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  • Grâce à la Russie, les troupes de choc russes entrent en action en Syrie contre les djihadistes .

     

     
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    L’infanterie de marine russe, communément appelée “la Mort Noire”
     
     La Russie a accru l’intensité de son engagement en Syrie, après avoir déployé dans un premier temps une nouvelle base aérienne près du port de Tartous. Ce sont à présent les redoutables fusiliers marins russes – surnommés “la Mort Noire” – qui sont entrés en action contre les djihadistes de l’Etat Islamique.
     
    Déploiement de l’infanterie de marine russe
    Des véhicules russes R-166-0,5 à signal à haute-fréquence ont été identifiés alors qu’ils évoluaient sur l’autoroute 4 reliant Homs à Alep. Ces véhicules, appelés “quartier-général mobile” étaient accompagnés de transports de troupe BTR-82 avec à leur bord des fusiliers marins russes. Les R-166-0,5 permettent d’établir des communications avec des forces engagées sur un champ de bataille sur une distance pouvant atteindre 1 000 kilomètres.
    Ces systèmes de communication sont résistants aux brouillages électromagnétiques, ce qui permet aux troupes russes opérant profondément en territoire syrien d’informer leurs commandants situés sur la base de Lattakié, de recevoir des ordres, du renseignement et même des vidéos prises par des drones ou des avions.
    Un autre élément présent sur le véhicule est une antenne contenue dans un cylindre, laquelle peut être déployée jusqu’à 15 mètres de hauteur.
    Les véhicules R-166-0,5 sont une des composantes du dispositif opérationnel russe, aussi n’auraient-ils pas été déployés sans que des mouvements de troupes sur longue distance ne soient en cours. L’apparition de ces véhicules sur le théâtre syrien permet d’éclairer les intentions de Moscou.
     
    Pont aérien
    Hier, l’armée syrienne a reconnu avoir utilisé de “nouveaux types d’armes” fournies par la Russie, marquant le renforcement du soutien russe au gouvernement syrien. Une source du ministère de la Défense syrien a indiqué à Reuters (lire ici) que “de nouvelles armes – et de nouveaux types d’armes – sont livrés” et qu’elles sont “extrêmement précises et efficaces”. Les forces armées syriennes ont commencé à les utiliser ces dernières semaines après avoir été entraînées ces derniers mois. “Nous pouvons dire que ce sont des armes de tous les types, que ce soit au sol ou dans les airs”.
    Parmi ces livraisons, on compterait l’hélicoptère MIL-28 (nom de code Otan “Chaos”), capables de détruire la plupart des chars de type US actuellement en possession des djihadistes de l’Etat Islamique.
    Le Pentagone (lire ici) estime que ces dernières 48 heures, 15 vols de transport opérés par l’avion géant Antonov-124 (nom de code Otan “Condor”) ont eu lieu sur le site de la nouvelle base aérienne de Jableh, près de Lattakié.
    L’Antonov 124 est le deuxième plus gros avion du monde et peut transporter 150 tonnes de charge et peser jusqu’à 400 tonnes au décollage.
    Grâce à ce pont aérien et au débarquement de matériel constant qui se déroule dans le port de Tartous, les services de renseignement militaires américains estiment que la Russie a, à cette heure, déployé au moins 6 chars T 90 de 3ème génération (voir ici). Ce dernier est le char de combat standard de l’armée russe. On compte aussi 35 blindés transports de troupe et 15 pièces d’artillerie.
     
    Implication de la 810ème Brigade d’infanterie de marine
    Les unités actuellement déployées appartiennent à l’infanterie de marine russe, appelée communément “la Mort Noire”. Les fusiliers marins russes sont des troupes de choc pouvant être rapidement déployées dans le but de s’emparer de points stratégiques avant d’être soutenues par des renforts conventionnels.
    L’effort russe actuel à Jableh, près de Lattakié, vise à permettre l’accueil d’au moins 1500 personnels (source). Le déploiement de fusiliers marins pose nécessairement la question de l’arrivée prochaine, ou non, d’autres unités de l’armée russe en charge de soutenir l’effort.
    Pour l’heure ont été identifiés des fusiliers marins de la 810ème Brigade de Marine intégrée dans la Flotte de la Mer Noire, elle-même stationnée en Crimée (lire ici). Cette brigade compte environ 2000 hommes et est composée de deux bataillons d’infanterie de marine (880ème et 382ème bataillons), d’un bataillon de parachutistes de marine (881ème bataillon), d’un bataillon de reconnaissance (888ème bataillon), d’une batterie d’artillerie (1613ème batterie), d’une batterie de défense anti-aérienne (1619ème batterie).
    Le journal britannique “The Guardian” a indiqué qu’un premier convoi russe était en route vers Hama, non loin de Tartous (source).
     

  • Provocation: l’Arabie Saoudite n’accueillera pas de réfugiés mais propose de financer 200 mosquées en Allemagne pour les nouveaux immigrés musulmans ! ...

     

     
     
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    Pour les pays du Golfe, la déferlante migratoire est une opportunité extraordinaire d’islamiser l’Europe.
    Les faits sont confirmés par la « généreuse » proposition de l’Arabie saoudite de financer 200 nouvelles mosquées en Allemagne pour les nouveaux « réfugiés » musulmans.
    Voici à ce sujet un extrait du Frankfurter Allgemeine Zeitung :
    « Mais aujourd’hui l’Arabie saoudite n’accueille aucun réfugié en provenance des pays en état de guerre civile, et surtout pas venant de Syrie. Au lieu de cela, selon le journal libanais al Diyar, l’Arabie saoudite se propose de construire 200 mosquées pour les réfugiés musulmans qui sont accueillis en Allemagne. Certes, écrit le journal, cela doit se faire en accord avec le gouvernement fédéral. Il serait tout de même préférable que l’Arabie saoudite s’occupe elle-même des réfugiés et soit ainsi à la hauteur de son rôle de leader de l’ »Oumma islamique », la communauté regroupant tous les musulmans. »
     

  • L invasion n'est pas un hasard ! ...

    Rien du trafic migratoire en Méditerranée n’est ignoré des autorités françaises, militaires et civiles. Le général de corps d’armée (quatre étoiles) Christophe Gomart, patron de la DRM (Direction du renseignement militaire) est chargé de recueillir toutes les informations susceptibles d’aider la France à prendre ses décisions d’ordre militaire. Le général 4 étoiles a expliqué,  en ouverture du colloque Geoint, qui s’est tenu à la Société de géographie, à Paris, les 11 et 12 septembre derniers, comment rien du trafic migratoire au Moyen-Orient et en Méditerranée n’échappe au Renseignement français. 

    La DRM, qui est leader en France sur le renseignement d’origine imagerie (ROIM) fourni par les satellites-espions militaires, a inauguré le 19 janvier dernier un très discret centre d’expertise, le CRGI (Centre de renseignement géospatial interarmées). Pluridisciplinaire, il intègre une trentaine de spécialistes civils, militaires et réservistes de haut niveau dont la principale fonction consiste à fusionner le renseignement recueilli par la DRM à partir d’une multitude de capteurs (interceptions, satellites, sources ouvertes, cybersurveillance, etc.). C’est ainsi que la DRM peut aujourd’hui présenter aux dirigeants français une situation précise de la présence des migrants subsahariens en Libye, ainsi que les identités exactes, les modes opératoires et les stratégies des passeurs de migrants. Ces informations sont transmises par la France à l’état-major de la mission européenne en Méditerranée Eunavfor Med, lancée en mai dernier.

    Le général Gomart a ainsi pu confier lors du colloque que les militaires français ont repéré les principaux points d’entrée des filières de trafic humain sur le territoire libyen, notamment à partir de la zone des trois frontières (Libye, Soudan, Égypte). Le renseignement français sait où les passeurs échangent leurs cargaisons humaines, où ils les hébergent. Il les voit également préparer les départs vers l’Europe depuis les plages de Tripolitaine et de Cyrénaïque, imposant aux migrants un processus immuable. (Source)

    Avant tout départ en mer les passeurs appellent le Centre de Coordination Italien des Secours Maritimes, explique-t-il, et c’est ainsi que les bateaux européens vont recueillir directement en mer les masses immigratoires, pour les transporter à bon port, de crainte qu’ils ne s’égarent sur les côtes africaines…

    Le Geoint est devenu « l’outil idéal pour valoriser des données massives géolocalisées. Il joue le rôle d’un accélérateur de prises de décisions en donnant une vision claire et complète aux chefs militaires et aux décideurs politiques », précise le général. (Source)

    L’invasion est donc une affaire qui n’avance pas au hasard. 

    Voilà, il n’y a aucun mystère. Lorsque les passeurs vont acheter un zodiac au siège du Consulat honoraire de Bodrum, chez Madame le consul Françoise Olcay, les renseignements français le savent… Sans le reportage de France 2, le consul serait toujours en poste. Il est à noter que Madame Olcay a perdu son poste de consul,  mais qu’elle continue d’alimenter le trafic vers la France en poursuivant son commerce illégal et que les autorités françaises le savent, de même qu’elles savent que la Turquie délivre de faux passeports, que les capitaineries ferment les yeux etc. etc.

    Et si le Renseignement français est capable de voir le trafic migratoire en Afrique jusque dans ses détails, comment ne pourrait-il pas le voir en Europe et plus encore en France ? Mais qui sait sur qui la surveillance s’exerce en France ? Sur les opposants à l’immigration ?

    Cette invasion est voulue.