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  • Un pasteur poursuivi au Royaume-Uni pour avoir dit que l’islam est satanique .

     

    Le pasteur James McConnell, âgé de 78 ans, était jusqu’à l’année dernière le pasteur de la congrégation du Tabernacle de Whitewell en Ulster. Dans l’un de ses derniers sermons, il avait déclaré : « L’islam est païen, l’islam est satanique, l’islam est une doctrine engendrée en enfer ».

    Son sermon ayant été diffusé sur les réseaux sociaux, le parquet l’a inculpé. Le pasteur est cité à comparaître devant un tribunal le 6 août 2015. Il risque une peine d’emprisonnement de 6 mois. Bien qu’âgé et en mauvaise santé, le Révérend McConnell s’en moque :

    « Je n’ai aucun regret de ce que j’ai déclaré. Je ne hais pas les musulmans, mais je dénonce l’islam comme doctrine et je n’ai pas d’excuses à présenter pour cela. Quand je serai dans le box des accusés, en août prochain, je plaiderai “non coupable».

    L’avocat du pasteur McConnell Joe rice a juré de se battre « bec et ongles » pour ce cas.

    Il a révélé ses projets pour transformer ce cas particulier en procès historique au cours duquel il appellera une gamme de témoins politiques, religieux et universitaires à travers le Royaume-Uni à témoigner pour « la défense de la liberté d’expression et la liberté de religion ».

    Le pasteur ajoute que:

    « la décision de le poursuivre, lui chrétien, et non les prédicateurs extrémistes musulmans qui officient en Grande-Bretagne, démontre que les chrétiens sont «persécutés» par les autorités. « 
    « je soutiens avec les fonds de la paroisse des soins médicaux pour 1 200 enfants musulmans au Kenya et en Ethiopie, » at-il dit. «Je n’ai pas de haine dans mon cœur pour les musulmans, mais je ne m’arrêterai pas de prêcher contre l’Islam. »

    Le pasteur McConnell a été inculpé en vertu de la loi de 2003 sur les communications, selon laquelle « l’envoi, par l’intermédiaire d’un réseau public de communications électroniques, d’un message est gravement offensant ».

    Le pasteur a également déclaré : «Je risque au maximum six mois de prison et une lourde amende pour avoir dit ce que je crois . »

    « Si je dois aller en prison, tout ce qu’il me faut c’est ma tablette, mes lunettes de lecture et des livres de la bibliothèque. Si je suis envoyé en prison, je vais utiliser mon temps à lire et à écrire. Ma femme est âgée de 79 ans et en mauvaise santé aussi. Mais elle a toujours été mon rocher et nous allons passer cela ensemble. « ,  » Aux premiers siècles, les apôtres ont été emprisonnés pour prêcher l’Evangile. Les premiers chrétiens ont été bouillis dans de l’huile, brûlés sur des bûchers et dévorés par des bêtes sauvages. S’ils ont fait face et ont conservé leur foi, je peux facilement faire six mois de prison. »

    M. Rice, son avocat, a déclaré: « Je ne suis pas d’accord avec tout ce que dit le pasteur McConnell , mais ces poursuites représentent une menace pour la liberté d’expression et la liberté de religion. », « Si nous entrons dans une société véritablement pluraliste, ces libertés doivent être étendues aux chrétiens autant qu’aux autres. »

    M. Rice a déclaré que la Couronne avait prévu d’appeler huit témoins dans la poursuite du pasteur McConnell:

    « Soyez assurés que nous allons appeler beaucoup, beaucoup plus. Ce sera un cas historique avec des personnalités politiques, religieuses et universitaires témoigner ». « Je pense que le procès devra être déplacé vers la Haute Cour, car les tribunaux locaux ne seront pas assez grand pour l’accueillir. »

    Il a ajouté:

    «Selon toute logique, la décision de poursuivre le pasteur McConnell signifie que de nombreux clercs – y compris des prêtres catholiques et autres pasteurs évangéliques – peuvent désormais se retrouver sous enquête pour avoir prêché avec conviction. 

    Il est en plus particulièrement outrageant qu’en pays de civilisation chrétienne, le christianisme n’ait pas des droits particuliers. Mais quoi d' étonnant dans une république laïciste maçonnique ?

    Et en définitive, ce pasteur ne fait qu’énoncer une vérité de base de la Religion chrétienne.  Donc ce que la « justice » anglaise entend ici condamner, ce n’est pas seulement  un homme, mais bel et bien la doctrine chrétienne, se faisant ainsi complice de l’islam.

    Ah si nos évêques avaient autant de courage  ! ...

     

  • Il n' y a pas assez d' immigrés en France: Valls veut leur accorder de nouveaux droits !

    Ce n’est pas un mince exploit de la part de Valls que d’avoir réussi à faire se lever les députés socialistes pour rendre hommage à Charles Pasqua. Ce n’est pas que le premier ministre lui portât une admiration sans borne mais, s’inscrire, si peu que ce soit, dans sa continuité ne peut que l’aider à peaufiner son image d’homme à poigne, de socialiste qui en a fini avec les naïvetés du socialisme angélique sur la délinquance et l’immigration. Mais il y a loin de l’image qu’il veut se forger à la réalité de son action ! Ce n’est pas lui, à l’instar de Pasqua naguère, qui affrèterait des charters pour renvoyer les clandestins dans leur pays d’origine, au contraire !

    Valls veut accorder de nouveaux droits aux immigrés, la Commission des lois en discute en ce moment. C’en sera fini des autorisations de séjour renouvelables tous les ans pendant cinq ans. Après la première année, le permis sera valable quatre ans ; au terme de cette période, l’immigré aura tout de suite droit à une carte de dix ans. Pourquoi ? Ce sera une « incitation forte à l’intégration », dit le texte et une incitation nouvelle à venir chez nous, ce qu’il ne dit pas...

    Ceux qui veulent vraiment s’intégrer le font déjà dans le dispositif actuel, ceux qui s’y refusent pour des raisons religieuses ou culturelles ne s’exécuteront pas davantage dans ce que Cazeneuve appelle un « parcours sécurisé ». Sous prétexte d’attirer chez nous, chercheurs, ingénieurs, travailleurs qualifiés, jeunes diplômés, artistes, etc. 10 000 titres de séjours seront réservés à cette population contre… 300 actuellement ! Mieux vaudrait évidemment conserver nos diplômés qui partent en masse pour des cieux fiscalement plus cléments que de priver des pays « émergents » de leurs cadres et d’ouvrir une nouvelle filière d’immigration.

    Selon la loi nouvelle, les clandestins, en attendant leur expulsion, ne seront plus retenus dans des centres de rétention mais assignés à résidence, c’est-à-dire libres, de fait. Ils sont supposés attendre sagement que la police vienne les quérir pour les reconduire chez eux ! On croit rêver…

    Cela s’ajoute aux autres décisions de Manuel Valls quand il était ministre de l’Intérieur. Les clandestins ayant un enfant scolarisé devaient attendre dix ans avant d’être régularisés, grâce à lui, ce n’est plus que cinq ans. Sachant que chaque régularisation ouvre droit au regroupement familial, principale source d’immigration légale. Né en Espagne et naturalisé Français à l’âge de 20 ans, il avait annoncé, dès 2012, son intention « d’assouplir » les démarches pour faciliter les naturalisations. Il se félicitera qu’il y ait eu, grâce à lui, + 14 % de naturalisations sur un an, entre juillet 2012 et juillet 2013. Dans une circulaire transmise aux préfets en août 2013, il fixait l’objectif d’au moins 100 000 naturalisations par an, contre 46 000 en 2012, c’est-à-dire d’en doubler le nombre.

    Les clandestins d’aujourd’hui seront les régularisés de demain, les naturalisés d’après-demain qui seront aussi des électeurs en 2022, quand Manuel Valls visera la présidentielle.



  • Le chantage aux migrants ...

    L’émotion est à son comble. La situation est explosive car passionnelle…
    Comment la gérer d’un point de vue politique avec , en vue, les intérêts supérieurs de la France?
    Comment sortir du chantage compassionnel?

    Examinons tout d’abord le mécanisme mis en place par le politiquement correct au service des “valeurs républicaines” que sont l’égalitarisme (un étranger = un Français) et le multiculturalisme (déconstruction de l’identité française) .
     
    Dans notre univers façonné en profondeur par le christianisme, il est moralement condamnable de discriminer, d’exclure, de rabaisser une personne, un groupe, une communauté, etc. Le christianisme nous enseigne en effet que nous devons protéger les victimes (personnes maltraitées, exploitées réfugiés…)
    Qui pourrait et oserait soutenir le contraire ? Personne.
     
    Or, le “politiquement correct”, sous l’apparence d’une bonne intention – « ne pas discriminer » – dissimule un terrible virus mental. Car il est le dévoiement et l’instrumentalisation à des fins de domination mentale d’une avancée civilisationnelle fondamentale réalisée par et grâce au christianisme : la révélation totale et parfaite du mécanisme victimaire.
    Il y a là une manœuvre mentale d’une grande perversion ; l' idée est de jouer sur le reste de morale chrétienne afin de culpabiliser les masses et d’ostraciser les réfractaires qui critiquent la matrice et ses politiques :
    •Vous critiquez l’immigration de masse : attention vous êtes racistes, vous stigmatisez les étrangers !
    •Vous remettez en cause l’interprétation de certains faits historiques : attention vous êtes révisionniste, vous êtes antirépublicain, vous êtes antisémite !
    . Vous critiquez l’art contemporain : attention vous êtes un réactionnaire de droite !
    ...
     
    Ainsi, par le procédé de la culpabilisation, celui qui critique sera accusé de stigmatiser et il prendra immédiatement la place du bourreau .
     
    Or, le politiquement correct se gardera bien de rattacher ce fond de morale chrétienne aux autres commandements du christianisme : l’amour du prochain, la charité, le pardon, le respect de la vie et de Dieu.
    « Le “politiquement correct”,  c’est la religion de la victime détachée de toute transcendance, l’obligation sociale d’employer une véritable “langue de bois victimaire”, qui vient du christianisme mais qui le subvertit plus insidieusement encore que l’opposition ouverte. "
     
    Or la république laïque mélange les perspectives par cynisme et machiavélisme: de Victor Hugo à François Hollande on crée la confusion entre politique et éthique. Comme l’indique Laurent Fidès, “L’éthique et la politique sont des domaines distincts: l’éthique consiste à agir en considérant toujours la personne comme une fin en soi, tandis que la politique consiste à prendre des décisions au nom de l’unité de la collectivité.”
     
    Il s’agit donc avec ces réfugiés qui viennent de Libye ou d'ailleurs, comme lors de l’ "affaire Léonarda" d’une instrumentalisation des valeurs chrétiennes mises au service des valeurs d' une république qui trahit la France.
     
     
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