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  • Le pouvoir socialiste, complice de l’ONU, va déployer des moyens extraordinaires en faveur des clandestins !


     
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    Clandestins de Calais: où sont les femmes, les enfants et les vieillards ?...
     
     
    Alors que le pouvoir socialiste vient juste de mettre en application la diminution des allocations familiales en ciblant précisément les familles traditionnelles et autochtones, l’ONU (ce pouvoir mondialiste cornaqué par les USA) trouve qu’elle n’en fait pas encore assez en faveur de ceux qui n’ont aucun droit légal à se trouver sur le sol français. Autrement dit les 800 millions annuels récoltés par le pouvoir sur le dos des familles françaises vont servir aux clandestins et sans doute n’y suffiront-ils pas.  Si on considère tous les avantages dont ils bénéficient déjà, et les frais qu’ils génèrent par les désordres qu’ils provoquent, on est loin du compte. 
    Le Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR) des Nations Unies a morigéné la France, lui intimant de présenter très vite un plan d’urgence «global» pour traiter la crise des migrants à Calais, selon les critères des catastrophes naturelles. «Le HCR réitère son appel de l’été 2014 pour une réponse urgente, globale et durable en premier lieu par les autorités françaises», souligne un communiqué du HCR diffusé à Genève, rappelant à la France ses devoirs en termes de droits de l’Homme face à quelque 3000 migrants qui cherchent depuis Calais à se rendre en Angleterre.
     
    Les tripatouillages de la Gauche pour les présidentielles
    Si le HCR a remonté les bretelles des autorités républicaines de France par la voie officielle d’un communiqué, afin de créer les moyens équivalents à ceux d’un plan de catastrophe naturelle, il ne faudrait pas s’imaginer qu’il l’a fait sans auparavant consulter les-dites autorités républicaines. Ce plan a été concerté, mais il fallait lui donner les apparences d’une contrainte extérieure pour le rendre acceptable par des Français blasés. C’est avec les immigrés que le pouvoir socialiste assoie une tyrannie qui ne s’avoue pas, sur la France, par le biais des élections. Plus de 90% des musulmans, qui sont donc tous issus d’une immigration récente, ont voté pour François Hollande lors des dernières présidentielles, -ont rapporté les sondages. Sans cet apport il le « moi-président » n’aurait eu aucun chance d’être élu. Comme il est devenu impopulaire même parmi cet électorat, il faut donc très vite le renouveler.
    Naturellement c’est au nom de la nouvelle religion mondiale, obligatoire et incontournable que sont les Droits de l’Homme, que le gouvernement de la République s’exécutera, prétextant, en parfait hypocrite, qu’il est obligé de faire supporter encore un peu plus cette migration/invasion partie d’Afrique et du Moyen-Orient, aux Français. Un Moyen-Orient où il a largement contribué au chaos actuel en déstabilisant les gouvernements par les fameux « printemps arabes » et en particulier en déstabilisant la Syrie avec ses alliés turcs, arabes, états-uniens, israéliens et qatari. La déstabilisation de la Libye étant principalement l’œuvre du gouvernement Sarkozy.
    Faut-il encore rappeler que les immigrés qui arrivent sur nos côtes ne sont pas pauvres, ainsi que le précise le Secrétaire d’Etat belge à l’Asile et à la Migration?
     
    Faut-il également rappeler que l’Etat islamique, lui-même, a précisé qu’il infiltrait de ses troupes, le flot d’immigrés qui affluent en Europe? Des islamistes qui disposent d’énormes moyens pour financer les passages de clandestins !
     
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    Si les clandestins de Calais étaient réellement contraints, comme on veut nous le faire croire, de fuir la misère et la guerre, ce serait des familles entières qui fuiraient, et non pas, seulement des jeunes hommes… Les rares femmes présentes sont des agents de la gauche immigrationniste !
     

  • La république et ses élus, ces "choses" responsables de tous nos malheurs .

    Les « choses », ce sont, en l’occurrence, ces multiples faillites auxquelles nos compatriotes assistent en cette fin de mois de juillet. Les causes, quant à elles, se résument à une principale : la République, non seulement dans son incapacité à répondre aux enjeux de notre temps mais plus encore dans son incurie et son idéologie, qui sont à la source de nombreux problèmes.

    Tout d’abord la faillite bien concrète de dizaines de milliers d’éleveurs, confrontés à une baisse catastrophique des prix, qu’il s’agisse de la viande, ou encore du lait à la suite de la disparition des quotas. Comme l’a déclaré Périco Légasse au Figaro, ce 22 juillet, « la puissance financière de la grande distribution et sa collusion avec la classe politique conduisent au massacre économique et social que l’on constate quotidiennement. Nos gouvernants, de “droite” comme de “gauche” — tout cela ne veut plus rien dire — ont tellement peur d’aller dans le sens contraire de l’histoire, entendez celui des marchés financiers, en réglementant les pratiques commerciales abusives et déloyales, que la grande distribution dicte leur conduite aux pouvoirs publics. »

    Sans compter une politique européenne favorisant, notamment à travers la pratique des travailleurs détachés, une concurrence déloyale en matière de main d’œuvre qui profite essentiellement à l’Allemagne, sur fond d’une libéralisation des échanges que la signature promise, par l’Europe, du traité transatlantique ne fera qu’aggraver encore.

    C’est bien la destruction de l’agriculture française qui est délibérément recherchée tant par les instances européennes sous contrôle allemand que par les Etats-Unis — une agriculture française que le carcan européen étouffe depuis plusieurs décennies avec la complicité active des dirigeants français, au nom d’une politique agricole commune dont nos paysans ont été les dindons de la farce !

    Ne les a-t-on pas forcés, pour mieux les asservir et les conduire à la faillite, à vivre non plus de leur travail mais de subventions versées avec une prétendue générosité par l’ « Europe » — mensonge éhonté puisque la France est contributrice nette du budget européen ? Le tout en imposant un modèle agricole qui empoisonne les terres et les paysans eux-mêmes ! Oui, la république a fomenté la faillite de l’agriculture française.

    Faillite, ensuite, des collectivités territoriales : Dominique Bussereau, président de l’Assemblée des départements de France, a ainsi déclaré aux Echos le 26 juillet que de « un à cinq départements risquent de se déclarer en faillite d’ici à la fin de l’année si rien n’est fait. » Pourquoi ? Parce « l’ Etat n’a pas compensé l’intégralité des versements que nous faisons pour son compte aux prestataires sociaux. Nous avons calculé qu’à fin juillet, le reste à charge cumulé pour les départements est de 8 milliards d’euros. » Joli tour de passe-passe d’une république qui ne « décentralise » apparemment que pour fuir ses responsabilités ! Et laisser les collectivités — par ailleurs trop contentes de s’instituer en féodalités politiques — dans l’incapacité de répondre à des contraintes financières décidées à Paris. Oui, la république est bien dans l’incapacité de faire vivre sainement les différents échelons administratifs tout simplement parce qu’elle a tué, dès l’origine, une organisation territoriale où l’économique, le culturel et le social peuvent se compléter harmonieusement. Il sera toujours possible de ponctionner le pays réel !

    Faillite également du « vivre-ensemble », cet OPNI (objet politique non identifié) dont l’incantation magique est proportionnelle à la dissolution de la société française. Là encore, la république est pleinement responsable d’un état de fait où les agressions au nom de préjugés barbares, étrangers à notre vieille civilisation chrétienne qui est la chair de notre identité nationale, deviennent monnaie courante — récemment encore dans un parc de Reims —, suscitées par une politique, elle aussi, menée conjointement depuis plusieurs décennies par nos gouvernants, de “droite” comme de “gauche”, puisque tout cela, en effet, ne veut plus rien dire. La justice et l’intérieur ont beau mentir effrontément pour dissimuler le caractère « culturel » de ces agressions : des Français de souche ou des immigrés pleinement assimilés en sont devenus les victimes quotidiennes. L’invasion migratoire, ordonnée par les instances européennes et que nos dirigeants organisent de manière préméditée, déstabilisent la société française en imposant la préférence étrangère. Il en est ainsi de la récente loi Cazeneuve sur les nouveaux droits des immigrés — de préférence en situation irrégulière : les chouchous des socialistes —, loi qui, en élargissant les procédures d’accès à la nationalité française, crée, selon le Républicain Guillaume Larrivé, « une sorte de régime du droit du sol hors sol ». Mais les Républicains — ex-UMP — sont-ils les mieux placés pour dénoncer une politique qu’ils ont eux-mêmes allègrement pratiquée lorsqu’ils étaient au pouvoir ? Et comment Sarkozy, qui fut le champion du déferlement migratoire durant cinq ans et le serait encore s’il revenait au pouvoir, ose-t-il déclarer vouloir remettre en cause Schengen ? Assez de mensonges !

    Faillites et mensonges, également, s’agissant de l’école, que nos gouvernants, de “droite” comme de “gauche”, puisque, là encore, tout cela ne veut plus rien dire, se sont ingéniés à détruire pour mieux couper les Français de leurs racines et empêcher les néonationaux de les acquérir, en vue de favoriser la dissolution de l’identité nationale, l’idéologie pédagogiste, partagée par toute la classe politique républicaine, continuant parallèlement son travail de sape de la transmission des savoirs.

    Oui, c’est avec la conscience de ces multiples faillites, dont la liste est loin d’être exhaustive, et de ces mensonges éhontés d’un pays légal sans vergogne, que les patriotes doivent partir en vacances. Pour nourrir leur détermination. Et recouvrer leurs forces. Toutes leurs forces. Car dès la rentrée le pays en aura besoin !