sont de nature différente.
    Et c’est précisément ce que l’État Islamique et la disparition de l’Irak et de la Syrie représentent : l’inévitable disparition d’une modernité politique européenne qui ne fut jamais que la projection fragile de la culture occidentale en dehors des frontières continentales.
    Quoique pensent les universalistes et égalitaristes occidentaux aveuglés par leur hubris, ces races et peuples demeureront eux-mêmes. Avec leur mémoire et leur culture.
    Le chapitre de la révolution française va se refermer en France. Elle va finir dans une guerre ethnique, raciale et religieuse qui sera la démonstration de la faillite de l’optimisme historique apparu en 1789.
     
    Préparer notre réponse
     
    La question n’est donc pas de savoir s’il y aura une guerre apocalyptique et globale qui emportera avec elle l’ordre social moderne chez nous : elle est déjà en cours. La question est de savoir si nous opérerons cette transition dans un ordre relatif ou si nous laisserons ce processus s’opérer dans l’anarchie, par facilité ou ignorance.
     
    La société bretonne dispose des ressources nécessaires pour y faire face. Elle peut se réorganiser sur la base de son propre génie, de son capital historique. Bref, sur sa base culturelle profonde, débarrassée des scories de cette même modernité jaillie en France en 1789. C’est tout l’objet de l’Emsav.
    Nous ne devons pas attendre la défaillance généralisée de l’état révolutionnaire français – la “République” – pour garantir notre survie. Nous ne devons pas attendre d’avoir la guerre civile à nos portes pour bâtir notre état ethno-national et penser notre nouvel environnement. Plus nous attendrons, plus le coût sera élevé.
    Cette conclusion est d’autant plus évidente que le contrat tacite entre le peuple breton et l’état révolutionnaire français repose sur le clientélisme ethnique : promotion sociale contre acculturation et sujétion. Dès lors que l’état jacobin sera défaillant de façon chronique, la sécession sur base ethnique sera la règle. En 1911, le nationalisme breton a simplement eu raison trop tôt.
    Ayons par ailleurs à l’esprit que les tenants de l’optimisme révolutionnaire qui sévissent chez nous sont près à passer de leur idée missionnaire centrale – l’égalité – à celle qui émerge chez nous : la soumission. Terme qui est la traduction exacte du mot “islam”. La sortie de l’égalitarisme peut parfaitement s’accommoder de cette idée sur le point de devenir, de facto, la nouvelle religion de l’Europe de l’Ouest. Et ce sur le modèle de ce qu’a été le christianisme lorsqu’il est devenue la religion officielle de l’empire romain.
    Marxisme et socialisme verront fatalement leurs partisans se fondre dans le magma général de la barbarie islamo-immigrée au motif que l’égalité s’accommodera toujours mieux de la soumission islamique que de la liberté européenne. Par capitulation d’une part. Par fascination de l’autre. Sans oublier l’obsession du nivellement par le bas et le nihilisme qui sont les moteurs des tenants de la gauche.
     
    Concrètement, cela signifie que nous devrons détruire ceux de notre communauté d’origine qui soutiennent activement l’ennemi.
     
     

  • Civitas victime de la république maçonnique .

     

    Rivarol : Civitas a subi un contrôle fiscal aux évidents relents politiques, Qu'en est-il au juste ?

     

    Alain Escada : A l'issue du contrôle fiscal, l'administration fiscale prive Civitas du droit d'émettre des reçus fiscaux permettant à nos donateurs de déduire partiellement leur don de leurs impôts et inflige à Civitas un redressement fiscal de 55 000 euros.

     

    Rivarol : Quel est l'argument invoqué par le fisc ?

    AE : Les contrôleurs fiscaux ont considéré que les objectifs et les activités de Civitas n'étaient pas « d'intérêt général ». Or cette notion semble laissée à l'appréciation du pouvoir en place.

     

    Ainsi, l'administration fiscale ne voit pas de problème à ce que l'inscription de 900 euros par personne au banquet du Conseil représentatif des Institutions Juives de France (CRIF) soit déductible des impôts. Les dons au MRAP, à la LICRA ou à SOS Racisme restent déductibles d'impôt. Financer la construction d'une mosquée, c'est déductible d'impôt. Soutenir financièrement une association d'homosexuels ou de transgenres, cela reste déductible d'impôt. Remettre de l'argent à l'ADMD qui promeut l'euthanasie, c'est déductible d'impôt. Faire un chèque aux ayatollahs de la laïcité ou aux loges maçonniques, c'est déductible d'impôt. Même verser de l'argent à l'association juive Tsidkat-Eliaou pour offrir des pizzas à des soldats israéliens, c'est déductible d'impôt.

     

    Aux yeux de l'Etat républicain et maçonnique, tout cela est « d'intérêt général », contrairement à la défense de la France catholique et de la famille traditionnelle.

     

    Rivarol : Est-il vrai qu'une pétition est à l'origine de ce contrôle fiscal ? Et que la franc-maçonnerie y est impliquée ?

    AE : L'Union des Familles Laïques (UFAL), dont les liens avec le Grand Orient de France sont notoires, s'est vantée par communiqué d'avoir, par cette décision de l'administration fiscale, obtenu « victoire ».

    Depuis novembre 2012, l'UFAL faisait circuler une pétition exigeant de l'Etat de priver Civitas de la possibilité d'émettre des reçus fiscaux. En plus de trois ans d'efforts répétés, cette pétition n'a pas atteint les 16 000 signatures. Mais si les signataires ne sont pas nombreux, on y trouve par contre beaucoup de représentants de l'anti-France et de tous les mouvements subversifs qui sévissent en France, y compris une longue liste d'élus de la gauche et de l'extrême gauche. Leur pouvoir de nuisance est proportionnel à leur collusion avec ceux qui gouvernent la France.

    Je tiens également à préciser que la plupart des organismes dont les responsables ont signé cette pétition, bénéficient eux, non seulement de la déductibilité fiscale mais aussi de plantureuses subventions.

     

    Rivarol : Civitas peut-il se relever de ce mauvais coup ? Un redressement fiscal de 55 000 euros, cela s'avère probablement être une rude difficulté pour l'avenir de votre mouvement ?

    AE : Il est certain que l'objectif est de nous asphyxier financièrement. 55 000 euros, c'est à peu près ce que Civitas avait en caisse... Nos projets et notre fonctionnement au quotidien sont donc sérieusement mis en péril. C'est pourquoi nous lançons un appel à tous ceux qui, sans nécessairement partager toutes nos convictions, souhaitent nous témoigner leur solidarité et leur soutien. C'est le moment ou jamais de nous adresser un don, un abonnement ou une simple adhésion. Les petits ruisseaux font les grandes rivières. Nous n'avons pas l'intention de courber l'échine. Nous n'allons pas laisser nos adversaires triompher. Nous sommes déterminés à continuer à nous battre. Ensemble, si Dieu veut nous relèverons l'étendard de la Chrétienté !

     

    Les chèques pour Civitas sont à adresser à son secrétariat, 17 rue des Chasseurs, 95100 Argenteuil

     

     

     

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    Quelques compléments d’information au sujet du duel entre Civitas et la république maçonnique

     

     Notre précédent communiqué a entraîné quelques questions auxquelles nous répondons bien volontiers.

     

     . Il est bien entendu que les services fiscaux ont motivé leur décision. L’administration fiscale considère que les activités menées par Civitas durant les trois dernières années (années contrôlées) ne correspondent pas aux critères valables pour être reconnu “organisme d’intérêt général”.

     

    Les contrôleurs ont estimé que la partie “formation” dispensée par Civitas (et qui entre dans les critères de reconnaissance en tant qu’organisme d’intérêt général) était devenue secondaire tandis que la partie “militante” (notamment depuis notre mobilisation contre la loi Taubira) avait pris le dessus.

     

    D’autre part, les contrôleurs fiscaux ont estimé que, parce que spécifiquement catholique, Civitas ne s’adressait pas à tous, ce qui serait également opposé à la notion d’organisme “d’intérêt général”...

     

    C’est sur base de ces arguments que les services fiscaux privent Civitas de la déductibilité fiscale.

     

    Quant au redressement fiscal de 55.000 euros infligé à Civitas, il est calculé sur base des dons pour lesquels ont été émis des reçus fiscaux durant les trois dernières années.

     

     . Par ailleurs, nous avons droit à un recours et un avocat fiscaliste en est en charge. Cependant, ce sont des frais supplémentaires engagés sans garantie de résultat.

     

    . Si l’argumentation de l’administration fiscale peut s’entendre quant aux critères à respecter pour la reconnaissance en tant qu’organisme d’intérêt général, dans ce cas, des centaines voire des milliers d’autres associations pratiquant la déductibilité fiscale pourraient la perdre dès aujourd’hui. Pour ne citer qu’un seul exemple, en quoi les lobbies LGBT, pour ne citer qu’eux, sont-ils plus en droit que Civitas d’être considérés “d’intérêt général” et de conserver la déductibilité fiscale ? La réalité, c’est que ce contrôle est le fait du Prince, ou plus précisément du Pouvoir maçonnique.