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  • La famille démantelée par les lois françaises .

     Depuis son instauration la République n’aura eu de cesse de liquider la religion, la famille et la patrie.

    La IIIe République, essentiellement de 1879 à 1914, a mené une guerre de chaque instant contre l’Eglise catholique, contre les congrégations religieuses, contre les paroisses, opérant un des plus gigantesques vols de l’histoire. Mais elle a parallèlement tout mis en œuvre pour détruire également la famille traditionnelle.

    La Révolution française avait légalisé le divorce, qui avait été interdit sous la Restauration. C’est la IIIe République qui l’a de nouveau légalisé en 1884. On notera d’ailleurs que la révolution du droit de la famille a eu le plus souvent pour auteur des israélites, ce qui est tout de même frappant : loi Naquet autorisant le divorce en 1884, loi Neuwirth légalisant la pilule contraceptive en 1967 sous le (prétendu) très catholique De Gaulle, loi Veil dépénalisant l’avortement en 1975, loi Bloche instaurant le Pacs le 15 novembre 1999.

    Cette année nous commémorons le quarantième anniversaire de la loi Veil promulguée le 17 janvier 1975 et du divorce par consentement mutuel (loi du 11 juillet 1975). A l’époque les législateurs avaient voulu faire accroire que ces réformes étaient un progrès et qu’elles permettraient de résoudre de manière pacifique et humaine les discordes familiales.

    Quarante ans plus tard, qui peut nier qu’il s’agissait en réalité de mensonges odieux car jamais la société n’a été aussi malade et les familles aussi fragilisées, divisées, émiettées qu’aujourd’hui ?

    Le divorce par consentement mutuel en favorisant les séparations, en simplifiant et en raccourcissant les procédures ont fortement accru l’instabilité des foyers, surtout à un époque d’individualisme où l’on a en grande partie perdu le sens de l’effort, du sacrifice, la nécessité de l’abnégation, du dépassement de soi, le souci du bien commun primant sur l’intérêt particulier, égoïste et immédiat.

    En 2013 on comptait ainsi 121 849 divorces et 223 858 mariages (chiffres de l’INED) — auxquels s’ajoutent 7367 pseudo-“mariages” homosexuels — et 168 126 pacs (dont 6054 contractées par des personnes de même sexe). C’est-à-dire que plus d’un mariage sur deux finit aujourd’hui par un divorce et que l’on compte presque autant de pacs (pacte civil de solidarité) que de mariages, deux mariages sur trois étant contractés exclusivement à la mairie.

    Depuis 2008, en chiffres absolus, le nombre de divorces tend à régresser légèrement mais c’est uniquement parce que les Français se marient de moins en moins. En 2004 on comptait encore 278 439 mariages, dix ans plus tard on en recense près de 50 000 de moins (231 000 très exactement). Le nombre de pacs rompus, lui, ne cesse de s’accroître. Et après le “mariage” homosexuel, l’on commence à parler des “divorces” homosexuels qui sont en forte hausse, ce qui n’est pas surprenant lorsque l’on connaît l’instabilité affective et la frénésie sexuelle de cette catégorie de personnes.

     

    Aujourd’hui quasiment aucune famille n’est épargnée par les plaies du divorce et de la séparation. Les premières victimes sont toujours les enfants qui sont les jouets des caprices et de l’irresponsabilité des parents.

    La garde alternée, qui ne cesse de se développer (17 % des cas), est particulièrement traumatisante pour l’enfant qui chaque semaine doit faire sa valise, changer de maison ou d’appartement et souvent aussi de beau-père, de belle-mère voire de demi-frère ou de demi-sœur ou même d’enfants totalement étrangers par le sang. Quel adulte accepterait facilement de changer toutes les semaines de domicile et d’être ainsi ballotté telle une bouteille à la mer ? Et que dire des drames de plus en plus nombreux et tragiques mettant en scène des familles recomposées ?

    Des faits divers récents montrent que les viols sur enfant sont le plus souvent le fait des nouveaux conjoints ou concubins de l’un des parents.

    L’avortement légalisé et remboursé banalise quant à lui les infanticides. Le nombre de mères tuant leurs enfants après la naissance, les étouffant, les noyant, les asphyxiant est en augmentation constante et les peines auxquelles les génitrices sont condamnées sont généralement dérisoires. Il suffit d’évoquer le fameux déni de grossesse cher au gynécologue Israël Nisand pour être relaxé. Le divorce est profondément destructeur pour l’équilibre psychologique de l’enfant. Qui peut nier que l’enfant a besoin d’un père et d’une mère présents à ses côtés pour se structurer, pour grandir affectivement ?

    Les enquêtes le montrent : les enfants de divorcés sont le plus souvent fragiles sur le plan psychiatrique, connaissent pour beaucoup d’entre eux des difficultés scolaires et ils sont plus nombreux que les autres à sombrer dans la délinquance, dans la drogue ou à se convertir à l’islam pensant ainsi donner un sens à leur vie.

     

  • Hollande , l' UMPS et l' Europe ont ruiné nos agriculteurs !

    Selon le ministre de l’Agriculture 22 000 éleveurs pourraient disparaître bientôt. Toutes les filières sont au bord de la ruine et les fermiers entre colère et désespoir.

    Le chef de l’Etat a donc lancé un double appel en leur faveur...

    Aux distributeurs afin qu’ils réduisent leurs marges et aux consommateurs pour qu’ils achètent « des produits français » même s’ils sont plus chers car, a-t-il ajouté, « nos emplois sont les emplois des Français et ces derniers sont capables de démontrer qu’ils peuvent faire un certain nombre d’efforts » par patriotisme économique. Mais il ne va pas jusqu’au bout de ce raisonnement ! La logique voudrait qu’il dise : achetez des productions françaises réalisées par des travailleurs français dans toute la filière : les entreprises agricoles, les abattoirs, le transport. Mais pour lui la préférence nationale doit s’arrêter aux produits du terroir.

    Après avoir durement allégé le portefeuille des consommateurs par son matraquage fiscal, Hollande voudrait maintenant qu’ils se serrent encore la ceinture et fassent « des efforts » pour secourir les éleveurs !

    Le hollandisme, c’est cela : les pauvres doivent aider les pauvres. Si les grandes surfaces font la course aux prix bas, c’est pour s’adapter au pouvoir d’achat de leurs clients. A cette fin, les distributeurs s’approvisionnent où c’est le moins cher, et ce n’est pas chez nous mais ailleurs en Europe et dans le monde.

    Le remède au drame des agriculteurs français, ce n’est pas de faire la manche en leur faveur, c’est de remettre en cause ce qui est à la racine du mal : l’Europe, celle que les franc-maçons dontFrançois Hollande ont voulu et qu’ils défendent avec l' appui de tous les médias. L’Union européenne, c’est la libre circulation des personnes et des biens mais sans harmonisation fiscale et sociale.

    Dans le secteur agricole, en Espagne, les charges salariales sont trois fois moins importantes que chez nous ; en Pologne, le smic est à 409 euros et le triple en France. Il est bien évident que les coûts de production ne peuvent être les mêmes, c’est cela que Bruxelles appelle « une concurrence libre et non faussée » dont nos paysans sont en train de mourir.

    En outre, le libéralisme bruxellois entend déclarer l’Europe ville ouverte, dans le cadre du traité transatlantique qui permet aux Etats-Unis et à l’Argentine, notamment, d’exporter en Europe de la viande meilleur marché, n’ayant pas à subir les coûteuses et multiples contraintes écologiques bruxelloises.

    Et sait-on que dans ce pays " libéral "que sont les USA, les importations sont proscrites quand l’agriculture américaine est en surproduction ?

    Voilà que François Hollande pour remédier à ces maux qui prospèrent grâce à son Europe propose… plus d’Europe ! Non pas la nécessaire marche arrière mais la fuite en avant ! Il veut une « avant-garde » de la zone euro, un Parlement dédié, un budget et un gouvernement communs.

    Depuis trente ans, nous avons toujours plus d’Europe et toujours moins de croissance, mais Hollande ne songe pourtant qu’à en ajouter une couche…

    Et que se passera t' il lorsqu' une crise économique ruinera définitivement la France ? : Ce sera la famine (Les français ne le savent pas mais depuis plusieurs années , nous n' avons plus l ' autosuffisance alimentaire et sommes obligés d'importer plus de 60% de ce que nous mangeons ! ) ...

     

  • Il n' ya plus de vocations en France .

    L’année 2015 a vu seulement 68 prêtres ordonnés pour les diocèses français : un chiffre qui s’est encore divisé par deux en 10 ans, et qui à l’époque était déjà catastrophique…

    La France ne compte plus que 15.000 prêtres aujourd’hui, et ce chiffre devrait descendre à 6000 dans 5 ans. Et que dire dans 10 ans ?

    Ces chiffres sont hélas factuels, et ils disent de façon dure et crue l’état de l’ Eglise de France, sachant que les autres pays européens ne font pas mieux. Et pourtant que d’efforts n’ont pas été entrepris pour donner un "aspect plus jeune et plus moderne" à l’ Eglise ? L’abandon de la soutane qui soit disant "éloignait les gens", l’abandon du latin qui "faisait fuir les fidèles", l’abandon du sacrifice trop décalé pour être admis, l’abandon d’une doctrine trop rigoureuse pour être comprise… bref, tous ces abandons avalisés par le concile Vatican II et son « aggiornamento » qui a voulu adapter l’ Eglise au monde.

    « Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits » dit le Seigneur dans l’Evangile. Les fruits du concile sont bel et bien là. « Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. » continue le Seigneur.

    Les hommes d’ Eglise vont-ils enfin admettre avec un peu d’humilité l’impasse dans laquelle les réformes conciliaires ont mené l’ Eglise ? Car l’abandon de la soutane a fait disparaître le prêtre, l’abandon du latin a retiré ce sens du mystère et du sacré qui attirent, l’abandon du sacrifice propitiatoire a enlevé toute rédemption et l’abandon de la doctrine a dénué l’ Eglise ne serait-ce que de tout intérêt.

     Le concile n’a rien à voir là-dedans ? Peut-être, mais dans 5 ans il n’y aura plus que 6000 prêtres alors qu’il y en avait 41.000 juste avant l’ouverture du concile en 1960. Un curieux hasard tout de même…