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  • Déjà plus de 5000 islamistes revenus en Europe après un entrainement terroriste (Europol) .

     

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    BREIZATAO – ETREBROADEL (20/02/2016) Plus de 5000 individus sont revenus en Europe après avoir suivi un entraînement terroriste dans des camps djihadistes a indiqué le directeur d’Europol.

    Rob Wainwright a affirmé que l’Europe faisait face à la plus grande menace terroriste de ces 10 dernières années (sic) et a averti d’attaques de masse de la part de l’État Islamique.

    “Le nombre croissant de combattants étrangers présents au sein des pays de l’UE représente un défi complètement nouveau “ a déclaré le chef de l’agence de coordination des polices de l’UE

    Au moins 700 individus en provenance du Royaume-Uni ont voyagé en Syrie et en Irak pour soutenir ou combattre des groupes armés, dont la moitié est revenue depuis.

    Le directeur d’Europol assure que jusqu’à 5000 éléments musulmans ayant fait le voyage d’Europe sont revenus de sessions d’entraînement à caractère terroriste, ajoutant que des attentats étaient attendus avec davantage de pertes civiles.

    “Nous nous attendons à ce que l’Etat Islamique et d’autres groupes islamistes mènent des attaques quelque part en Europe, dans le but de générer un grand nombre de victimes dans la population civile”.

    (Source : Fox News)

  • Ce que l’on cache : le cobaye de Rennes a été tué par le cannabis !

     

    Le 10 janvier, à Rennes, (mais rien ne filtra jusqu’au 15 janvier!) un accident rarissime a provoqué de graves problèmes médicaux à 6 personnes qui servaient de cobayes à des essais thérapeutiques, dont l’une a trouvé la mort moins de 48 heures après son brutal empoisonnement. L’événement est extraordinaire : ces trente dernières années, le monde occidental n’aurait officiellement connu que 6 décès de cobayes (c’est bien de cela qu’il s’agit et non de “patients” comme nous avons pu l’entendre et le lire un peu partout) au cours d’expérimentations de phase 1. Autant dire que la mort de Guillaume Molinet, artiste-peintre, chanteur ouvert sur le monde selon Le Journal du dimanche, à la suite de l’ingestion en doses croissantes de molécules novatrices, n’est pas un décès anodin, et ne devrait pas être traité comme un fait divers par le media boursouflé. D’ailleurs quelques heures seulement après l’annonce de l’hospitalisation des testeurs, Marisol Touraine est intervenue directement du CHU de Rennes pour recadrer la “communication” faite autour de cet “accident”, un accident qui ne doit visiblement pas se transformer en affaire socio-politique. Pour Touraine, l’accident est bien sûr très malheureux mais doit donner lieu à une enquête sur le seul respect, le seul suivi de la procédure et non sur la toxicité intrinsèque du produit qui était voué à être commercialisé prochainement...

    Lorsque les media généralistes évoquèrent l’empoisonnement de Rennes, ils parlèrent vaguement du produit en question en voie d’évaluation. On apprit, ou plutôt on crut apprendre qu’il s’agissait d’une espèce de cannabinoïde ou d’un produit qui agissait directement sur les effets de cette dernière dans l’organisme humain (une molécule qui empêcherait l’inhibtion des cannabinoïdes endogènes). C’est que les choses devenaient dangereuses pour le gouvernement de notre indigénat. Comment ?! C’est affreux ! Le bon cannabis qui fait ramper notre jeunesse en voie de mélanisation a soudainement mauvaise presse !  Marisol allait-elle laisser l’opinion publique se braquer comme un seul homme contre les sectateurs du dieu cannabis ? Sphères vitreuses écarquillées, la fille d’Alain avait une mission importante, enfin, à accomplir : laver du soupçon vénéneux les cannabinoïdes et par ricochet l’herbe verte en particulier.

     

    UNE CATASTROPHE MEDIATIQUE

     

    Examinons le discours d’urgence de notre bon ministre de la Santé. Après avoir fait part de sa douleur, de son émotion, de sa solidarité envers les victimes et leur famille, après avoir présenté succinctement l’identité des cobayes intoxiqués (tous des hommes de 28 à 49 ans), après avoir déclaré que personne ne consommait la molécule incriminée en dehors de cet essai thérapeutique (ouf), Touraine se fit d’abord sournoise avec notamment cette assertion scandaleuse que personne ne releva dans la presse aux ordres : « Le choc est d’autant plus grand que les personnes qui s’engagent dans les essais cliniques sont des personnes saines, qui ne sont pas malades. Je veux leur dire aussi que je les remercie pour ce qu’elles ont fait jusque-là. Elles n’ont donc en aucun cas à se sentir coupables ou à être mises en situation d’accusation par tel ou tel. » Mais qui à part elle et elle seule met en situation d’accusation les victimes et le trépassé en particulier ? Guillaume Molinet est mort le 17 janvier alors que 5 des 10 cobayes étaient hospitalisés en raison de graves dysfonctionnements cérébraux (ces victimes auront des séquelles handicapantes irrémédiables) et que deux des rescapés étaient en réalité sous placebo, et d’aucuns auraient des doutes sur le sérieux des empoisonnés, surveillés, analysés, auscultés sous toutes les coutures dans le pays le plus rigoureux au monde en matière de sécurité des essais thérapeutiques

    Cette attitude est assez surprenante.  Quelles sont les causes précises de cet accident thérapeutique gravissime ? De quoi exactement est décédé cet homme de 49 ans ? A-t-il consommé des produits psychoactifs comme du cannabis, ou de l’alcool interdits par le protocole s’interroge d’une manière complètement incongrue Le Monde en faisant fi des autres victimes qui devraient être aussi soupçonnées. A cette question, importante dans un essai portant sur un produit agissant sur le système cannabinoïde, insiste le journal de référence, Marisol Touraine a juste répondu « c’est possible », lors de la conférence de presse du 4 février. En revanche, que la molécule BIA 10-2474, (développée par le laboratoire portugais Bial, fabriquée en Hongrie et conditionnée en Italie), produit visant à traiter les troubles de l’humeur et l’anxiété en agissant sur les récepteurs cannabinoïdes, constitue en fait un évident poison qui a nécrosé le cerveau de Molinet, semble être un fait inavouable pour Touraine et les journaleux qui ont pour plus grande crainte d’écorner la propagande officielle sur tout ce qui touche de près ou de loin à l’univers des cannabinoïdes, produits miracles de notre temps. Un produit sacré, intouchable, auquel on a déjà prévu un avenir industriel, social, économique et médical phénoménal. Et donc, comme nous le disions plus haut, un vaste projet qui explique la défense acharnée de l’image du cannabis et de ses molécules essentielles.

    Autant dire que l’ “accident” de Rennes (provoqué par une surdose de cannabinoïde endogène dans le corps humain) est très mal tombé pour les décideurs et pour tous ceux qui sont chargés de légaliser le cannabis et ses dérivés car il est évident que les propagandistes mettent actuellement les bouchées doubles pour faire accepter le business légalisé d’un produit à la fois générateur de profits et propice à la domestication pérenne des peuples occidentaux. La couverture du numéro du 15 février de The Economist témoigne de cette volonté nette de légaliser partout dans le monde occidental, en France y compris, le cannabis, ses dérivés, ses molécules. L’hebdomadaire économique distribué à 1,8 million d’exemplaires à travers le monde, l’hebdomadaire libéral lu par toute la grande bourgeoisie mondiale a mis le paquet avec cette nouvelle livraison, d’abord avec sa couverture où l’on voit deux mains rouler un joint et où l’on peut lire sans rêver :  « La bonne façon de prendre des drogues. Légaliser le cannabis en toute sécurité. »

    Une provocation ? Assurément non. The Economist appartient désormais (depuis août 2015) à la famille Agnelli avec à sa tête l’Israélite John Elkann (et son frère, plus discret, Lapo ; la famille Agnelli s’est judéisée avec la prise de contrôle du groupe par leurs descendants juifs. Pour anecdote, le grand-père Jean-Paul Elkann avait remplacé Alain de Rothschild à la présidence du Consistoire central israélite de France en 1982) et par divers membres de la famille Rothschild, une smala pour le moins tentaculaire. D’emblée The Economist plante le décor. Le monde remodelé depuis des décennies par les faiseurs d’opinions et les lobbies que cette engeance pilote situe à la fin de la phase 3 de son étourdissement, de sa cannabisation, de sa stupéfaction. Désormais, les opposants à la légalisation d’un business qui s’annonce monstrueux (récréatif et scientifique en sachant qu’une énorme partie de la recherche sur les cannabinoïdes a lieu à Tel Aviv, mais la précision est encore une fois anecdotique) deviennent des ennemis du progrès (A la table des matières de chaque édition apparaît en italique l’énoncé de la mission que se donne The Economist. Le journal affirme « prendre part dans une compétition impitoyable entre l’intelligence, qui nous pousse à aller de l’avant, et une ignorance craintive et indigne entravant nos progrès »). La gazette l’écrit dans ce numéro fort remarqué : « The Economist se félicite que « ceux qui (comme nous) ont dit que la légalisation est meilleure que la prohibition vont accueillir avec joie le début de la fin de l’inutile guerre contre le cannabis » . L’inutile guerre contre le cannabis, contre la pornographie, contre l’avortement, contre l’euthanasie, contre la prostitution, contre les essais thérapeuthiques absurdes, contre le trafic d’organes, contre le clonage humain, contre les migrations tsunamiques… Les guerres pour la vie sont toujours superfétatoires pour ces gens-là.

  • Gestion financière par S. ROYAL et les socialistes de la Région Aquitaine-Limousin-Poitou-Charente .

    Quand un socialiste reprend une région socialiste qu’est ce qu’il dépiste ? Une gestion socialiste…  A peine installé dans ses nouvelles fonctions de président de la Région Aquitaine-Limousin-Poitou-Charente, Alain Rousset a découvert qu’on lui avait délicatement laissé une ardoise plombée ...

     D’habitude "ça ne sort pas de la famille" mais Alain Rousset et Ségolène Royal se détestant, c’est sorti. Dans un entretien à Sud-Ouest et La Nouvelle République du Centre, le député socialiste dévoile le bilan financier désastreux qu’il a trouvé dans la comptabilité de l’ancienne région Poitou-Charentes, gérée depuis 2004 par Ségolène Royal (puis par ses proches depuis qu’elle a rejoint le gouvernement en 2014) : plus de 137 millions d’euros de factures impayées qui « pourraient avoir des conséquences sur l’avenir de nombreuses entreprises poitevines » et qui en ont sans doute déjà eu en termes de faillites et de licenciements…

    « Le directeur des finances de la collectivité a été relevé de ses fonctions manu militari », indique Alain Rousset. « Une partie des paiements, à hauteur de 50 millions d’euros, a été engagée à marche forcée », le solde devant être réglé avant la fin mars. S’agissant des emprunts structurés (dits aussi « toxiques »), Alain Rousset a précisé qu’« une négociation avait été engagée avec une structure spécialisée du ministère des Finances. Quand on peut s’arranger… »

    Jean-François Macaire qui avait pris en 2014 la suite de Ségolène Royal, a démissionné lundi soir de sa délégation financière. Tout en restant vice-président de région !...

    « Tout ceci est le résultat de la gestion chaotique menée par Ségolène Royal et des investissements hasardeux faits loin des compétences de la région et soi-disant placés sous le signe du volontarisme politique » dénonce Olivier Chartier, conseiller régional Les Républicains. Il rappelle qu’il avait plusieurs fois demandé un audit à Ségolène Royal. En vain. C’est vers celle qui fut présidente de la région pendant dix ans et qui avait fait du Poitou-Charentes son fief et sa vitrine que tous les regards se tournent aujourd’hui.

    Incompétente à gérer une région elle est logiquement (de nouveau) devenue ministre !