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  • Alors que le chômage et la situation économique sont catastrophiques, la France continue à fabriquer des fonctionnaires !


    La France a créé 39 % des nouveaux emplois publics de la zone euro contre seulement 2.71 % des emplois privés ! Notre pays restera une usine à fabriquer des fonctionnaires tant que les politiques ne comprendront pas qu’il est temps de faire de vraies réformes !

    Lors de l’émission télévisée "C dans l’Air" du lundi 18 janvier dernier sur France 5, le professeur de finance Philippe Dessertine – membre du Haut Conseil des Finances Publiques et expert habituel de ces débats - a révélé que sur les deux dernières années, la France venait de créer 39% des nouveaux emplois publics de la zone Euro, contre seulement 2,71% des emplois privés de la même zone.

    En deux chiffres, deux chiffres seulement, sont résumées tout à la fois les principales causes de nos échecs et notre incapacité à les surmonter. En effet, avec 66,6 millions de ressortissants, la population de la France représente à peine un peu moins de 20% de la population totale des 19 pays de la zone euro (environ 340 millions d’habitants). Et cette référence permet de s’apercevoir que, déjà plus que largement dotée, la France crée pratiquement deux fois plus (=39/20) d’emplois publics que la moyenne des autres pays de la zone euro, mais qu’à l’inverse elle génère à peine 14% ( =2,71/20, soit seulement un petit septième !) des emplois privés qu’elle devrait créer pour se situer simplement dans la moyenne européenne, qui inclut quand même des pays comme la Grèce, l’Espagne, le Portugal et l’Italie, plus durement touchés encore par le chômage.

    Analyse

    Ceci confirme pleinement qu’en dépit de toutes les déclarations officielles, des statistiques abondamment "revues" ou biaisées, sur ces deux dernières années la France a continué à être une usine à fonctionnaires et autres emplois publics. Et en dehors de toute véritable croissance et alors que le pouvoir a récemment revu à la hausse la grille de rémunérations des agents des cadres B et C et qu’il s’apprête à renégocier en période électorale la valeur du point pour l’ensemble de la fonction publique, cette nouvelle et inquiétante dérive des effectifs de l’emploi public signifie inévitablement davantage de charges, davantage d’impôts et ceux-ci ne suffisant guère, davantage de déficit et au final davantage de dette publique. Et qu’on ne nous accuse pas de vouloir supprimer des soldats, des gendarmes ou des policiers, tout analyste sérieux sait que les trois fonctions publiques – et surtout la territoriale – regorgent de postes en doublons ou en sous-emploi manifestes et qu’une réorganisation sérieuse des services (les exemples pointés par la Cour des Comptes – horaires de travail notoirement inférieurs aux seuils légaux, absentéisme injustifié, auto-détermination des temps de travail etc.- sont légion, mais les intéressés s’arc-boutent naturellement sur de prétendus "droits acquis" pour s’opposer à tout changement) aboutirait à une compression non négligeable des effectifs.

    Le second chiffre, celui des emplois privés, se trouve hélas parfaitement en ligne avec le premier : les entreprises – et surtout les PME, celles les plus porteuses dans le domaine de l’emploi – accablées de charges, d’impôts et de contraintes de tous ordres (fiscal, social, réglementaire etc) renoncent à embaucher, les incertitudes de leurs carnets de commande leur interdisant de prendre le risque de se heurter à de nouvelles contraintes (seuils de 10 et 50 salariés notamment, même "atténués") ou de devoir se lancer en cas de crise dans des licenciements économiques mal maîtrisés et toujours hasardeux. D’ailleurs et presque comme en contre-épreuve, la plupart des grandes entreprises françaises quand elles croissent, se gardent bien pour la plupart de renforcer leurs effectifs français et préfèrent - et de loin - faire croître leur main d’œuvre étrangère, infiniment plus compétitive sur le plan des coûts et plus souple quant au droit applicable.

    Par ailleurs, le développement et l’élargissement continu et accéléré de l’assistanat sous toutes ses formes ont achevé de convaincre trop de travailleurs peu qualifiés et qui hésitaient encore, que leurs ressources nettes d’impôts et de frais professionnels ne baisseraient guère, voire parfois même augmenteraient quelque peu, s’ils passaient par Pôle Emploi, s’y installaient durablement, voire même en prenant le risque d’aller jusqu’à la fin de droits, qui ne correspond pas toujours au dénuement qu’on pourrait croire, surtout si les aides alors perçues sont opportunément majorées de quelques menus travaux au noir. Enfin, le dernier cadeau de plusieurs centaines de millions d’euros fait par le pouvoir l’année dernière aux intermittents du spectacle, en dépit des mises en garde répétées de la Cour des comptes, a achevé de montrer comme la France savait se montrer généreuse envers un électorat remuant et sensible.

    Tout ceci confirme malheureusement que malgré toutes les promesses, toutes les annonces, malgré aussi d’innombrables rapports, le carnet des réformes, des véritables réformes, celles qui modifient les comportements et les enjeux pour le bien du pays, est resté désespérément vide. A qui fera-ton croire, notamment sur le seul plan économique auquel ce propos se restreindra volontairement, que :

    01 - les micro-réformes des retraites résolvent le problème récurrent de leur financement, alors qu’on a dû tirer un trait sur la garantie du pouvoir d’achat de la quasi-totalité des pensions salariées privées et que ce décrochage n’est peut-être pas aussi provisoire qu’annoncé puisque le Conseil d’Orientation des Retraites pris sous le feu des critiques ne cesse, de rapport en rapport et de lettre en lettre, d’aggraver et dégrader ses prévisions de croissance et de chômage ?

    02 - la dépense publique a été maîtrisée quand elle a continué à caracoler quasi-librement en bénéficiant d’une incroyable mansuétude de la Commission européenne qui se laisse insolemment balader par la France depuis plus de trois ans sur les fronts réunis de la dépense, du déficit et de la dette ?

    03 - le problème de notre fonction publique pléthorique, de son emploi à vie et de ses retraites ait seulement été esquissé, bien qu’il porte nos prélèvements obligatoires à des taux déraisonnables et à un niveau quasiment inégalé ailleurs ?

    04 - l’Éducation Nationale, pourtant forte d’un million d’agents, ne parvient pas à instruire correctement nos enfants, qu’ils ne cessent de dégringoler dans la plupart des classements internationaux et qu’on s’aperçoit que devenus adultes, nombre de nos concitoyens éprouvent toujours de réelles difficultés à lire, écrire ou compter ?

    05 - la réforme et la simplification du bulletin de paye ne passe pas par l’inscription en haut du bulletin du super-salaire qui représente le coût total que l’employeur accepte de débourser à raison du travail fourni, avant la déduction - mais cette fois au titre de charges purement ouvrières - de l’ensemble des cotisations, impôts et taxes que l’État et les organismes sociaux prélèvent sur les salaires ? Le net serait bien entendu le même, à ceci près que le salarié prendrait immédiatement conscience du coût de tout ce que son travail finance, ce qui aurait sans nul doute pour des millions de Français des vertus pédagogiques et d’éveil à la solidarité très supérieures à ce que l’Éducation Nationale enseigne (souvent très mal) de l’entreprise.

    06 - nos droits de protection, comme le code du travail ou la réglementation des loyers n’ont pas à force de complexité, de démagogie, de pointillisme et de surenchères dangereusement outrepassé leur rôle, au point de mettre directement en péril l’accès à l’emploi ou à la location des demandeurs qu’ils étaient censés favoriser ?

    07 - on peut accroître inconsidérément notre dette publique, la gérer à la petite semaine, sans tenir compte de la détérioration constante de nos notations financières internationales, dont la sévérité est simplement retenue parce que notre pays a la réputation (guère usurpée d’ailleurs) de savoir lever efficacement l’impôt ?

    08 – le Parlement peut continuer à voter sans réfléchir n’importe quelle loi fiscale, comme par exemple la nouvelle surtaxe foncière sur les terrains réputés à bâtir, sans même prendre la précaution de s’assurer des ravages qu’elle peut faire, des injustices patentes qu’elle peut créer, pour tenter ensuite en catastrophe et sous la pression des mécontentements de rogner a minima les abus les plus criants…N’importe quelle loi écologique aussi, comme pour les portiques Ecomouv, sans se soucier le moins du monde de sa mise en application et en reportant indûment sur l’automobiliste qui n’y peut mais une bonne partie du coût exorbitant (près d’un milliard d’euros quand même !) de son impéritie et de sa désinvolture.

    Et la liste n’est évidemment pas close de toutes ces réformes indispensables évitées, écartées, reportées, dénaturées, mutilées, tout simplement parce que, face à la ligue des intérêts, des droits acquis et des conservatismes de tous ordres, le courage, la compétence et la constance sont devenus les vertus les plus rares qui soient dans un monde politique constamment obnubilé pour les élus par le seul souci de leur réélection, pour les autres par celui de leur reconduction ou de leur promotion.

    Conclusion

    Même s’ils sont perdus dans le flux de ces données qu’on nous baille quotidiennement et qui souvent nous saoulent, les deux chiffres cités en exergue mesurent l’écart abyssal qui existe entre nos créations d’emplois selon qu’ils sont publics ou privés. Ils dénoncent crûment une sorte d’incapacité "culturelle" nationale à créer de l’emploi marchand comme si, chez nous, l’emploi public phagocytait goulûment l’emploi privé. Ces "marqueurs" doivent donc être inlassablement rappelés au pouvoir, aux politiques, aux Français aussi. Car ces deux chiffres font partie de ces choses qu’en redisant sans cesse, on ne répète jamais assez. En affichant à la vue de tous le résultat de tous nos blocages, ils contiennent à eux seuls le résumé de presque tous nos problèmes et c’est un signal d’alerte rouge qu’on aurait tort de négliger.

    Alors même qu’il échappe pour une fois à la manie des "pactes présidentiels" (sans doute parce qu’aucun d’entre eux ne s’est signalé par un véritable succès), même si cet ultime plan du pouvoir pour réduire le chômage, relancer enfin la croissance, desserrer le joug administratif qui contraint nos entreprises, avait par extraordinaire d’autres effets que de biaiser la lecture des statistiques du chômage, un immense effort resterait à faire pour le pays, afin qu’il retrouve enfin son dynamisme. Certes les charges publiques et sociales sont indispensables au fonctionnement de l’État et de nos collectivités territoriales et à celui de notre protection sociale. Mais ces charges ne doivent pas attenter par leur démesure et leur dérive incontrôlée au développement de notre économie, ni exposer la Nation à des risques inconsidérés de "default". Surtout que l’alignement des planètes (euro faible + pétrole bon marché + taux d’intérêts infimes) tant vanté par le pouvoir pourrait fort bien se dérègler quelque peu et nous ramener beaucoup plus tôt que prévu à des réalités, qui seront d’autant plus dures que trop longtemps et trop imprudemment nous n’aurons pas voulu les voir.

  • Manipulations et arnaques de Hollande.

    Lors de ses vœux aux Français, le 31 décembre dernier, François Hollande a décrété « l’état d’urgence économique et social » : c’est qu’en trois ans et demi son bilan en matière d’emploi est pire que celui de cinq années de Sarkozy, qui n’était déjà pas brillant !

    Quelques chiffres pour résumer la catastrophe : plus 764 500 chômeurs de longue durée, c’est-à-dire inscrits à Pôle emploi depuis plus d’un an, avec une ancienneté moyenne passant de 103 jours à 570 jours ; une destruction de 217 600 emplois marchands ; 10,6 % de la population touchés par le chômage (plus 0,9 %) et 25 % des jeunes (plus 1,7 %), lesquels étaient pourtant la priorité du quinquennat. Ainsi, les 300 000 contrats aidés et 70 000 services civiques, le pacte de responsabilité et de solidarité, visant à « rendre nos entreprises compétitives » et à « créer les conditions de la création d’emplois » via la baisse du coût du travail et celle, progressive, de l’imposition des entreprises — 28 % en 2020 contre 33 % aujourd’hui —, le vote de la loi fourre-tout Macron I et 7 milliards d’euros annuels en traitement social du chômage n’auront servi de rien. On peut toujours se consoler en disant que la situation serait encore pire si toutes ces mesures n’avaient pas été prises. Et feindre de placer des espoirs démesurés dans la transformation prochaine du CICE en baisses des « charges » sociales. On doit aussi dénoncer une politique erratique baissant l’aide à l’apprentissage ou asphyxiant par la fiscalité les entreprises ou les ménages, notamment les familles nombreuses des classes moyennes, avant des rétropédalages bien tardifs et surtout peu opérants.

    Pour Hollande, l’essentiel n’est pas là : s’il a décrété le 31 décembre dernier seulement « l’état d’urgence économique et social  » et non plus tôt, alors que la situation le méritait dès sa prise de fonction compte tenu du bilan, nous l’avons dit, déjà peu brillant de son prédécesseur — depuis 2007, Sarkhollande, ce sont plus d’1,5 million de chômeurs supplémentaires —, c’est parce que la lutte contre le chômage n’est pour lui qu’un argument électoral. En promettant qu’il ne se représenterait en 2017 que s’il réussissait à inverser durablement la courbe du chômage, il se condamnait, ou plutôt il condamnait les Français à ne préparer que pour le début de la campagne électorale des mesures aux effets aussi rapides qu’éphémères. Car il ne s’agit pas pour Hollande de prendre des mesures pérennes, permettant de lutter en profondeur contre le fléau social du chômage, qui n’est que la conséquence d’un autre fléau, celui de la désindustraliation préméditée du pays par des élites dénationalisées soumises aux marchés financiers mondiaux : non, pour ce faire, il faudrait rompre avec la politique suivie par la droite et la gauche depuis la libéralisation complète des capitaux opérée par le Traité de Maëstricht en 1992 et avec une immigration toujours plus invasive, et non pas se contenter, comme le veut la droite libérale, qui a les yeux rivés sur le XIXe siècle, d’un détricotage du code du travail qui ne profiterait qu’aux cabinets d’avocats tout en renforçant sa complexité, et accroîtrait le nombre de travailleurs pauvres et précaires. Car une certaine dose de libéralisation du marché du travail ne peut être envisagée qu’avec l’arrêt de l’immigration et dans le cadre d’un protectionnisme intelligent. Or la droite libérale est fanatiquement immigrationniste et libre-échangiste ... au même titre que la gauche, et finalement pour les mêmes raisons : en finir avec les identités nationales qui sont autant d’obstacles à la suprématie du marché globalisé.

    Non, pour Hollande, il s’agit simplement de manipuler les chiffres du chômage le temps de la campagne électorale. Or celle-ci a débuté, début décembre, le soir même du second tour des élections régionales, qui ont été mauvaises sans être catastrophiques pour la gauche et décevantes pour la droite, tout en confirmant l’isolement du Front National. Comment manipuler les chiffres ? Grâce notamment à l’annonce, ce 18 janvier, d’un énième plan de formation des chômeurs qui, visant 500 000 demandeurs d’emploi, permettra d’inverser artificiellement, au moins jusqu’en mai 2017, d’autant la courbe du chômage.

    La ficelle est un peu grosse, mais serions-nous toujours en république si l’électeur ne pratiquait pas le vote de l’autruche et ne se laissait pas duper ? C’est ainsi que 2 milliards d’euros vont être dépensés pour subventionner ...jusqu’à la fin de 2017 !, l’embauche dans les TPE-PME, financer un nouveau plan de formation ou encore créer 1000 postes supplémentaires de formateurs pour développer l’apprentissage.

    À un journaliste de Boulevard Voltaire lui demandant, ce 13 janvier, pourquoi, lui, le maire de Béziers, qui avait déclaré ne vouloir se consacrer qu’à sa ville, appelait à un combat national, Robert Ménard a répondu : « Si la France n’était menacée ni par l’immigration ni par l’islamisation, si des millions de Français ne souffraient pas du chômage et de la pauvreté, si nos enfants allaient dans des écoles où on les instruisait plutôt que les préparer à « s’insérer » dans un marché du travail mondial, etc., alors l’essentiel des problèmes qui se posent à un maire, car ils se posent à ses administrés, disparaîtrait. Il existe un lien constant entre l’échelon local et le niveau national. Il n’y a donc pas de rupture mais, au contraire, prolongement de l’action. » Cette réponse résume à elle seule la situation dans laquelle nous nous trouvons.

    L’état général du pays est le fait de responsables économiques et politiques, plus généralement d’élites qui n’ont plus aucun souci du Bien commun et vendent la France à l’encan : ce qu’il reste de ses trésors industriels — récemment encore Alstom —, l’unité de son peuple, la richesse de sa civilisation et son pacte social millénaire, tout est délibérément sacrifié à des intérêts étrangers à ceux de la nation.

    En ce 21 janvier 2016, que le souvenir du roi-martyr soit une invitation à redoubler d’efforts et de détermination pour imposer à nos concitoyens la conviction que rien n’est perdu si les patriotes savent, par-delà leurs querelles partisanes et, plus encore, leurs luttes d’ego, créer une dynamique nationale rassemblant, sans exclusive aucune ni arrière-pensée boutiquière, tous ceux qui sont convaincus que le temps de la France n’est pas encore révolu. A l’heure où plusieurs nations européennes se réveillent de l’engourdissement mortel dans lequel les a plongées la ciguë de l’idéologie européenne et confient à des gouvernements patriotes le soin d’administrer à leur pays des antidotes puissants, il appartient aux Français de rejoindre ce grand mouvement de libération des peuples, et, pourquoi pas, d’en prendre la tête...

     

  • Agressions sexuelles par des hordes d’immigrés : un rapport interne de la police décrit la pire humiliation pour les forces de l’ordre !

     

     
     
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    La presse allemande diffuse des bribes du rapport interne de la police fédérale allemande, daté du 4 janvier 2016, concernant les faits qui se sont déroulés la nuit du réveillon de Nouvel An. Il apparaît que l’ampleur du chaos a tétanisé les policiers qui redoutaient des morts!
     
    Selon les extraits dévoilés notamment par le Spiegel, ce rapport ne semble prendre en compte que les évènements de Cologne et ne permet donc pas d’avoir une vue d’ensemble des faits similaires sur le territoire allemand.
    Ce rapport interne établit que les policiers arrivés sur place ont immédiatement constaté que les femmes et les jeunes filles, accompagnées ou non, étaient assaillies de toutes parts par des hordes d’hommes alcoolisés d’origine immigrée qui n’étaient pas du tout freinés par la présence policière.
    Tous les policiers envoyés sur place témoignent d’innombrables violences sexuelles commises par  des groupes de « migrants masculins ».
    Les policiers étaient sous le choc de voir tant de femmes bouleversées, en larmes, parfois en sang, les vêtements déchirés, ayant subi les pires humiliations.
     
    Ce rapport montre également l’incapacité de la police à faire face à tant d’agresseurs, ni même à secourir toutes les victimes, ce qui laisse une profonde frustration chez les policiers qui ont vécu cette situation.
     
    Les immigrés, bien organisés, formaient de véritables barrages empêchant les policiers d’aller porter assistance à des femmes qui appelaient à l’aide.
    C’était la «loi de la jungle », est-il écrit, et la police, débordée de toutes parts, admet une gestion « chaotique et honteuse » de la situation, tellement hors de contrôle que la police s’étonne de l’absence de morts.
    En dehors des agressions sexuelles massives dont furent victimes tant de femmes, mais aussi des agressions violentes portées contre des hommes pour les voler, ce rapport dresse une liste d’incidents vécus par les policiers : 
    - Un homme a nargué les policiers en criant : « Je suis Syrien, vous devez bien me traiter. Madame Merkel m’a invité ». 
    - Des hommes ont déchiré leur permis de séjour sous les yeux des policiers en ricanant et en déclarant : « Vous pouvez rien contre moi, donnez m’en un nouveau demain. »
     
    L’auteur du rapport note que jamais, en 29 ans de service, il n’avait vécu un tel chaos ni une telle humiliation pour les forces de police.
    Mais la bonne question n’est pas posée : quelle doit être l’ampleur du drame pour autoriser les forces de police à faire feu ?
    Aux Pays-Bas, en décembre 2015, la police a tiré en l’air pour disperser une manifestation de citoyens hostiles à l’installation d’un centre d’accueil pour immigrés.
     
    En Europe de l’Ouest, il semble donc plus facile pour les autorités politiques d’admettre l’usage dissuasif d’une arme à feu contre sa propre population que contre des immigrés violents ! Inutile de dire que cela finira très mal pour les politiques et les élus qui imposent ces prétendus réfugiés afro musulmans ...