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  • "Discrimination positive":Connaissez-vous les EANA, les EFIV, les UPE2A et les CASNAV ?

     

    Non ? Alors, nous allons vous expliquer : Les EANA et les EFIV vont bénéficier des UPE2A avec l’appui des CASNAV.

    Vous n’avez toujours pas compris ? Alors, nous allons vous expliquer :

    Populations scolarisées

    Les EANA, ce sont les Elèves Allophones Nouvellement Arrivés.

    Qui l’eut cru ? en clair, cela signifie enfants de clandestins, reconvertis en « sans papiers » par la grâce de la novlangue, puis en « migrants », ou mieux encore de « réfugiés », et enfin d’ « allophones nouvellement arrivés », novlangue très élaborée certes, néanmoins frelatée – un « allophone » se définissant comme une « personne qui, dans un territoire donné, a pour langue première une autre langue que la ou les langues officielles et qui réside habituellement dans ce territoire ». Il y aurait donc comme un antinomique défaut  parlant « d’allophones nouvellement arrivés » pour désigner des populations n’ayant aucune légitimité à se trouver sur notre territoire, « fraîchement » – si l’on peut dire – débarqués, que par surcroît, une immense majorité de français espèrerait bien voir rembarqués !

    Les EFIV ? ce sont les Enfants issus de Familles Itinérantes et de Voyageurs, autrement dit, ce sont les ROMS que nous connaissons bien, comme chacun sait, pour être des populations sédentaires, dociles à nos règles et à nos lois.

    Les EANA et ces EFIV sont donc ces deux catégories de populations allogènes prises en main par les CASNAV et les UPE2A en vue de leur scolarisation.

    Des dispositifs administratifs sur mesure(aux frais des contribuables)

    Les CASNAV sont les « Centres Académiques pour la Scolarisation des enfants allophones Nouvellement Arrivés et des enfants issus de familles itinérantes et de Voyageurs ». Ce sont des structures académiques spécifiques mises en place pour mobiliser tous les dispositifs permettant d’organiser au mieux la scolarité des publics allophones et itinérants, autrement dit, tout est pensé, organisé, mis en œuvre par les administrations régionales sans rien ménager pour ces populations allogènes, tant en structures qu’en personnel et en moyens pédagogiques, avec un souci d’efficacité autrement plus manifeste que pour les dispositifs destinés à nos enfants.

    Des dispositifs pédagogiques spécifiques

    Ainsi, sont mises en place des UPE2A, « Unités Pédagogiques pour Elèves Allophones Arrivants », autrement dit des structures scolaires en marge du droit commun de l’Education Nationale destinées à accueillir ces « enfants à  besoins particuliers » (sic), structures qui leur sont spécifiquement dédiées et dans lesquelles œuvre un personnel également spécifiquement formé. Pour ce faire, le ministère nous dit que les CASNAV « veillent notamment à renforcer leur offre de formation pour permettre aux enseignants des classes ordinaires de mieux comprendre les besoins spécifiques de ces publics et d’adapter leurs pratiques pédagogiques ».

    En d’autres termes, cela signifie que des formations sont dispensées à des enseignants déjà en poste, pour leur permettre de dispenser une scolarisation complémentaire et spécifique. Les élèves concernés sont inscrits dans une classe « ordinaire » (sic) tout en bénéficiant d’un enseignement renforcé en français « langue seconde » (resic) en fonction de leurs besoins et de leurs acquis linguistiques et langagiers.

    Précisons à cet égard que, pour le ministère, une classe « ordinaire » pour les populations allogènes, signifie classe réservée aux enfants des REP+ – Réseaux d’Education Prioritaire – où s’applique la loi de « refondation de l’ éducation dite prioritaire » caractérisée par un enseignement structuré avec la recherche de l’excellence des résultats, en totale opposition avec la « refondation de l’Ecole » pour nos enfants, préparant ainsi l’asservissement de nos populations aux allogènes.*

    Conformité à la loi de refondation de l’Ecole

    Une note d’information du Ministère de l’Education nationale du 25 août 2015 rappelle à cet égard que « la loi de refondation de l’Ecole de la République réaffirme sans ambiguité la nécessité de promouvoir une école inclusive pour tous les élèves à besoins éducatifs particuliers. Pour les EANA et les EFIV, l’objectif est de permettre une scolarisation en milieu ordinaire en prenant en compte les besoins spécifiques de ces élèves, par la mise en place de dispositifs d’accompagnement favorisant l’apprentissage du français…- comme langue seconde – et la continuité pédagogique » ;

    Nous savons d’ailleurs ce que signifient ces «dispositifs d’ accompagnement » qui consistent en un véritable préceptorat à la charge exclusive de ceux qui n’en bénéficient pas !

    Conformité aux engagements internationaux de la France

    Tout ceci, en conformité avec l’article 111-1 du Code de l’Education et aux engagements internationaux de la France qui «  garantissent à tous les enfants de 6 à 16 ans l’accès à l’instruction dès lors qu’ils sont présents sur le territoire national, quels que soient leur nationalité, leur situation personnelle et leur mode de vie »

    Autrement dit, dès l’instant qu’un enfant se trouve sur le territoire national, il a droit à tous les égards au détriment des autochtones qui croulent sous les charges de plus en plus écrasantes et asphyxiantes pour financer ces dispositifs, et au détriment également de leurs enfants, qui sont soumis à un système éducatif totalement dévoyé du primaire à l’université sans la moindre recherche d’efficacité intellectuelle et au seul profit de leur endoctrinement.*

    Une politique à combattre

    Ces dispositifs viennent donc s’ajouter à la « refondation de l’ éducation prioritaire » qui concerne déjà plus de deux millions d’allogènes et confirment la volonté délibérée et farouche d’instruire au mieux ces populations au détriment des autochtones, ceci afin d’accompagner le Grand Remplacement de population dénoncé par Renaud Camus !

    Tout ceci s’accorde parfaitement aussi avec la signature, le 14 septembre 2015, d’un protocole d’accord entre l’Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne et le Qatar, protocole qui prévoit le versement à la Sorbonne de 600 000 euros par an pendant trois ans afin de participer aux frais de scolarité et à l’hébergement de centaines d’étudiants réfugiés alors même que cela coûtera forcément beaucoup plus cher et que de nombreux étudiants n’ont toujours pas de place en Université, ce que l’UNI – syndicat Union Nationale Inter-Universitaire – dénonce dans une pétition : « 7000 bacheliers « sans fac’ et des étudiants méritants refusés par manque de place ! »

    Nous devons combattre avec force cette politique « assassine » destructrice de notre identité !

  • Le coût de l’immigration est un sujet tabou en france et pour cause !

    Le coût de l’immigration est un sujet quelque peu tabou puisque les différents services de l’Etat ne mettent pas à disposition des citoyens tous les éléments pour faire l’addition. Les différentes évaluations globales du coût de l’immigration en France sont donc diamétralement différentes selon le profil idéologique de la personne chargée de réaliser l’étude.

    Ce sujet est pourtant essentiel pour mesurer les implications de la déferlante migratoire en cours, à l’heure même où les contribuables français sont priés chaque jour de faire des efforts financiers supplémentaires.

    Sans nous lancer dans une énième étude globale sur le coût de l’immigration qui, dans tous les cas, explose depuis quelques mois, nous avons donc choisi de vous donner quelques indices qui proviennent d’une source peu suspecte d’être politiquement incorrecte. C’est dans le mensuel économique Capital du 1er mars 2015 que nous avons puisé quelques éléments d’information.

    Les immigrés vivent plus souvent des minima sociaux que les natifs, et Capital écrit à ce sujet : « les étrangers de première génération recourent plus souvent que les natifs aux minima sociaux, notamment les Africains, dans une proportion presque quatre fois plus élevée« .

    Les « fils d’extracommunautaires sont trois fois plus souvent au chômage que les natifs« .

    Les immigrés perçoivent « plus d’allocations familiales que les autres« . Et les chiffres disponibles à ce sujet « ne prennent pas en compte les enfants de migrantes nés sur notre territoire, considérés comme Français« .

    Un « tiers des immigrés vit aujourd’hui dans un logement social. La proportion grimpe même à 46% pour ceux qui viennent du Maghreb et du reste de l’Afrique, soit trois fois plus que pour les natifs (14%)« .

    Les descendants d’immigrés africains « restent massivement logés en HLM (c’est le cas de 45% d’entre eux, contre 22% pour les Asiatiques, et 15% pour les Européens)« .

    Chaque année, l’Etat verse « près de un milliard d’euros de subventions aux établissements situés en Zones d’éducation prioritaire« . « Or, comme le reconnaît l’Observatoire des ZEP (OZP), ces zones correspondent « plus ou moins aux quartiers où il y a peu ou pas de mixité sociale, et beaucoup d’immigrés et d’enfants d’immigrés ». Et puis il faut bien financer le soutien spécifique accordé aux arrivants non francophones (rien qu’en 2010-2011, notre pays en a accueilli plus de 38.000, selon l’Insee)« .

    Les immigrés « alourdissent les dépenses dé sécurité« . « 87% des vols à la tire sont commis par des étrangers. »

    La plupart des immigrés légaux « profitent de la CMU, qui permet une prise en charge à 100% des dépenses de santé » et « grâce à l’Aide médicale d’Etat, les sans-papiers peuvent se faire soigner sans débourser un sou« . Les migrants « vont plus souvent à l’hôpital que les autres« ...

    Et tout cela était écrit avant le torrent migratoire que nous connaissons depuis l’été !

     

    Quand au Sénat, il se prépare à quelques joutes oratoires lors du débat sur le projet de loi sur le droits des étrangers qui débutera à partir du 6 octobre. Les sénateurs LR ont annoncé leur intention de faire de la France l’un des pays « les plus sévères » en terme d’accueil des immigrés... On voudrait le croire !

    Le président de la Commission des lois du Sénat, Philippe Bas (LR) et le rapporteur du projet de loi sur le droit des étrangers en France, François-Noël Buffet (LR) ont relevé un premier constat du ministre de l’Intérieur.  Philippe Bas souligne ainsi :

    « Il n’y a pas d’arrivées importantes de Syriens en France. Ils privilégient des pays où l’accès à l’emploi est meilleur et où sont présents des membres de leur famille ».

    « Nous voulons une loi qui posent diverses dispositions relatives à la maitrise de l’immigration et non aborder cette question sous l’angle du droit des étrangers. »

    « Nous voulons faire partie des pays les plus sévères en matière d’immigration tout en respectant le droit européen. »

    Les sénateurs notent que 43% des titres de séjours sont liés au regroupement familial contre 9% liés à l’immigration économique. Les demandeurs d’asile chiffrés dans le rapport à 60 000 par an, sont 46 000 à être déboutés. Mais à peine 5% de ces derniers quittent réellement le territoire.  Ils deviennent alors étrangers en situation irrégulière ce qui ne les empêche pas de faire une demande de séjour pour raison médicale ce qui leur permet de rester en France, un comble !

    Le sénateur François-Noël Buffet propose de supprimer le droit au séjour pour raisons médicales si, dans le pays d’origine, il existe les moyens de traitement adéquats. Un forfait de 30 euros pour l’aide médicale d’Etat serait aussi rétabli afin de décourager l’immigration irrégulière.(Ce n 'est pas ça qui sera très dissuasif !) .

    François-Noël Buffet déplore également l’assignation à résidence. « Le gouvernement privilégie l’assignation à résidence à la rétention. Seulement le taux d’éloignement effectif n’est simplement que de 19% pour les assignés à résidence contre 57% pour ceux qui sont en rétention ».

    Le rapporteur du projet de loi relève aussi qu’actuellement le renouvellement des titres de séjours est de l’ordre de 99%, « ça veut dire qu’on ne vérifie pas assez les conditions ».

    Tant mieux, diront certains, si les sénateurs LR s’affairent quelque peu pour limiter l’immigration, mais c’est largement insuffisant car c’est la stopper qu’il faut faire. D’autre part, pourquoi ces mêmes sénateurs n’ont-ils pas été plus actifs sur ces sujets lorsque l’UMP était au pouvoir ? ...

     

  • Paris devrait prendre exemple sur Moscou ...


     
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     Les hyènes de la finance internationale entendent faire pièce à l’initiative russe en Syrie. Pour nous, qui avons toujours défendu le gouvernement syrien comme la direction politique russe, il est une vérité d’évidence que de soutenir les décisions arrêtées par le Kremlin.
    Retournement historique à n’en pas douter, nous qui fûmes, dès l’origine, les opposants du Bloc Communiste. Mais voilà que désormais, l’espoir est à l’Est, que Moscou incarne le réveil de la tradition, de l’Europe chrétienne.
    Les gangs coalisés de l’Occident ploutocratique entendent nous embrigader, nous Bretons, dans une nef ayant le naufrage pour seul horizon. L’opinion publique s’y refuse, saluant le renouveau de la Russie comme le sien propre.
    Pas d’erreur : Vladimir Poutine et, à sa suite, l’armée russe, indiquent la direction à suivre. La Russie engage une formidable bataille contre la coalition du mensonge, de la crapulerie, du fanatisme islamique instrumenté par les trusts bancaires et leurs gouvernements de convenance.
    Les Bretons n’ont que trop pris la mesure de la déconfiture des élites parisiennes et occidentales qui les gouvernent pour ne pas attendre, espérer de la Russie une série d’initiatives qui permettent à l’Europe de se libérer.
    La Russie engage la bataille contre le djihadisme, secrètement nourri par l’Otan. L’heure du choix est donc venue.
    Pour nous, pas de doute : Moscou a toujours raison.