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  • Les collabos de l’immigration jettent le masque .

     

     Sur l’affaire des “migrants”, en fait celle concernant les vagues d’immigrés illégaux à l’assaut de l’Europe, la grosse presse, largement subventionnée, gorgée d’argent public et de recettes publicitaires, nous sert jusqu’à la nausée son brouet libéral-libertaire, européiste, mondialiste et cosmopolite, celui que refusent un nombre croissant de lecteurs à mesure que croît le décalage entre ce que les Français y voient ou lisent et la réalité qu’ils perçoivent et vivent au quotidien. Il s’agit, bien entendu, selon nos grandes âmes par procuration, d’accueillir avec enthousiasme l’Autre, celui venu d’ailleurs, nimbé de toutes les vertus et paré de toutes les supériorités dont pourraient et même devraient se réjouir des peuples vieillissants et fatigués qu’ils auraient pour mission de régénérer. Heureusement, pour faire pièce à ce déferlement totalitaire d’un conte mièvre destiné aux esprits les plus fragiles, nombreuses sont les sources d’information alternative, sites internet, blogues et quelques courageux journaux résistants à opposer un autre son de cloche.

    L’épisode migratoire intensif subi par la France et un certain nombre de nations européennes et son aggravation subite depuis le mois d’août dernier ne doivent évidemment rien au hasard, pas plus que l’imposition foudroyante, y compris, hélas, dans les milieux hostiles à cette immigration illégale et qui devraient se garder de dangereuses dérives sémantiques, du terme “migrants” qui n’a rien à voir avec les tics langagiers que nous imposent régulièrement les media.

    Les milieux libéraux entonnent en chœur, avec la gauche, les refrains connus du déficit démographique qu’il convient de combler au plus vite, d’un système social qu’il nous faudrait consolider en accueillant la misère du monde — cherchez l’erreur —, de la nécessaire solidarité à mettre en œuvre et du grand cœur qu’il convient de porter en bandoulière tout en affichant une exaltation bienveillante devant un fléau de grande ampleur qu’il faudrait feindre de prendre pour une inégalable opportunité. C’est un véritable festival dans lequel il n’est pas toujours aisé au néophyte de distinguer les authentiques collabos des véritables tartufes. La télévision et la presse libérale comme de gauche, fidèles et dociles à leurs commanditaires aura une fois de plus joué son rôle, pilonnant sans répit, sans le moindre sens de la nuance.

     

    LA GROSSE PRESSE MOBILISEE POUR UN VERITABLE LAVAGE DE CERVEAU

     

    Paris-Match, magazine à grand tirage reste l’un des titres-phare de l’empire de presse Hachette Filipacchi Media (HFM), filiale de Lagardère Active possédant des filiales aux États-Unis, au Japon, en Espagne et en Italie, éditant et commercialisant 260 titres dans 34 pays. Ce magazine grand public affichait en couverture de son numéro du 10 septembre une fillette au regard triste, tenant à la main un chapelet, islamique bien entendu, et juchée sur les épaules d’un père visiblement fourbu et le regard baissé, avec pour titre « Accueillez-nous . Le grand défi de l’Europe ». Pas moins de 24 pages étaient consacrées au problème des “migrants”, accompagnées de photos suggestives destinées à attendrir le chaland.

    La couverture du magazine Le Point ne faisait pas non plus vraiment dans la dentelle avec son gros plan sur le visage souriant d’Angela Merkel barré du titre « L’incroyable Madame Merkel. Si seulement elle était française… ». Il s’agissait alors de la Merkel 1, celle de l’ouverture inconditionnelle des frontières de l’Allemagne. On sait que l’hommasse teutonne, Merkel 2, se ravisa bien vite, quelques jours après, non en raison d’une quelconque velléité de bon sens ou d’intérêt national mais plus prosaïquement sous la pression de la partie la moins avachie de la population. Ses premières déclarations en faveur d’un accueil inconditionnel des immigrés illégaux avaient pourtant rencontré un large écho positif dans la population mais les nuées ne mirent pas longtemps à se dissiper et la réalité tangible de la submersion lui fit, en quelques jours, rétablir le contrôle aux frontières, nonobstant les laxistes accords de Schengen qui, depuis 1985, les suppriment au sein de la Communauté européenne.

    Quant à l’Obs, sa couverture du 3 septembre affiche sur fond noir le visage de Miran, présumé kurde iranien et restaurateur en France, barré d’une énorme titre manuscrit « J’ai été migrant ». Le dossier consacré au sujet constitue une véritable anthologie de témoignages d’immigrés à l’intégration irréprochable. Rien, ni personne n’y manque, de Zukhra, hôtesse d’accueil et étudiante en art, aux Maliens Cissé Seydou et Galadio Cissé, réciproquement épicier et restaurateur, en passant par Madina, tchétchène et traductrice et enfin Haytam, inscrit dans une classe préparatoire scientifique à Orsay, ce dernier ayant l’outrecuidance de déclarer : « c’est en France que j’ai découvert la pauvreté ». Il y a vraiment des ordres d’expulsion qui se perdent.

    Dans le journal économique Les Échos, propriété du milliardaire Bernard Arnault — première fortune de France et quatrième fortune mondiale —, dont le patrimoine professionnel seul est estimé à 35 milliards d’euros, le chroniqueur Éric Le Boucher s’en donne à cœur joie dans un article au titre prometteur : « L’immigration sera la chance de nos économies. » En bon laquais déférent de la ploutocratie, Éric Le Boucher nous assène ses vérités et surtout celles de ses maîtres. De but en blanc, il commence son article par un péremptoire « Les économistes ne sont jamais d’accord entre eux, sauf sur un sujet : les bienfaits de l’immigration. » Cette première phrase résume et donne le ton de l’article. Reprenant l’antienne des immigrationnistes, il relativise les chiffres, tempère les analyses et se veut rassurant en affirmant que « l’immigration apparaît “massive”, mais ne l’est pas tant que ça. On compte 230 millions d’immigrés dans une population mondiale de 7,2 milliards, soit 3,2 %. C’est peu ». Ce collabo de choc feint d’ignorer qu’une bonne partie de cette population mondiale n’accueille aucun immigré et que l’immigration de prédation converge essentiellement vers les économies les moins atones. Après avoir plaqué méthodiquement dans son billet l’essentiel des poncifs immigrationnistes, notre plume servile conclut que « tout cela devrait conduire à beaucoup relativiser l’angoisse d’invasion et, puisque l’immigration reste, somme toute gérable, à mener des actions de long terme pour profiter de ses bienfaits et éloigner ses inconvénients ». Il n’omet évidemment pas le mensonge éculé des vieux pays dont le système social a besoin d’être conforté par les immigrés. Gageons que ce rampant ne doit guère fréquenter les guichets des C.A.F., de la Sécurité sociale, ni du Pôle Emploi. Pas plus d’ailleurs que les mairies, les centres sociaux, les transports en commun, les hôpitaux et autres lieux où cet individu serait amené à réviser en accéléré ses belles certitudes remplacistes. Gloser sur l’immigration à Saint-Germain-des-Prés ou dans le seizième s’avère nettement plus plaisant et moins risqué.

    Réaliser un tour d’horizon complet de la grosse presse serait fastidieux et répétitif puisque une quasi-unanimité de celle-ci, telle " OUEST TORCHON " en Bretagne met en demeure nos contemporains d’ouvrir grandes les frontières et de profiter de cet horizon indépassable de félicité que représentent la submersion migratoire et la disparition de nos peuples autochtones. Les apôtres du suicide collectif semblent tout émoustillés et ragaillardis par le déferlement massif de la misère du monde aux quatre coins de l’Europe! 

     

  • La république impose aux français une immigration musulmane forcenée mais voici comment elle traita les défenseurs de l' Algérie française .

    Depuis plusieurs mois l’Europe subit une vague migratoire sans précédent, en passe de déstabiliser ses institutions. Des milliers de prétendus "réfugiés" accostent par milliers nos rivages dans l’espoir d’y trouver le paradis et bientôt ils seront des millions… C’est « Le Camp des Saints », roman d’anticipation écrit en 1973 par Jean Raspail qui se réalise sous nos yeux...

                Cependant dans cet imbroglio où la misère côtoie l’intérêt et l’intrigue, il est une catégorie de migrants envers laquelle j’éprouve une aversion particulière : Les lâches et les poltrons.

                En effet, alors qu’en Afghanistan des soldats occidentaux continuent de mourir, que les pertes françaises se sont élevées à 89 tués et qu’au Mali 11 de nos garçons sont déjà tombés pour défendre la liberté de ces nationaux, je n’accepte pas de voir ces derniers, dans la force de l’âge, déserter leur pays. « Ils fuient la guerre », clament-ils à l’envi relayés en cela par la bien-pensance française... Mais un pays, ça se défend ! On ne fuit pas quand le danger sévit sinon cela s’appelle désertion… démission… lâchetétraîtrise

                Si ces jeunes gens dans la force de l’âge refusent de se battre, qui va le faire à leur place ? Cent de nos meilleurs soldats sont déjà tombés dans ces régions étrangères et hostiles pour un rêve de liberté qu’ils voulaient offrir à d’autres. N’est-ce-pas suffisant ?

                Si ces hommes ont tourné le dos à leur pays, c’est qu’ils ne l’aiment pas. Comment dans ce cas pourraient-ils aimer la France ? Parallèle saisissant et contrastant entre ces derniers refusant le combat et cherchant leur salut dans la fuite et ces « soldats perdus » de l’Algérie française excluant toute idée de capitulation, de démission et d’abandon.

    Contrairement aux migrants, face à l’adversité, ces Français d’Algérie surent redresser la tête, s’unir et se défendre dans un combat inégal, cruel, inexorable, d’autant plus cruel et inexorable que chacun savait qu’il s’agissait du dernier… du combat du désespoir. Alors, un sigle… trois lettres allaient leur ramener l’espoir :

    Organisation Armée Secrète.

    Ce sigle représentait un idéal de combat contre le déracinement et contre la honte. Il n’avait aucun caractère politique, puisque spécifiquement affectif.

    C’est après l’effondrement du putsch, d’avril 1961, que l’OAS devait atteindre la notoriété en Algérie et elle ne devint vraiment active qu’au lendemain de cette initiative élyséenne qui ne fut qu’une vaste fumisterie : la trêve « unilatérale »… ce qui permit aux rescapés de l’Armée de Libération Nationale (A.L.N) de reprendre la population en main aussi bien dans les campagnes que dans les centres urbains. Attentats, égorgements, mutilations se multipliaient. Devant les cadavres des égorgés et les visages grimaçants des mutilés, toute velléité de résistance s’effondrait. Le ressort se brisait. Les Musulmans fidèles à la France étaient les premières victimes ; la peur, peu à peu, les menait dans les rangs du FLN.

    « De Gaulle veut notre mort ! » Ce fut le cri de guerre et de désespoir d’un million d’Européens qui, las d’apprendre le massacre de familles françaises, s’organisèrent en commandos. Les magasins arabes flambèrent à leur tour, le plastic détruisit des bains maures. Les affrontements, les combats de rues se multiplièrent sans que les forces de l’ordre n’arrivent à juguler cette flambée de violence. L’Algérie entière était déchaînée. Les « stroungas » explosaient partout et aux grenades lancées dans les tramways et les autobus par le FLN, répondaient les mitraillages des cafés maures. Partout du sang, des morts qu’on enjambait dans les rues. La folie s’était emparée de ce pays autrefois si paisible et si heureux.

    De  nouveau la presse se déchaîna qualifiant de « monstrueux » les attentats commis contre les Musulmans. Elle baptisa du nom de « ratonnades » ces actions désespérées et affirma sans vergogne que « les tueurs nazis de l’OAS se livraient au racket et au massacre sur les Musulmans et les « patriotes » gaullistes ! »

    Faute de protection de l’armée ou de la police, la population européenne se faisait justice elle-même appliquant la loi du talion, condamnable par son aveuglement, mais explicable par les souffrances endurées depuis sept années.

    On oubliait la terreur qui avait régné depuis si longtemps, on ne se souvenait plus des charniers de Mélouza et d’El-Halia, des bombes du stade d’El-Biar et du casino de la Corniche, on ne prêtait aucune attention aux grenades du FLN qui explosaient chaque jour dans les quartiers européens, les cafés, les écoles, aux arrêts d’autobus. On feignait d’ignorer les enlèvements qui se multipliaient dans tous les coins du territoire, les égorgements et les viols. Seuls importaient les « ratonnades » que le journaliste, Yves Lavoquer, comparait aux « pogroms de la Russie tsariste et aux massacres nazis » !…

    L’OAS était une révolte : révolte des habitants de toute une province qui se sentaient abandonnés par la mère Patrie et qui se voyaient placés dans l’alternative suivante : quitter leur sol natal et devenir des déracinés ou rester sur place pour subir les spoliations et les vengeances, le couteau, la balle et la hache. Et qui formait ses rangs, sinon des hommes courageux, le plus souvent des humbles qui n’avaient ni privilèges à défendre, ni fortune à sauver ?

    L’OAS, c’était à la fois, le combattant de l’ombre, l’enfant qui collait une affiche et mourait le pinceau à la main, le vieillard qui guettait et sifflait à l’entrée d’un quartier pour avertir de l’arrivée des « forces de l’ordre », la ménagère qui transportait des tracts dans son panier en allant au marché et ces familles qui hébergeaient les légionnaires du 1er REP après la dissolution de cette prestigieuse unité. Elle était une armée d’ombres, l’armée miraculeuse de l’amour et du malheur. Elle représentait, pour la population d’Algérie, le dernier espoir et l’ultime recours contre un désespoir passionnel. C’était la bouée de sauvetage à laquelle le naufragé tente de s’accrocher.

    Ses éléments se battaient non par ambition, non par intérêt, mais parce qu’un sentiment sur lequel aucun raisonnement n’avait de prise -l’attachement profond à la terre natale- les avait conduits à la révolte. L’OAS c’était, comme l’a écrit Alain Peyrefitte, « le sursaut d’un peuple qui ne veut pas mourir » (1).

    Une évidence s’imposait cependant : S’il n’y avait pas eu le FLN, il n’y aurait pas eu d’OAS. Si de Gaulle avait laissé l’armée abattre le FLN –comme elle aurait pu le faire- il n’y aurait pas eu non plus d’OAS… c’est une vérité première.

    Durant un an elle fit la guerre, comme le FLN la fit durant sept ans et, pour son malheur, les Français de Métropole ne retinrent d’elle que ses aspects les plus noirs. Ils ignoraient –ou feignaient d’ignorer- les exactions du FLN, des barbouzes et des gendarmes mobiles. Ils ne considéraient déjà plus l’Algérie comme un département français… et ils s’en fichaient. Ils souhaitaient se débarrasser au plus vite du « boulet algérien » -terme propre au général président- Les communistes jubilaient et poursuivaient leur propagande de destruction basée sur la sempiternelle rengaine : « Les pauvres Musulmans exploités par les salauds de colons », terme englobant tous les Européens d’Algérie, qu’ils fussent employés, ouvriers, commerçants ou fonctionnaires,  tous issus d’une immigration désirée… quand elle ne fut pas imposée par la Métropole avec les déportations de 1848 et 1870.

    Pour autant, l’OAS ne désarmait pas. Dans certains points du bled dont l’armée se retirait progressivement depuis l’été 1961, elle avait tenté l’implantation de maquis pour lutter directement contre l’ALN sans populations interposées et dans le secret espoir de dégager une portion de territoire où son autorité serait reconnue. Guelma, Bouira, Tipasa, Coléa… autant de vains essais. Les commandos furent encerclés par l’armée et, incapables de tirer sur des soldats français, se rendirent. L’ultime et spectaculaire tentative eut lieu dans l’Ouarsenis, le 29 mars 1962 et se solda par un sanglant échec et la mort de l’un de ses chefs, le commandant Bazin. Trahie, l’OAS, au lieu des alliés qu’elle attendait (les harkis du Bachaga Boualam et deux unités régulières de l’armée) tomba sur des concentrations de forces FLN dix fois supérieures en nombre dont il a été affirmé –et jamais démenti- qu’elles avaient été amenées à pied d’œuvre par les véhicules des gendarmes mobiles français!

    Un combat désespéré qui alla jusqu’au corps à corps s’engagea. Les hommes de l’OAS qui échappèrent à la tuerie furent pourchassés et quand ils furent rejoints, sauvagement abattus. Ce fut là la dernière bataille de l’OAS .

  • Le génocide organisé des peuples d’Europe et la haine de la république pour les français de souche .

     

     

    Les pouvoirs publics, notamment en France,  organisent délibérément la submersion migratoire de notre pays. Alors que le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a exigé de l’Union européenne qu’elle accueille 160 000 “migrants”, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve qui recevait à Paris quelque 600 représentants de villes disposées à accueillir des immigrés clandestins a annoncé le 12 septembre l’octroi d’une aide de 1000 euros par place créée pour accueillir des “migrants” dans les communes françaises d’ici 2017. Un « fonds de soutien au financement de l’investissement » pourra être mobilisé pour les opérations lourdes de création de locaux d’hébergement ou de logements, a-t-il ajouté. De son côté, lors de son intervention à cette même réunion des maires de France à la Maison de la Chimie, le Premier ministre a indiqué que de nouvelles places d’hébergement  pour les réfugiés allaient être financées. Selon le ministère de l’Intérieur, le but de cette journée était de lancer une dynamique (en faveur de l’invasion) et de répondre aux questions des maires : « Puis-je choisir de n’accueillir que des Syriens ? », « une famille de ma commune se propose d’accueillir une famille : est-ce possible ? » Les élus ont reçu notamment un petit livret pédagogique (sic !) sur leur rôle.

    Alors que les allocations familiales ont été fortement amputées pour un grand nombre de familles françaises qui, elles, travaillent et paient leurs impôts, qu’une foultitude de médicaments sont déremboursés tandis que les clandestins bénéficient de la totale gratuité des soins grâce à l’Aide médicale d’Etat, que la France compte huit millions de pauvres, six millions de chômeurs réels, que la dette publique est de 2 100 milliards d’euros, que nous sommes le pays d’Europe qui compte sur son territoire le plus grand nombre d’immigrés extra-européens, favoriser par tous les moyens l’invasion et la submersion de notre territoire est un crime contre la nation et contre le peuple.

     

    Qui peut nier sérieusement que s’opère depuis plusieurs décennies un véritable génocide des peuples européens ? Ce n’est pas un hasard si l’on a concomitamment dépénalisé l’avortement qui tue plus de 300 000 enfants français chaque année et institué le regroupement familial qui permet l’entrée de millions d’immigrés sur notre territoire depuis quarante ans. Les 300 000 enfants français manquant chaque année sont remplacés par l’immigration puisque l’on compte officiellement des centaines de milliers d'immigrés légaux supplémentaires par an (sans compter les clandestins et les enfants nés de parents eux-mêmes étrangers).

    On parle ad nauseam du « génocide juif » depuis un demi-siècle et pendant ce temps-là se réalise en toute impunité le génocide des peuples d’Europe. Un génocide programmé et froidement exécuté qui connaît une brusque accélération ces temps-ci.

    On évoque sans cesse les « crimes contre l’humanité » à propos de la Seconde Guerre mondiale mais l’on promeut sans vergogne un crime contre l’humanité gigantesque et permanent en procédant au Grand Remplacement, à la disparition, à la liquidation par autopersuasion et par invasion, par dilution interne et agression externe, du peuple français et des peuples du Vieux Continent.

    Au lieu de procéder à un ordre de mobilisation générale des cœurs, des esprits, des volontés, des moyens, y compris militaires, pour lutter contre la déferlante migratoire puisque le peuple français est menacé dans son intégrité, dans sa liberté et jusqu’à son existence, nos gouvernants démantèlent les défenses immunitaires, culpabilisent les autochtones, les exhortent à accueillir jusque dans les villages de France les plus reculés et les plus modestes des allogènes, leur imposent un afflux de “migrants” au nom d’une pseudo-générosité dont ils ne font jamais montre à l’égard des Français dans le besoin. La munificence dont font preuve les pouvoirs publics — mais qui ne leur coûte rien puisque ce seront les Français les victimes —, ils en ont manqué terriblement lorsqu’il s’agissait d’accueillir en 1962 les Pieds-Noirs chassés ignominieusement d’un pays qu’ils avaient contribué à construire, à embellir et à civiliser. Comme quoi en République mieux vaut être étranger que national. Il s’agit là d’une inversion proprement satanique car ce prétendu amour du lointain a du mal à dissimuler la haine, elle bien réelle, du prochain.

     

    Nous avons évoqué la semaine dernière le rôle nocif de la contre-église de Vatican II dans la submersion du Vieux Continent. Il faut aussi mentionner l’influence puissante et néfaste de la franc-maçonnerie (dont l’église conciliaire réalise les objectifs) : l’initiative est sans précédent, 28 obédiences maçonniques européennes (dont 8 françaises) ont signé un communiqué commun sur les “migrants”. Il s’agit des sœurs et des frères de 16 pays : Autriche, Belgique, Croatie, Espagne, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Luxembourg, Pologne, Portugal, Roumanie, Slovénie, Suisse et Turquie. Ces 28 obédiences « en appellent aux gouvernements européens pour qu’ils mettent en œuvre les politiques communes indispensables à un accueil digne et humain de populations en détresse et en péril » en regrettant «l’incapacité des Etats à surmonter les égoïsmes nationaux ». Pour la France, huit obédiences sont signataires : GODF, GLFF, GLDF, FFDH, GLMF, GLMU, Oitar, Glisru.

    On comprend mieux l’aplatissement de l’Union européenne dont le véritable père-fondateur, Richard Coudenhove-Kalergi, était favorable au métissage des peuples du Vieux Continent. L’excellent blog Aube radieuse explique ainsi qu’« après la Seconde Guerre mondiale, Kalergi, grâce à une activité frénétique et inlassable et au soutien de Winston Churchill, de la loge maçonnique juive B’nai B’rith et des grands journaux comme le New York Times, réussit à faire accepter son plan (d’intégration européenne) par le gouvernement américain. La CIA achèvera plus tard le projet. Dans son livre Praktischer Idealismus, Kalergi indique que les résidents des futurs “Etats-Unis d’Europe” ne seraient plus les peuples du Vieux Continent, mais une sorte de sous-hommes, issus du métissage. Il expose clairement que les peuples d’Europe doivent se mélanger avec les Asiatiques et les races colorées, créant ainsi un troupeau multinational, sans qualités et facilement contrôlable par l’élite dominante. Kalergi proclame l’abolition du droit à l’autodétermination et ensuite l’élimination des nations grâce à l’utilisation de mouvements séparatistes et des migrations de masse ; pour que l’Europe puisse être contrôlée par une élite, il veut transformer le peuple en un mélange homogène de métisses blancs, noirs et asiatiques. Quelle donc est cette élite ? Kalergi nous éclaire particulièrement sur ce point : « L’homme du futur sera le produit de différentes races. Les races et classes d’aujourd’hui disparaîtront progressivement par l’élimination des espaces, du temps et des préjugés. La race eurasienne-négroïde du futur, similaire en apparence aux anciens Egyptiens, remplacera la diversité des peuples et celle des individus. Plutôt que de détruire le judaïsme européen, l’Europe, contre sa volonté, éduque ce peuple et le conduit à son futur statut de leader de ce processus artificiel. Ce n’est pas surprenant que le peuple qui s’est échappé des ghettos-prisons devienne la noblesse spirituelle de l’Europe. Ainsi cette attention particulière de l’Europe a donné naissance à une nouvelle race d’aristocrates. Cela est dû à l’anéantissement de l’aristocratie féodale européenne qui s’est effondré au moment de l’émancipation des juifs [en raison de la révolution française] ».

    Bien qu’aucun livre d’histoire ne mentionne Kalergi, ses idées sont les principes directeurs de l’Union Européenne. La croyance selon laquelle les peuples européens devraient être mélangés avec les Africains et les Asiatiques, pour détruire notre identité et créer une seule race métissée, est la base de toutes les politiques communautaires ayant pour but de défendre les minorités. Non pour des raisons humanitaires, mais à cause de directives édictées par ce régime impitoyable qui organise le plus grand génocide de l’Histoire. Le prix européen Coudenhove-Kalergi est remis tous les deux ans aux Européens qui ont excellé dans la promotion de ce plan criminel. Parmi ceux à qui a été remis ce prix on trouve Angela Merkel et Herman Van Ropuy. »

     

    L’ONU travaille aussi activement à ce génocide en exhortant à l’accueil de dizaines de millions d’immigrés en Europe, officiellement pour compenser une faible natalité des peuples européens entretenue par la promotion de la contraception et de l’avortement de masse. Dans un rapport publié en janvier 2000 dans Classement de population, une revue de l’ONU à New York, sous le titre “Immigration de remplacement : une solution contre le déclin et le vieillissement de la population”, on pouvait lire : « l’Europe aura besoin avant 2025 de 159 millions d’immigrés. » C’est ce plan effrayant qui est en train de se dérouler sous nos yeux !