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  • Un des rares députés-maires non apostats ...

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    — Si vous étiez le maire socialiste d’Orange, combien de migrants logeriez-vous dans le théâtre antique ?
     
    — Les mairies socialistes ont répondu qu’elles étaient favorables à l’accueil… mais pas sur leur territoire. Tout comme les autres maires, je n’ai aucun pouvoir d’empêcher les gens de venir à Orange s’ils le veulent. Par contre, j’ai le pouvoir, et le devoir, de ne pas dépenser l’argent municipal. Toute cette histoire d’accueil est étonnante, le pays se comporte comme lorsque des gens recueillent un petit chat ou un petit chien. Le petit chien fait pipi dans le salon, le petit chat s’accroche aux rideaux, au bout de quelque temps on se débarrasse de l’animal. Or les migrants, ou les réfugiés, ou les clandestins – on ne sait plus très bien comment les nommer – ne sont pas des petits chiens ou des petits chats. Ils ont des droits, à défaut de devoirs. Mais l’Etat français va se débarrasser d’eux et ce sera aux collectivités locales de s’en occuper. Pendant ce temps, d’autres Etats, milliardaires ceux-là, ne prennent personne. Nous prend-on pour des imbéciles ? J’aurais tendance à le penser, d’autant plus que les sondages montrent que les Français sont majoritairement hostiles à « l’accueil ».
     
    — Vous avez déposé en juin deux propositions, lutte contre l’immigration, lutte contre le Grand Remplacement. Pourquoi distinguer les deux alors que, comme vous le soulignez dans ces textes, ils sont liés ?
     
    — Le projet de loi de lutte contre l’immigration vise à établir qu’on a le droit de demander à la République de stopper l’immigration. Celui de lutte contre le Grand Remplacement est plus philosophique. Il considère qu’il y a des primo-occupants de l’Europe qu’on doit défendre et non remplacer. Or il y a bien un remplacement organisé par nos politiques.
     
    — Organisé activement ou toléré, passivement ?
     
    — Tout le mandat de François Hollande prouve qu’il existe une volonté de casser le pays. Comment expliquer ce Grand Remplacement sinon par la haine des gouvernants pour leur peuple ? Cette détestation de soi est telle qu’elle tend au suicide. Lorsque j’évoque la philosophie chrétienne dans l’hémicycle, il faut voir les moues dégoûtées que certains députés prennent… Quand j’ai déposé une proposition de loi concernant l’avortement, juste pour qu’on laisse aux femmes un délai de réflexion – juste cela, ce que j’estime être le minimum avant un acte lourd de conséquences pour l’enfant comme pour la mère –, les réactions ont été violentes. C’est pour cela qu’il est vain de s’en remettre à des partis politiques, de voter et de laisser la main à des élus. Une élection n’est pas un blanc-seing. Il faut s’impliquer personnellement, voter et suivre ce que fait le député ou le maire. Je promeus une école de la responsabilité dans le domaine politique.
     
    — Quel est l’avenir de ces différentes propositions que vous avez déposées ?
     
    — Le gouvernement choisit ce qu’il met à l’ordre du jour. Lutter contre l’immigration, le Grand Remplacement et la christianophobie n’est évidemment pas sa priorité ! Il préfère qu’on parle d’autres choses. En tout cas mes propositions, qu’elles concernent la famille, le travail ou l’immigration, ont un lien et une cohérence : elles sont un projet de gouvernement. Le député n’est pas élu pour discourir devant ses pairs, mais pour légiférer, ne l’oublions pas.
     
    — Vous souhaitez introduire la christianophobie dans la loi Gayssot, au même titre que le racisme et l’antisémitisme. Utilisez-vous la loi Gayssot ou la bonifiez-vous ?
     
    — Pourquoi punir un discours contre l’islam tout en laissant attaquer le christianisme ? Même le diable peut porter pierre. Vu les conditions dans lesquelles nous nous battons, nous avons peu le choix des armes. Je fais du judo, d’une certaine façon : j’utilise la force de l’adversaire à mes propres fins. Et, en ce qui concerne la loi Gayssot, le raisonnement par l’absurde n’est pas dénué d’intérêt ni d’humour.
     
    — Vous souhaitez que « la France interdise le financement public d’actions christianophobes ». Une pratique qui a déjà cours à Orange ?
     
    — A notre arrivée à la mairie d’Orange, nous avons trouvé un patrimoine chrétien en déshérence. Nous l’avons relevé peu à peu. N’est-ce pas là l’utilisation normale de subventions municipales ? Le patrimoine est une richesse à la fois économique et culturelle, plus que cela : identitaire et spirituelle. Mais nous n’avons pas fait que défendre ou promouvoir cet héritage. Nous avons consacré Orange au Sacré-Cœur et, du haut de la colline Saint-Eutrope, la Sainte Vierge veille sur la ville. Ce n’est pas inutile, je crois.
     

  • Après d'innombrables luttes et d'interminables discussions, on a fini par admettre qu'en matière de pollution, c'était au responsable de payer : le principe du pollueur-payeur s'est peu à peu imposé...

     

    Pourquoi n'appliquerait-on pas le même principe à la problématique des réfugiés et des migrants? Il s'agit, bien évidemment, de ne pas faire payer les réfugiés et les migrants, qui ne sont que des victimes, mais les vrais responsables de ces tragédies. Lesquels ne sont d'ailleurs pas les passeurs. Punir les passeurs, qui sont de vulgaires trafiquants de chair humaine, est nécessaire, mais ce n'est que de la poudre aux yeux car ce ne sont que des comparses. Cela reviendrait à punir les mules pour mieux protéger les narcotrafiquants. Non, ceux qu'il faut faire passer à la caisse sont ceux qui sont au sommet de la chaîne. Les coupables ultimes ne pilotent pas des bateaux pourris, ils portent cravate et souliers vernis, ils habitent des palais, et souvent des palais payés par le contribuable.

     Si l'on recherche les causes profondes du flux de migrants qui assaillent les côtes grecques et italiennes et l'identité des responsables, émergent deux catégories de coupables: les dictateurs qui oppriment leurs peuples avec la complicité des multinationales et des banques occidentales qui financent l'exploitation inégalitaire des ressources nationales et corrompent les élites dirigeantes de ces pays, et les présidents d'Etats occidentaux qui, par caprice ou opportunisme politique, changent soudain d'avis avec une inconséquence criminelle et se mettent à déstabiliser des régimes qu'ils avaient naguère soutenu.

    Le meilleur exemple de la première catégorie est le dictateur érythréen, qui oblige son peuple à fuir en toute impunité. Quant aux exemples de la seconde, ils abondent: Afghanistan, Irak, Libye, Syrie… Si les Etats-Unis et l'Europe n'avaient pas semé le chaos dans ces pays au nom d'idéaux démocratiques, qui ne les embarrassaient guère lorsqu'ils recevaient leurs dirigeants en grande pompe dans leurs capitales pour conclure des contrats pétroliers ou d'armement, l'Europe du Sud n'aurait pas connu cet été de folie.

     C'est fou ce que l'amnésie frappe quand il s'agit de remonter la piste des responsabilités. Rares sont les médias qui rappellent que derrière les milliers de morts noyés en Méditerranée; il y a avait un Sarkozy et un Bernard-Henri Lévy qui appelaient à abattre Kadhafi et son régime, un Hollande qui voulait bombarder Bachar el-Assad, un Bush qui envahissait l'Afghanistan et l'Irak, un Obama qui terrorise les populations civiles avec les dégâts collatéraux de ses drones tueurs.

    S'il y avait des tribunaux pour condamner les responsables ultimes aux dépens et aux frais occasionnés par leurs actes irresponsables, le problème des réfugiés et des migrants n'existerait pas. Si l'on obligeait MM. Sarkozy, Lévy, Hollande et Obama, les dirigeants de multinationales et les banquiers à accueillir chez eux les Syriens et les Africains chassés par la terreur et la famine, le problème des réfugiés et des migrants serait résolu comme par miracle.

     Quant aux dictateurs qui affament et oppriment leurs peuples, pourquoi ne les met-on pas au ban de la communauté internationale et ne leur applique-t-on pas des sanctions? Quand il a fallu condamner la Russie pour son action en Crimée, Etats-Unis et Europe ont prononcé des sanctions en quinze jours! (Alors que soit dit en passant, l'Europe ne connait pas de vague de réfugiés russes, ni criméens. Mais voilà, à la Russie, on ne pouvait pas vendre des Rafale ou des canons et son pétrole faisait concurrence au nôtre…). Tandis que les autres dictateurs sont persona grata tant qu'ils font leurs emplettes dans les bons magasins. Peu importe si leurs peuples crèvent dans la misère. Ils ne viendront de toute façon pas encombrer les palaces et, s'ils réussissent à survivre aux vagues, on les relèguera dans des villages de campagne, des banlieues lointaines ou les abris de luxe de la protection civile.

    Hypocrisie, quand tu nous tiens!

    La vérité, c’est qu’il s’agit de passer à la vitesse supérieure dans le processus de submersion migratoire de l’Europe. Les élites dirigeantes ont manifestement décidé d’appuyer sur l’accélérateur et de rendre irréversible la submersion migratoire du Vieux Continent et la politique criminelle du Grand Remplacement. On peut même sérieusement penser que les guerres américaines en Afghanistan, en Irak et en Libye ont eu pour objectif principal d’installer le chaos dans ces régions et de favoriser ainsi l’invasion de l’Europe. François Mitterrand le disait lui-même : « La France ne le sait pas mais elle est en guerre contre l’Amérique ». Depuis deux siècles les Etats-Unis n’ont eu de cesse d’affaiblir, de diviser et de neutraliser l’Europe, d’exciter les antagonismes entre les nations et peuples européens. Leur rôle pendant les deux conflits mondiaux et lors des guerres de décolonisation a été particulièrement nocif. Plus récemment dans l’ex-Yougoslavie l’administration américaine a tout fait pour favoriser la création d’un Etat islamo-mafieux, le Kossovo, de nature à déstabiliser la région. Et qui peut nier que les deux guerres d’Irak en 1991 et 2003 ont été particulièrement destructrices, déstabilisatrices comme plus près de nous la guerre en Libye contre Kadhafi ? Or le chef d’Etat libyen avait passé des accords avec Silvio Berlusconi, alors président du Conseil italien, pour éviter l’arrivée massive d’immigrés à Lampedusa.

    Et comme toujours depuis un demi-siècle, les différents gouvernements européens, loin de lutter de toutes leurs forces et par tous les moyens, contre une déferlante migratoire qui conduira nécessairement au suicide général, à la misère, au chaos, la favorisent, l’appuient, l’encouragent. Dans sa conférence de presse, la sixième du quinquennat, qu’il a donnée le 7 septembre, François Hollande n’a cessé de parler de la France, de « l’âme de la France », a appelé à « faire France », à « être à la hauteur de la France », à « faire des choix pour que la France puisse être digne d’elle-même ». Or plus les politiciens parlent de notre pays avec grandiloquence, plus ils le détruisent, plus ils le trahissent. France, que de crimes a-t-on commis en ton nom ? « Il y a des images qui frappent à la porte de nos conscience » a martelé le chef de l’Etat pour mieux culpabiliser les Français.

    Alors que notre dette est de 2 000 milliards d’euros, que la France croule sous les impôts et les charges, que le chômage est massif et connaît des records historiques, que la croissance est nulle, François Hollande n’a rien trouvé de mieux que d’annoncer l’accueil de 30 000 immigrés supplémentaires rebaptisés « réfugiés « .

    En réalité, il s’agit là d’un chiffre minimal et officiel mais il est évident que le chiffre réel sera infiniment plus important lorsque l’on voit le flux massif de “migrants”, la générosité des lois sociales en France et l’empressement de tous les partis de gauche (et pas seulement d’eux !) à accueillir à bras ouverts les “réfugiés” qui demain pourront de surcroît être des électeurs...

     

  • Dix millions de personnes en France sont en situation de grande fragilité par rapport au logement .

    Dix millions de personnes en France sont en situation de grande fragilité par rapport au logement selon la Fondation Abbé Pierre. 700 000 personnes n’ont pas de toit du tout et plus de 200 000 dorment dans la rue.

    Des centaines de milliers de Français et d’ »immigrés légaux » sont sur liste d’attente pour des logements sociaux. Et là, la présidente du Haut Comité pour le logement des personnes défavorisées, Marie-Arlette Carlotti, nous sort de son chapeau 77 310 logements sociaux miraculeusement « vacants »… Précisant qu’en raison de leur statut, les « réfugiés » (comme il convient de les considérer tous) « ne se posent pas en concurrence avec d’autres publics en grande précarité » ! Une énormité de plus, on n’est plus à ça près.

    Depuis des mois on nous serine que l’austérité est là, que les Français doivent faire des efforts, encore et encore, qu’il n’y a plus d’argent nulle part, qu’on en cherche partout, on divise les allocations familiales par deux, on alourdit les taxes, on rogne sur tout, mais Michel Sapin l’affirme : « C’est juste une question de quelques millions, à la mesure de ce que nous pouvons faire et qui ne se fera pas au détriment du reste. »

    Ils nous disent absolument n’importe quoi. Ils nous mentent à longueur de journée, totalement débordés qu’ils sont par la violence de l’invasion, paniqués par les conséquences, ligotés par leur idéologie, totalement à genoux. A l’image de Najat Vallaud-Belkacem qui affirme tout sourire que « c’est une chance pour les communes rurales puisque leurs enfants vont permettre de gonfler les effectifs des classes évitant ainsi la fermeture des écoles »…

    On sait en effet comme c’est une chance pour les élèves quand 70 % des effectifs d’une classe ne parlent même pas le français. Pierre Bernard le maire de Montfermeil avait témoigné à ce sujet il y a 30 ans appelant les pouvoirs publics à l’aide. A l’époque le problème ne concernait que quelques rares secteurs en France dont le sien, on sait comme ça a été une réussite. Là où 100 clandestins de plus posent déjà un problème ils en font entrer au forcing 20 000, 50 000, 100 000.

    Le gouvernement nous entraîne à court terme vers le chaos social, sécuritaire, terroriste, humain. Avec la complicité de l’intox médiatique quotidienne dont  Ouest France en Bretagne.

    Mais la propagande marche de moins en moins. A tel point qu’il se trouve aujourd’hui une courte majorité de Français, 51 % selon OpinionWay, pour déclarer que le Front national a raison dans sa position ferme face aux migrants. Comme le fait justement remarquer un internaute, 51 % osent le dire mais 90 % sont d’accord.

    Sur cette question une consultation nationale est une urgence.  Mais Hollande qui connaît déjà la réponse, s’en gardera bien !...