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  • Nos gouvernants franc-maçons, marxistes et laïcistes nous imposent, au mépris de nos valeurs, une islamisation forcenée.

    Elles ne veulent pas voir. Par lâcheté, par paresse intellectuelle, par idéologie, par naïveté, par tactique politicienne ? À chacune, sa méthode pour garder les yeux grands fermés et surtout ne pas vouloir comprendre, mais répéter, après chaque attentat : « pas d’amalgame ! » ou « pas d’islamophobie ! ». Confortant ainsi, les déclarations du CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France) qui, à la suite de l’attaque et de l’assassinat de Saint-Quentin-Fallavier, s’est fendu d’un communiqué sidérant :  » le vrai danger réside du côté de ceux qui utilisent ces événements pour déverser leur haine contre une partie de la population ». Ce discours, de fait, minimise la décapitation d’un homme – le plus important n’est pas le crime – et laisse supposer que ce n’est qu’un acte isolé sans lien avec l’idéologie islamiste.

    N’oublions pas que cette association, le CCIF, est étroitement liée au Parti des indigènes de la République d’Houria Bouteldja, célèbre diva communautariste, ainsi qu’à un certain Tariq Ramadan, lui-même très attaché aux Frères Musulmans (interdits en Égypte) qui, eux-mêmes, ont des liens très étroits avec l’UOIF (Union des organisations islamiques de France). Rappelons que le CCIF n’a jamais condamné fermement l’État islamique et exhorte à la transgression de la loi sur la laïcité. Ces deux organismes, le CCIF et l’UOIF ont participé, à l’invitation du Premier ministre, au lancement de l’instance de dialogue avec l’islam, à Matignon le 15 juin dernier…

    Le gouvernement ne peut ignorer l’idéologie et les accointances de ses interlocuteurs. Comme il ne peut pas ignorer que les services français de sécurité ont précisément identifié les salles de prières tombées aux mains des prédicateurs salafistes et des extrémistes : 25 en Île-de-France, 22 en région lyonnaise et 13 à Marseille… Il ne peut pas ignorer, non plus, les prêches et appels au djihad sur Internet… Que fait-il ?

    Et tous ces "pseudo élites" qui ne sont même pas des intellectuels – Nadjat Belckacem les nomme ainsi, car elle les connaît bien : ils viennent pour la plupart d’entre eux de son camp – qui depuis des décennies nous assènent leur idéologie mortifère faite de repentance permanente et obligatoire à propos de tout et de rien. Internationalistes et antinationaux par essence, ils ne veulent voir dans l’immigration que le côté humain du problème en oubliant au passage l’apport culturel négatif que peuvent amener certaines populations. Ces "pseudo élite"s se comportent comme des collabos, en culpabilisant à tout propos, l’expression du moindre bon sens populaire. Surtout quand ce bon sens présente l’islamisme pour ce qu’il est : le cancer de l’Islam et, par contre coup, le cancer de nos sociétés !

    À force de vouloir à tout prix éviter l’amalgame et avoir peur de désigner un bouc émissaire, soit on se trompe de cible, soit on se trompe soi-même. Le pire est de parfaitement savoir, de ne pas agir et surtout de ne pas nommer les choses. Comment combattre ce que l’on ne veut pas désigner ? Le terrorisme que nous subissons n’est-il pas islamiste ? N’est-il pas pratiqué au nom d’une religion, l’Islam ?

    Vouloir dissocier l’islamisme de l’Islam est intéressant d’un point de vue intellectuel occidental, mais dans la pratique, pour les djihadistes en herbe, sur le plan religieux, c’est la même chose! Ils agissent au nom de l’Islam et les prédicateurs salafistes le leur rappellent constamment. Le salafisme est une composante de l’Islam, que cela plaise ou non. C’est un problème religieux pour les musulmans, mais pour nous, c’est un problème beaucoup plus vaste de civilisation et il nous faut le traiter comme tel. Notre laïcité, qui est à la base de tous nos maux et dirigée de fait contre les catholiques et est incapable de s' opposer aux exigences islamistes.

    Valls déclare que nous sommes entrés dans une guerre de civilisation… OK ! Traitons cette guerre comme en temps de guerre avec des mesures d’exception ! Et surtout avec du courage et de l’audace.Mais les Hollande, Taubira Valls , Cazeneuve et toute la clique ne feront rien et continueront de laisser les islamistes pénétrer la France !

     

    A quand la rémigration ? D' ici là, des émirats s'installeront en France ...

     

     

     

  • L’église conciliaire appelle à l’invasion de l’Europe .

     

     

    Il ne faut pas compter sur l’église conciliaire pour prôner des mesures de sauvegarde et de défense de notre pays et de notre continent face à l’afflux massif des immigrés. Au lieu d’appeler au développement des pays pauvres et au maintien des populations sur leur terre natale, les “prélats” modernistes ne manquent pas une occasion non seulement d’afficher leur solidarité avec les migrants mais surtout d’encourager les pays européens à les accueillir massivement. 

    Le “cardinal” André Vingt-Trois, “archevêque” de Paris et ci-devant président de la « conférence des évêques de France », a ainsi déclaré le 19 juin sur Europe 1 : « Repeupler les campagnes avec les migrants ? Ça peut être une solution » Alors même que la quasi-totalité de ces immigrés sont mahométans. Mais cela ne gêne absolument pas le successeur de Lustiger.

    Dans le même ordre d’idées le Conseil permanent de la Conférence des évêques de France a adressé un appel le 17 juin en faveur des clandestins intitulé « Migrants nous sommes tous concernés » : « Nous invitons l’ensemble des catholiques en France à changer leur regard, à se faire proches, à dépasser leurs préjugés et leurs peurs et à oser la rencontre. Il ne nous est pas possible de nous replier sur nous-mêmes et d’ignorer la misère de tant d’hommes, de femmes et d’enfants du monde entier qui cherchent seulement à vivre dignement. »

    La déclaration reprend à son compte la position de Jorge Mario Bergoglio qui a exprimé sa « honte devant ce qui se passe en Méditerranée comme à Calais ». Le successeur de Benoît XVI a invité à « demander pardon » pour les « institutions qui ferment la porte à ces gens qui cherchent une famille ». Outre la déclaration de la « Conférence des évêques de France », trois autres “prélats” ont rédigé un message qui devait être lu dans les “paroisses” le dimanche 21 juin : « Aimez donc l’immigré, car au pays d’Égypte vous étiez des immigrés. » Le 18 juin sur RMC, l’un des auteurs de ce texte, “Mgr” Renauld de Dinechin, “évêque” auxiliaire de Paris, a déclaré : « Les migrants sont pacifiques », « Les Érythréens sont de jeunes hommes », « Il faut rencontrer l’autre ».

     

    En visite à Turin le 21 juin, François a évoqué pour les condamner les manifestations de rejet de l’immigration massive. L’image des immigrés qui traversent la Méditerranée « fait pleurer », a-t-il dit, et « si l’immigration augmente la concurrence (économique), ils ne peuvent en être rendus coupables, parce qu’ils sont victimes de l’injustice, de l’économie du rejet et des guerres. Des êtres humains ne doivent pas être traités comme des marchandises ». C’est une constante chez Bergoglio de se prononcer en faveur de l’immigration libre et massive : « Les flux migratoires contemporains constituent le plus vaste mouvement de personnes, sinon de peuples, de tous les temps. En marche avec les migrants et les réfugiés, l’Église s’engage à comprendre les causes qui sont aux origines des migrations, mais aussi à travailler pour dépasser les effets négatifs et à valoriser les retombées positives sur les communautés d’origine, de transit et de destination des mouvements migratoires » déclarait déjà François le 19 janvier 2014 à l’occasion de la 100e journée mondiale des migrants et des réfugiés. Les propos sont très clairs : il faut vanter les bienfaits de l’immigration de masse, encourager ce phénomène. On le voit, l’église conciliaire dans son ensemble est un agent actif du suicide français et européen, un fourrier de la submersion et du Grand Remplacement. Il faut avoir le courage de le voir, de le dire et d’en tirer toutes les conséquences.

     

    Car ce n’est pas une nouveauté. Tous les occupants du siège de Pierre depuis Jean XXIII ont tenu un discours favorable à l’ouverture totale des frontières, à l’invasion du Vieux Continent après avoir défendu activement la décolonisation.

    Dans son message Urbi et Orbi prononcé place Saint-Pierre le dimanche de Pâques, en avril 2011, Benoît XVI appelait déjà les différents pays européens à accueillir sans réserve les immigrés mahométans venant en masse d’Afrique du Nord : « Aux nombreux exilés et aux réfugiés qui proviennent de différents pays africains et qui ont été contraints de laisser leurs affections les plus chères, que se manifeste la solidarité de tous ; que les hommes de bonne volonté soient éclairés pour ouvrir leur cœur à l’accueil, afin que de façon solidaire et concertée il soit possible de répondre aux nécessités pressantes de tant de frères ; qu’à tous ceux qui se dépensent en de généreux efforts et offrent des témoignages exemplaires en ce sens parviennent nos encouragements. » Dans son message de Noël du 25 décembre 2009, Josef Ratzinger affirmait déjà : « Face à l’exode de ceux qui émigrent de leur terre et qui sont poussés au loin par la faim, par l’intolérance ou par la dégradation environnementale (sic !), l’Eglise est une présence qui appelle à l’accueil. »

  • Mgr Gustavo Rodriguez Vega , un évêque courageux.

    L’archevêque du Yucatan (Mexique), Mgr Gustavo Rodriguez Vega, a déclaré que la Cour suprême de justice pouvait emprisonner évêques et  prêtres, mais que l’ Eglise catholique ne peut pas aller contre la loi du Christ. Les déclarations de l’archevêque rapportées par la presse locale font suite à la décision de la Cour suprême de déclarer inconstitutionnelle toute définition d’un quelconque état fédéré du pays qui considérerait le mariage uniquement comme l’union entre un homme et une femme et / ou dans le but de procréer.

    Mgr Rodriguez Vegua a déclaré que « la position officielle de l’ Eglise, respectueuse des institutions de notre pays, nous permet de réaffirmer notre conviction fondée sur des raisons scientifiques, anthropologiques, sociales et religieuses que la famille, cellule de base de la société, est fondée sur le mariage entre un homme et une femme, comme inscrit dans la tradition juridique millénaire de l’Occident, tradition vieille de 2000 ans ».

    Le mariage, a répété l’archevêque, « est l’union d’un homme et d’une femme qui veulent procréer« .

    Le prélat ajoute que personne ne peut obliger l’Eglise à marier des hommes avec des hommes ou des femmes avec des femmes, parce que cela n’est permis ni par l’Eglise catholique, ni par la loi naturelle.

    « Nous savons que nous risquons d’aller en prison » pour refuser de marier des homosexuels, « mais  nous ne leur donnerons pas la bénédiction; cette loi ne peut pas forcer l’Église« .  »

    « L’ Eglise , précise l’archevêque, ne peut pas aller à l’encontre de ses principes et viennent  à l’église seulement ceux qui partagent nos principes. »

    « Que la Cour suprême mette en prison les évêques et les prêtres, ou qui que soit, mais l’ Eglise ne peut pas aller contre la loi de notre Seigneur Jésus-Christ« .