Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Immigration : le projet de loi adopté dans l’indifférence générale ! ...

     

     

    grand-remplacement

     

    Alexis Théas, universitaire, juriste et spécialiste de l’immigration, a publié une tribune sur le site du Figaro dont nous vous livrons quelques extraits.

    Jeudi 18 février, subrepticement, en catimini, dans l’indifférence générale, la cachoterie, le désintérêt absolu des médias, l’Assemblée nationale a définitivement adopté le projet de loi sur l’immigration de M. Valls et M. Cazeneuve. Cette réforme transforme profondément le système français de l’immigration. Pourquoi ne pas le dire, pourquoi le dissimuler? Il va de toute évidence dans le sens de l’ouverture, de l’accueil, du renforcement des droits des étrangers et de l’affaiblissement des outils de l’Etat dans la lutte contre l’immigration illégale.

    Ainsi, cette loi crée une «carte pluriannuelle de quatre ans» (article 313-17 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, ou CESEDA). Elle met fin au système classique en France de la carte de séjour temporaire d’un an renouvelable pendant cinq ans, avant de passer au titre de résident de dix ans. Ce système imposait une période probatoire à un ressortissant étranger qui devait faire la preuve de sa volonté d’intégration avant d’obtenir un titre de séjour durable. Désormais, il obtient, dès la fin d’une première année en France, une carte de séjour «solide»de quatre années, ne nécessitant pas de renouveler sa démarche en préfecture.

    La nouvelle loi adoptée hier prévoit un dispositif particulier en faveur des étrangers en situation irrégulière, malades en France, après trois mois de résidence. Ces derniers, atteints d’une maladie d’une exceptionnelle gravité – terme qui recouvre quasiment toutes les maladies graves, y compris psychiatriques – , s’ils n’ont pas les moyens personnels d’être soignés dans leur pays (revenu suffisant, couverture sociale, proximité d’un hôpital de son domicile), obtiennent le droit d’être régularisés en France et de bénéficier du système de soin français (article L313-11-11 du CESEDA). Il incombe à l’administration, si elle envisage de refuser de le régulariser, d’apporter la preuve qu’il dispose personnellement des moyens d’être soigné dans son pays. Ce dispositif ouvre un engrenage, un risque d’un appel d’air, dont on ne voit pas où il peut s’arrêter !

    Enfin, la loi Valls-Cazeneuve rend infiniment plus compliquée la lutte contre l’immigration illégale. Elle supprime la rétention administrative de cinq jours pendant laquelle le préfet peut décider de garder un étranger en situation irrégulière en rétention, le temps d’organiser son départ. Celle-ci passe à 48 heures. Seul le juge des libertés pourra la prolonger au-delà de 48 heures (article L 551-1) Or, les juges des libertés sont dans l’ensemble extrêmement réticents à maintenir en rétention en vue de leur éloignement des étrangers en situation illégale n’ayant pas commis d’infraction pénale (la jurisprudence et la loi Valls du 31 décembre 2012 ont dépénalisé le simple séjour irrégulier). En 48 heures, il est totalement impossible au préfet d’organiser le départ d’un migrant en situation irrégulière. Le dispositif de lutte contre l’immigration illégale va ainsi se trouver en grande partie bloqué. En outre, la nouvelle loi interdit le placement en rétention administrative des familles avec enfant mineur (article L551-1 et L561-2). Dès lors, l’éloignement des familles en situation irrégulière devient quasi impossible.

    (…) Dans le climat actuel, alors que la crise des migrants bat son plein en Europe, cette réforme aura forcémement pour effet d’affaiblir l’Etat dans la maîtrise de l’immigration. Avec cette loi, le gouvernement donne des gages à la frange la plus idéologique du parti socialiste.

    L’affichage de la fermeté, à travers la constitutionnalisation de la déchéance de la nationalité, totalement inutile, cache mal une fuite en avant dans le renoncement plus général. Mais tous les partis sont concernés. La nouvelle loi a été voté dans un climat d’indifférence et de légereté qui donne le vertige. Seul un député des Républicains était présent à l’Assemblée lors du vote final, expédié en moins d’un heure. Aucun des deux députés Front national n’assistait à cette séance (ni à la précédente). Il est intéressant de voir ce parti qui a prospéré sur la provocation anti-immigrée, se montrer totalement absent dans un débat aussi stratégique. Bref, une fois encore, face à un intérêt essentiel pour l’avenir du pays, en pleine crise migatoire, la classe politique dans son ensemble, comme d’ailleurs le monde médiatique, sont surpris en pleine dérobade, en pleine dissimulation. Irresponsables et coupables mais cela n'est pas étonnant vu que la plupart sont franc-maçons ...

  • Monseigneur Aillet brûlé en effigie à Saint-Jean de Luz : une dérision significative !

     

    Monseigneur Aillet brûlé en effigie à Saint-Jean de Luz : une dérision significative !

    L’acte perpétré lors du carnaval de Saint Jean de Luz consistant à brûler en effigie l’évêque du diocèse ne relève pas d’une mascarade de mauvais goût qu’auraient perpétrée d’imbéciles potaches. Il a été idéologiquement préparé et d’ailleurs approuvé par le parti socialiste et les groupuscules d’extrême-gauche.

    Il s’inscrit dans la séquence actuelle d’usage systématique de la dérision contre le christianisme que les tribunaux ne condamnent jamais si elle est dirigée contre certaines religions, constituant un moyen de dénigrement préalable aux phases de persécution.

    L’histoire vérifie cela.

    Ainsi Jean Jaurès, dans son Histoire socialiste de la Révolution, rapporte-t-il avec une grasse délectation que le 5 mai 1791, dans le jardin du Palais Royal, devant la foule révolutionnaire : « Le feu est mis à un mannequin représentant le pape Pie VI ». Jaurès décrit cela sous le titre : « L’insolent mufti au bûcher ».

    Moins de deux ans plus tard, c’est par milliers que, selon les cas, on brûla, égorgea, noya, guillotina des milliers de religieux et de fidèles, hommes, femmes, enfants.

    La mise au bûcher des effigies des personnes haïes fut une pratique fréquente dans les moments préparatoires des monstruosités nazies ou communistes, et particulièrement dans les manifestations de haine des Espagnols fanatiques, rouges ou noirs, avant la guerre civile de 1936.

    Il convient, cela dit, de rappeler que les auteurs du triste fait de Saint Jean de Luz ne suscitent que la condamnation du pays basque unanime, attaché à son âme chrétienne, à sa culture, à son identité, à ses traditions de solidarité avec son clergé.

     

  • Des nouveaux ministres liés à la franc-maçonnerie mis aux commandes pour détruire ce qui reste de la France !

     

     

    ces-francs-macons-qui-nous-gouvernent-obs

    Analysons qui sont les nouveaux ministres choisis par François Hollande.

    D’emblée, notons que les milieux maçonniques se réjouissent que deux nouveaux ministres, Jean-Michel Baylet et Jean-Vincent Placé, ont en commun avec Manuel Valls, Jean-Yves Le Drian et Alain Vidalies d’avoir été initiés au Grand Orient de France (GODF).

    Jean-Michel Baylet, 69 ans, nouveau ministre de l’Aménagement du territoire, de la Ruralité et des Collectivités territoriales, est un radical de gauche, ce qui ne l’empêche pas d’être également le PDG du groupe de presse La Dépêche et de faire partie des 500 plus grandes fortunes professionnelles françaises. Sa mère, Evelyne Isaac, née en Algérie dans une famille juive originaire d’Alsace, avait été la première femme présidente de conseil général en France, de 1970 à 1982.

    Le 13 mars 2003, Jean-Michel Baylet avait été condamné par la cour d’appel de Toulouse pour abus de biens sociaux.

    Jean-Michel Baylet, comme la plupart des radicaux de gauche, est un « frère » du GODF.

    Jean-Vincent Placé, 47 ans, devient secrétaire d’Etat auprès du premier ministre, chargé de la réforme de l’Etat et de la simplification.

    Passé par les radicaux de gauche avant d’entrer chez EELV. Il est également initié au GODF et a fréquenté le temple de la Loge La Pierre Angulaire. Il co-préside le Club EREL (Ecologie, République et Libertés) avec la sénatrice Esther Benbassa.

    vincent-place-sioniste

     En 2012, Jean-Vincent Placé a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris pour diffamation à l’encontre de Christian Vanneste.

    En avril 2014, Placé déclare à RTL avoir réglé les 18.000 euros de PV impayés relatifs à des infractions routières commises avec une voiture de fonction du conseil régional.

    Ericka Bareigts, 48 ans, devient secrétaire d’Etat en charge de l’Egalité réelle.

    Membre du PS depuis 1986, elle fait aussi partie de la franc-maçonnerie.

    Audrey Azoulay, 43 ans, devient ministre de la Culture et de la Communication. Elle est née au Maroc. Son père André Azoulay est membre du club mondialiste Le Siècle. David Azoulay, un cousin, est un responsable du B’naï B’rith...

     

     

    L'actualité politique a donc été évidemment marquée, ces derniers jours, par le remaniement ministériel, a minima, qui, toutefois, a moins fait gloser que le départ bouffon de Taubira, qui l'a précédé de quelque jours.

    Que dire du retour de Ayrault en remplacement du catastrophique Fabius promu à la présidence du Conseil constitutionnel, de l'arrivée de trois ministres écologistes, d'un retour au respect strict de la parité dans l'équipe ministérielle ou de la création de secrétariats d'Etat à l'intitulé démagogique - on croyait avoir tout vu, en 1981, avec le ministère du temps libre ?

    C'était sans compter des équipes de communicants pouvant vendre n'importe quoi à un François Hollande, voire à un Manuel Valls qu'on pensait plus lucide, totalement dépourvus du sens du ridicule. Croient-ils que les Français, confrontés, sur leur sol, au terrorisme islamiste, au déferlement migratoire et à l'aggravation de la crise économique, n'aient d'autre attente que la création d'un très stalinien secrétariat d'Etat à l'égalité réelle , d'un autre, lacrymal, à l'aide aux victimes ou, d'un troisième, très politiquement correct, aux relations internationales sur le climat et à la biodiversité ?

    Alors qu'en temps de crise une équipe resserrée s'impose pour garantir la cohérence de l'action, Hollande, en homme de la IVe, a fait le choix inverse : satisfaire tous ceux qui pourront, pense-t-il, l'aider à gagner en 2017, des radicaux de gauche, avec le retour de leur président, Baylet, ancien ministre, ancien député, ancien sénateur, et présentement puissant homme de presse, qui jappait d'impatience depuis le début du quinquennat, aux deux tendances écologistes : EELV par la personne d'Emmanuelle Cosse, et la dissidence. Non sans que cette promotion d'arrivistes notoires n'achève une mouvance qui, depuis sa création, n'a jamais su donner que le pire des spectacles politiciens, ce qui est assez naturel pour un parti dépourvu de tout sens de la cité : il est alors condamné à n'être que sa propre caricature, l'ambition personnelle ne pouvant prendre le masque de la recherche du Bien commun !