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  • Appel au Pape François, pour la Reconnaissance officielle de l’authenticité du Linceul de Turin.

    Au nom de la Science !
     Appel au Pape François, pour la Reconnaissance officielle de l’authenticité du Linceul de Turin lors de son ostension 2015 (1) «dites-vous que je suis ? »
     
    Le suprême défi de l’Intelligence Scientifique à l’Eglise, à l’instinct de survie de la Chrétienté, à tous ceux qui ont foi dans les forces de l’Esprit et du Verbe.
     

    «Votre Sainteté,
     
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    À l’heure du Massacre des Chrétiens d’Orient, de la revendication du « droit au blasphème », de la croisade pour la défense de la « Liberté d’expression » et de la nouvelle ostension du Linceul de Turin, du 19 avril au 24 juin 2015, le moment n’est-il pas venu d’en finir avec cette Censure sans fin qui prive cette pièce archéologique la mieux mesurée au monde de la Reconnaissance officielle de son authenticité « religieuse » par l’Eglise, alors même que la Reconnaissance de son authenticité « scientifique » est déjà acquise, depuis sa proclamation officielle par le Symposium Scientifique International de Rome en 1993 ?
     
     
    L'intolérable ambiguïté doit cesser!
     
     
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    V
    rai ou faux, relique ou icône, objet de science, de foi ou de spéculations hasardeuses ? L’intolérable ambiguïté demeure, perfidement distillée au goutte-à-goutte dans les média depuis 1988. Elle doit cesser !
     
    Lors de votre prochain face-à-face avec le Saint Suaire, le 21 juin prochain à Turin, que répondrez-vous, vous-même « en Vérité » à l’ultime question qu’il vous posera : « Et vous, qui dites-vous que je suis ? »
     
     
    A la réponse courageuse à cette question, se trouve suspendu le défi à la « Liberté d’expression » le plus décisif pour l’avenir scientifique, politique et religieux, de l’Humanité : son rapport nécessaire à cette Vérité dont l’« Homme du Linceul » s’est justement fait le Verbe incarné !
     
    Le Linceul: d'abord un objet scientifique
     
     
     
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    Mais le Linceul étant d’abord un objet scientifique ( sans laquelle nul ne saurait conclure sur ce qu’il est, ce qu’il signifie, ce à quoi doit servir), encore faut-il pour que vous puissiez trancher le nœud d’infamie de cette ambiguïté, que vous disposiez des raisons scientifiques comminatoires qui obligent votre Sainteté, qui font que vous ne puissiez plus jamais dire : « Je ne savais pas » ! »
     
    C’est donc en qualité de Directeur du Symposium de Rome, qu’au nom de la Science ayant permis d’établir l’authenticité certaine du Linceul, je dois aujourd’hui m’adresser à Votre Sainteté pour lui demander de bien vouloir engager, pour le 21 juin, le processus de reconnaissance officielle par l’Eglise de l’authenticité du Linceul de Turin, attendu du monde entier.
     
     
    pape_4651Lors de son homélie du 24 mai 1998, déclarant que « Le Suaire est provocation à l’intelligence », le pape Jean-Paul II avait « confié aux hommes de science la tâche de continuer à trouver des réponses appropriées aux problèmes [Datation au C14] liés à ce Linceul qui, selon la tradition, aurait enveloppé le corps de notre Rédempteur lorsqu’il fut déposé de la croix ».
     
     
     L'erreur de datation au carbone 14
     
     
    pape_5756_400Or, après la confirmation intrinsèque de l’erreur de datation au C14 du Linceul, de 1988, déjà acquise au Symposium de Rome et médiatisée lors de l’ostension de 2010, il ne reste plus la moindre raison de différer la Reconnaissance officielle de l’authenticité du Linceul par l’Eglise, qui consiste tout simplement à revenir au statu quo ante de véritable Relique de la Passion et de la Résurrection d’avant 1988, puisque l’authenticité du Linceul fut officiellement reconnue par l’Eglise, d’une manière ininterrompue de 1473 à 1988, date de son interruption depuis 27 ans !
     
    En Vérité, l’Eglise n’a donc plus le choix ! Sauf à vouloir persister dans l’erreur, pour respecter le verdict de la Science ainsi que l’engagement de Jean-Paul II, elle se trouve déjà dans l’impérieuse obligation d’acter, à son tour, la Reconnaissance officielle de l’authenticité du Linceul.
     
     
    Une urgence absolue
     
     
    pape_4541_400Mais il y a plus grave concernant Votre Sainteté : l’ouverture de l’ostension et votre prochain face-à-face du 21 juin, avec le Saint Suaire, font de cette obligation d’authentification une urgence absolue, pour d’impérieuses raisons s’imposant plus que tout à la chaire de Vérité de Pierre : la plus intéressée à faire sortir le Linceul de l’intolérable situation du 19 avril au 24 juin 2015 d’ambiguïté dans laquelle l’a plongé la brutale dégradation du Linceul, du statut de « Relique » véritable au rang d’« icône » factice, par le custode pontifical du Linceul, Anastasio Ballestrero, le 13 octobre 1988, à la suite de la datation au C14.
     
    Sauf à vous exposer à paraître le complice de cette tromperie, comment pourriez-vous affronter sereinement votre face-à-face du 21 juin, avec le visage du « Divin Rédempteur (2) en tolérant qu’il puisse être indifféremment vu, « au choix » : par les uns, comme celui du Christ de la Passion et de la Résurrection ; par certains, comme celui du plus grand faux de tous les temps ; par d’autres enfin, comme celui d’un homme assassiné par des chrétiens ayant cherché à forger le simulacre d’une fausse pièce à conviction de la Résurrection(3)elle-même, enfin, comment pourriez-vous tolérer plus longtemps la persistance du statut officiel de faux caractérisé ( sans le mot ! ) attaché au Linceul par l’Eglise depuis 1988 et que son Custode, le cardinal Giovanni Saldarini, à l’ouverture de l’ostension du centenaire scientifique, le 18 avril 1998, a tenu à proclamer avec force devant la presse internationale en ces termes excluant tout doute : « C’est une icône, ce n’est pas une relique ! »
     
    Allez-vous le vénérer ou l'adorer?
     
     
    pape_3543_400En conséquence, dans votre face-à-face du 21 juin, comment allez-vous nommer le vrai-faux Linceul ? Relique ou icône, image, miroir... Allez-vous le vénérer ou l’adorer ? Comment Votre Sainteté pourrait-elle ne pas être saisie d’effroi par les trois raisons comminatoires lui imposant de mettre un terme à cette insupportable ambiguïté pour l’Intelligence :
     
    1) Concernant l’ostension, si le statut officiel de faux n’est pas rectifié et inversé, inviter à y participer revient à dire aux fidèles : « Venez voir mon faux Suaire ! » ;
     
    2) Concernant votre homélie du 21 juin, pouvez-vous véritablement cacher aux fidèles le « statut liturgique » d’authenticité du Linceul actuellement en vigueur4 leur laisser ignorer l’authentification de 1473 par le pape Sixte IV déclarant que « sur le linceul » se voient « Le vrai sang et l’image de Jésus-Christ Lui-même » ?
     
    Pouvez-vous décemment ne pas nourrir leur enthousiasme de certitude en leur rappelant la magnificence des termes sans équivoque de la bulle du pape Jules II, du 26 avril 1506, d’instauration de la fête du Saint Suaire fondée sur son authenticité certaine, conjuguant science et théologie, avec sa formule solennelle : « en considération du divin Sang dont il est teint ».....« nous force obligatoire à vénérer et adorer5 visibles les traces de l’humanité du Christ avec la divinité qui se sont unis avec lui » ;
    3) Concernant votre face-à-face du 21 juin, enfin, la formule d’instauration de la messe du Saint Suaire vous fait obligation d’adorer le Saint Suaire, en raison de la présence du « divin sang » ( et donc non pas seulement de le vénérer comme vous l’avez annoncé par voie de presse). Faute d’authentification, vous êtes donc devant un double « empêchement » : si le Linceul est un faux ( situation officielle depuis 1988), vous ne pouvez le vénérer ; s’il est authentique, vous devez l’adorer ! Telles sont les raisons comminatoires vous imposant de trancher le nœud d’infamie persistant du Linceul ( interdisant tout face-à-face décent du « Vicaire » de l’« Homme du Linceul » avec son « Saint Suaire », tant que la duplicité de son statut trompeur ne sera pas aboli) en l’authentifiant pour le 21 juin 2015 .
     
    Devant de telles monstruosités contradictoires – scientifiques, sémantiques et religieuses –, comment mieux vous convaincre que l’actuel statut de duplicité appliqué au Linceul ne saurait s’accorder avec la Vérité incarnée de l’Homme du Linceul ? a fortiori de la part de son Vicaire qu’elles condamnent au négatif de l’impasse et du déshonneur. A l’inverse, en positif, comment concevoir que son Vicaire puisse ne pas brûler d’enthousiasme de faire au plus vite toute la Vérité : 1) Sur l’objet de Science qu’est son Linceul ; sur le fait qu’il constitue le film témoin du moment singulier à l’origine de notre ère, recelant la Preuve des Preuves scientifique (6) cadavre (cf. « résurrection » des Evangiles) datant le Linceul par l’évènement unique dans l’histoire à l’origine de notre calendrier;
    2) Sur l’objet de foi qui en résulte en raison de la nature « prophétique » du Message encrypté, d’une actualité brûlante, qu’il recèle, scellé dans la trame de son lin depuis 2000 ans : le « Signe de Jonas » ? A cet égard, est-il possible d’ignorer que ce Linceul de Turin est précisément celui du premier acte de foi des chrétiens, celui devant lequel en effet l’apôtre Jean « Vit et il crut ! », les linges affaissés lui révélant la signification prophétique du « Signe de Jonas » évoqué par Jésus de Nazareth (Cf. Observatore Romano de mai 1898); cf. Mgr V. Saxer, recteur de l’Institut pontifical d’Archéologie résultant de la reconnaissance de son authenticité par Sixte IV en 1473 : « Sur le Linceul ... se voient: « Le vrai Sang et l’image de Jésus-Christ Lui-même ». Benoît XVI ayant d’ailleurs donné en 2006 sa bénédiction au Pénitents rouges de Nice pour le Vème centenaire de l’Institution de la Fête liturgique du Saint Suaire).
     
    Faut-il rappeler ici la place occupée par le sang du Linceul dans la fameuse « Querelle du sang » du XVème siècle ? Cf. l’IRSC, l’impression-retrait-sans-contact rendant compte de l’absence d’arrachement des fibrilles de lin et des fibrines de sang ! Sauf à accepter de passer pour indifférent à la Vérité du fait fondateur du christianisme : la « dématérialisation » d’un pour annoncer sa future résurrection à ses disciples : « Vous n’aurez qu’un seul signe, le signe de Jonas ! » Signe comminatoire auquel répondra l’apostrophe de l’apôtre Paul : « Si le Christ n’est ressuscité, votre foi est vaine ! » Ce qui fait du Linceul de Turin, du Message de son empreinte-image, une partie intégrante de la Révélation lui conférant son statut indéniable d’«objet de foi » pour notre temps; 3) Sur le rôle historique que lui assigne sa vocation manifeste dans le cadre de l’ « économie de la Révélation » ; sur sa destination à porter remède à l’« apostasie générale », à réveiller l’instinct de survie de la Chrétienté ; sur sa prédestination symbolique à représenter le retour figuré de « l’Homme du Linceul », préfigurant son deuxième avènement glorieux de la Parousie, frappée aux portails royaux des cathédrales.
     
    Comment ne pas voir dans la structure d’inversion logique de positif-négatif du Linceul, la figure emblématique d’un monde déboussolé où, pour retrouver la Vérité, il faut inverser les choses ! Comment ne pas voir enfin que cet objet le plus chargé de sens de tout les temps - dans ses trois dimensions scientifiques, sémantiques et religieuses - représente la « figure géopolitique » clef - victorieuse d’Intelligence - de la problématique d’un XXIème siècle, en pleine « guerre de Civilisation », qui selon la célèbre formule attribuée à André Malraux « sera religieux ou ne sera pas » !
     
    En conclusion, d’un côté, la Science et les « hommes de science » ont relevé le suprême défi à l’Intelligence auquel le pape Jean-Paul II en a appelé, en proclamant la Reconnaissance officielle de l’authenticité du Linceul à Rome, en 1993, saluée par la presse unanime à la Une « La science s’était trompé, l’Eglise s’était trompé, le Linceul est authentique » !
    Plus aucun des arguments que m’avaient fait valoir tant le pape Jean-Paul II, à Rome, que le Nonce apostolique du Saint Siège à Paris, ne persistent, et la fausseté de la datation au C14 de 1988 est désormais incontestablement établie depuis 2010. Mais en revanche, de son côté, l’Eglise n’a toujours pas rempli ses obligations de répondre positivement au défi à l’Intelligence qu’elle a lancé, en respectant le verdict d’authenticité établi par la Science, pour en revenir ainsi à la Reconnaissance de l’authenticité qu’elle avait établi en 1473 ( Sixte IV ) et scellée dans son Instauration de la Messe du Saint Suaire, et sa liturgie en 1506 ( Jules II ).
     
    Et, concernant les temps modernes, qu’on ne nous dise plus que l’Eglise ne saurait, de principe, mettre en œuvre ses moyens propres dans la quête scientifique !
     
    C’est le Président Nicola Cabibbo, lui-même, en tant que Président de l’Académie Pontificale des Sciences, qui a tenu à m’écrire personnellement l’engagement que celle-ci avait pris lors de la datation C14, sans oublier l’implication scientifique et technique permanente qu’elle doit bien prendre en ce qui concerne la conservation du Linceul. C’est d’ailleurs bien le Saint Siège qui a engagé la funeste datation au C14 et le Cardinal Ballestrero qui a annoncé son résultat erroné. C’est donc bien à lui qu’il incombe en retour de réparer sa faute. Tout scientifique comprend immédiatement que tout frein à l’urgente nécessité de Reconnaissance de l’authenticité du Linceul, par l’Eglise, ne saurait désormais s’expliquer – en l’absence de toute trace d’imperfection capable de le « confondre» comme l’a reconnu, lui-même, le British Museum dans sa définition 117 - que par une raison « religieuse ». Que par le manque de courage d’affronter l’exigence de Vérité inhérent à son Message « acheiropoïètos »: la Preuve des Preuves « non faite de main d’homme » de l’authenticité du fait fondateur « unique » de notre ère, valant authenticité exclusive de la religion chrétienne, elle-même, la plaçant de facto, de par la « Révélation » de Saint Suaire témoin scientifique « sans pareil » au dessus de toute religion, en position de suprématie absolue rappelant le « Je suis la voie, la vérité et la vie », le « est est, non non », le « Hors de l’Eglise pas de salut », plaçant le suprême défi de l’«Intelligence religieuse » sur le même plan que celui de l’«Intelligence scientifique», de par l’exigence même de Vérité du « tiers exclus » de la logique du Verbe !« liberté d’expression » de la Vérité jusqu’au martyre ?
     
    Pour Votre Sainteté, c’est désormais l’heure de Vérité du 21 juin 2015 ! Vous êtes devant la nécessité de trancher le nœud d’infamie de l’équivoque à rompre pour réhabiliter le Linceul de Celui qui a dit « Je ne serai pas confondu (7) inversant la fausse définition du « C’est une icône, ce n’est pas une relique » en « Ce n’est pas une icône, c’est l’authentique Relique la plus insigne de la Chrétienté, de la Passion et de la Résurrection ! » En cela faut-il tant de courage puisqu’il ne s’agit que d’en revenir à la situation qui a toujours prévalu, accordant science et tradition apostolique, comme en témoignent notamment les déclarations suivantes :
     
    - scientifique de Pie XI, du 5 septembre 1936, après cinq ans d’études du Linceul : « Ce sont des images de son Divin Fils. Elles viennent précisément de cet objet encore mystérieux (mais certainement non fait de main d’homme, ceci on peut le dire déjà démontré), qu’est le Saint Linceul de Turin. Nous avons dit mystérieux, parce que beaucoup de mystère entoure encore cette chose sacrée ; mais certainement c’est une chose sacrée comme peut-être nulle autre ; et assurément on peut désormais dire la chose avérée de la façon la plus positive, même en faisant abstraction de toute idée de foi et de Cf. Evangile du dimanche des Rameaux ! » ; de faire perdurer la tromperie ou de proclamer le triomphe de Pâques en piété chrétienne) ce n’est certainement pas une œuvre humaine (8) » ;- religieuse de Jean-Paul II en 1980 : c’est « La Relique la plus splendide de la Passion et de la Résurrection».
     
    Si, dans la perspective de votre futur « face à face » du 21 juin avec le Saint Suaire des chrétiens, le Linceul des scientifiques, j’ai tenu à vous rappeler toutes ces raisons comminatoire de satisfaire à l’exigence de Vérité, pleine et entière, qui vous incombe en tant que Vicaire de l’« Homme du Linceul », c’est pour ne plus laisser la moindre chance au maintien de la duplicité actuelle bloquant la Reconnaissance de l’Authenticité du Linceul ; c’est pour que vous ne puissiez plus jamais dire « Je ne savais pas ! » ; pour vous éviter, à 2000 ans d’écart, de renouveler le reniement de Pierre contraint par manque de courage, en face à face , de dire :« Je ne connais pas cet homme » !
     
    Que vous procédiez à l’annonce de l’authentification du Linceul, comme exigence de Vérité par l’Eglise, pour le 21 juin 2015, tel est aujourd’hui la demande de la communauté scientifique internationale engagée dans les recherches, en reconnaissance de ses travaux sans pareil, et du monde entier.
     
    Dans cette entreprise consistant à répondre au suprême « défi à l’Intelligence » lancé par Jean Paul II, auquel vous ne pouvez pas ne pas répondre, la Communauté Scientifique ne peut que vous rappeler sa célèbre apostrophe : « N’ayez-pas peur ! » Recevez, Votre Sainteté, l’assurance de mes sentiments les plus respectueux.
    Arnaud-Aaron Upinsky, Directeur du Symposium scientifique international de Rome.
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    1- Du 19 avril au 24 juin 2015.
    7- Évangile du dimanche des rameaux
    2-Cf. Observatore Romano de mai 1898
    3- cf. Mgr V. Saxer, recteur de l’Institut pontifical d’Archéologie
    4-Résultant de la reconnaissance de son authenticité par Sixte IV en 1473 : « Sur le Linceul ... se voient: « Le vrai Sang et l’image de Jésus-Christ Lui-même ». Benoît XVI ayant d’ailleurs donné en 2006 sa bénédiction au Pénitents rouges de Nice pour le Vème centenaire de l’Institution de la Fête liturgique du Saint Suaire )
    5-Faut-il rappeler ici la place occupée par le sang du Linceul dans la fameuse « Querelle du sang » du XVème siècle ?
    6- Cf. l’IRSC, l’impression-retrait-sans-contact rendant compte de l’absence d’arrachement des fibrilles de lin et des fibrines de sang.
    7- Évangile du dimanche des rameaux
    8- La Passion de Jésus-Christ, selon le chirurgien Docteur P. Barbet, Éditions Dillen et Cie, 1950, p. 31
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     Qui est Arnaud-Aaron Upinsky?   http://coordination-defense-de-versailles.info
     
    • versailles_36363_02—PHOTO: Arnaud-Aaron UPINSKY.
    • —Écrivain, Président fondateur de l’Union Nationale des  Écrivains de France.
    • —Mathématicien.
    • —Épistémologue.
    • —Titulaire d’une chaire d’épistémologiste en 1998.
    • —Linguiste.
    • —Expert en systèmes informatiques.
    • —Historien des sciences.
    • —Docteur en philosophie politique.
    • —Auteur de livres et d’articles de référence.
    • —Président de l'Alliance internationale AIRAMA (l'Alliance Internationale pour la Reconnaissance des Apports de Maurice Allais en Physique et en Économie).
    • Selon l’expression consacrée, il est de l’intelligentsia française. 
      Photo exclusive: novembre 2010, pour le Journal Québec Presse, par Isidore Grao, de Nice.

      Arnaud Upinsky, Président de l’UNIEF/Coordination Défense de Versailles
      Contact presse : courrierposte@orange.fr et tél.: : 06 01 76 20 79
     

  • Le néo front est entièrement rallié à la religion de la shoah .

    C’est reparti. Pour avoir réitéré ses propos sur « les chambres à gaz, détail de l’histoire » sur BFM-TV le 2 avril, en réponse au journaliste Jean-Jacques Bourdin, et en affirmant qu’il y avait au Front national entre autres de « fervents pétainistes », Jean-Marie Le Pen s’est une nouvelle fois mis à dos tout l’univers politico-médiatique et, plus gravement, la direction du Front national qui a désapprouvé publiquement ses propos. Le Parquet a ouvert une enquête préliminaire pour « contestation de crimes contre l’humanité » — alors même que le président d’honneur du Front national n’a rien contesté du tout —, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a condamné des « propos indignes et contraires aux valeurs de la République », preuve soit dit en passant que la religion de la Shoah est l’un des fondements essentiels du régime actuel. Le ministre de l’Education nationale Najat Vallaud-Belkacem, a réagi par le tweet suivant : « Propos inqualifiables de M. Le Pen. Notre responsabilité est de prévenir les élèves face au danger du négationnisme ». Un aveu qui témoigne au plus haut niveau de l’endoctrinement de l’enfance et de la jeunesse.

    Sans surprise, SOS-Racisme pour qui « Jean-Marie Le Pen se vautre encore dans l’immonde », l’Union des étudiants juifs de France qui qualifie le fondateur du FN d’« antisémite récidiviste », la LICRA d’Alain Jakubowicz qui voit dans le Menhir un « antisémite viscéral, obsessionnel » ont annoncé qu’elles se constituaient partie civile tandis que le CRIF de Roger Cukierman qui avait récemment donné un bon point à Marine Le Pen jugée « personnellement irréprochable » en matière d’antisémitisme écrit, dans un communiqué que « le Front national est un parti à combattre sans faire de détails et que derrière le FN se cachent des vichystes, négationnistes, pétainistes ».

     

    Mais les condamnations les plus lourdes de sens sont venues du mouvement même que Jean-Marie Le Pen a fondé et présidé si longtemps. A peine l’émission de BFM-TV était-elle terminée que Marine Le Pen faisait savoir « son profond désaccord avec Jean-Marie Le Pen, tant sur le fond que sur la forme. Quant aux “fervents pétainistes”, ajoutait-elle, cette déclaration est hallucinante. Je n’en connais aucun au Front, et le candidat (aux départementales) qui avait repris la devise de Pétain est convoqué devant la commission de discipline. » Pour la présidente du Front national, « Jean-Marie Le Pen est dans la provocation volontaire. Ses propos n’engagent que lui. ». Le député Rassemblement Bleu Marine, Gilbert Collard, est allé encore plus loin, écrivant dans un tweet : « La Shoah est l’abomination des abominations et Jean-Marie Le Pen un tract ambulatoire (sic !) pour Manuel Valls, c’est désespérant ». D’où la réplique virile et du tac-au-tac du fondateur du FN quelques minutes plus tard : « Ferme donc ta gueule, espèce de collard ! »

    Les principaux lieutenants de Marine Le Pen, le secrétaire général Nicolas Bay, le vice-président chargé de la stratégie et de la communication et numéro 2 du mouvement Florian Philippot ont eux aussi condamné les déclarations de Jean-Marie Le Pen (« propos insupportables » a même dit Philippot sur RFI) et ont dit clairement que la candidature de Jean-Marie Le Pen comme chef de file du FN en région PACA pourrait être remise en question : la commission nationale d’investiture pourrait choisir une autre tête de liste. Sébastien Chenu, le cofondateur de Gay-Lib que Marine Le Pen a propulsé à la tête d’un Collectif culture, a surenchéri, expliquant qu’il lui paraissait désormais “difficile” pour le fondateur du FN de conduire la liste FN en PACA, Florian Philippot expliquant quant à lui que Jean-Marie Le Pen s’était lui-même mis en marge du mouvement par ses déclarations même si on ne pouvait pas l’exclure comme un « adhérent lambda » dans la mesure où il est le père fondateur et l’ancien président du FN.

    Il y a quelque chose d’indécent à ce que des individus qui n’étaient pas encore au Front national il y a cinq ans, qui n’en ont connu ni les épreuves, ni la traversée du désert, qui ne savent rien de l’adversité à laquelle il a dû faire face pendant des décennies, qui de surcroît n’ont pas connu la Seconde Guerre mondiale, se permettent de juger et de condamner de la sorte Jean-Marie Le Pen, lequel a vécu sous l’Occupation, a porté en Indochine, à Suez et en Algérie l’uniforme de l’armée française, est le héraut, le principal porte-voix et porte-drapeau depuis soixante ans de l’opposition nationale en France.

     

    Ne nous y trompons pas, ce qui se joue dans cette affaire, c’est la liberté de s’exprimer librement et la capacité de résistance à la pression médiatique, à la police de la pensée, au poids des lobbies, et singulièrement à ce que feu François Mitterrand appelait « l’influence puissante et nocive du lobby juif ». A cet égard la réaction des différents dirigeants du néo-Front national n’augure rien de bon pour l’avenir et confirme leur ralliement spectaculaire et, selon nous, irréversible au politiquement et à l’historiquement correct, ainsi que nous le dénonçons sans discontinuité dans ces colonnes depuis cinq ans. Même la juvénile Marion-Maréchal Le Pen, après 36 heures de silence, a jugé bon de se désolidariser publiquement des propos de son grand-père. « Je regrette que le verbe de Jean-Marie Le Pen, qui servit si longtemps à clamer des vérités face au silence abdicateur et aux erreurs historiques de ses adversaires, soit devenu un moyen de provocation inutile. Je suis en désaccord sur le fond et je ne peux soutenir de tels propos car même le plus fier et le plus sage des hommes politiques tire bien peu de gloire à s’installer dans sa vérité et à l’asséner comme une certitude sans tenir compte des conséquences » a-t-elle déclaré à l’hebdomadaire sarkozyste et sioniste Valeurs actuelles, ajoutant de manière très conformiste : « Je n’oublie pas que le régime nazi et ses alliés ont mis mon pays à feu et à sang, que des milliers de mes compatriotes sont morts dans des conditions atroces, certains de confession juive victimes d’une politique raciste qui aura fait date dans l’histoire ». Quant à Bruno Gollnisch qui a pourtant lui aussi été mis en accusation pour des propos supposés sur les chambres à gaz en octobre 2004, il observe de Conrart le silence prudent.

    Aucun responsable de l’actuel Front national n’a jusqu’à présent soutenu publiquement Jean-Marie Le Pen. Aucun même, sans se prononcer sur le fond de ses propos, n’a dénoncé la diabolisation et les attaques dont il est l’objet. Cela en dit long sur l’absence de courage, de colonne vertébrale des hommes politiques de notre temps, tous partis et toutes tendances confondus. Ils sont les médiocres laquais, les méprisables valets du nouvel ordre mondial et de son Dogme. A notre époque, on peut tout se permettre, afficher fièrement son homosexualité, sa transsexualité, se trémousser dans les Gay Pride, fréquenter assidûment les saunas gays, avouer comme Frédéric Mitterrand que l’on se rend en Thaïlande pour faire du tourisme sexuel, mais on ne saurait aborder librement le sujet des chambres à gaz homicides.

     

    Le doyen Jean-Marie Le Pen, auquel sa fille et sa petite-fille doivent tout, qui a porté sur les fonts baptismaux le Front national et l’a dirigé contre vents et marées pendant près de quarante ans, est mis au ban de son parti comme Richard Williamson, le doyen des quatre évêques sacrés par Mgr Lefebvre, fut mis à l’écart de sa société sacerdotale pour avoir attenté à ce dogme. Le Vatican a même affirmé en janvier 2009 que Mgr Williamson n’aurait aucune fonction dans l’Eglise (comprendre dans la secte conciliaire) tant qu’il n’aurait pas reconnu explicitement la Shoah.

    Ne pas répéter sur ce sujet la vulgate expose à la mort sociale, à l’isolement, à l’incompréhension et à l’hostilité générale. Il y a dans la profession de foi révisionniste une démarche christique — que bien sûr les imbéciles ne voient pas — dont la quasi-totalité des hommes de notre temps sont radicalement incapables. Car nous ne sommes plus à l’époque des convictions fortes, de la croyance en une vérité défendue s’il le faut jusqu’au martyre, jusqu’à la privation de sa vie, de sa liberté, jusqu’à la perte de l’amour d’une femme, de l’affection de ses enfants, de la considération de ses voisins. Ne comptent que les intérêts particuliers et le règne de Mammon. Dans ces conditions il ne faut pas s’étonner que nous perdions toutes les batailles depuis plus de deux siècles. Si l’on n’est pas capable de prendre le risque de tout perdre pour défendre une conviction dont les implications politiques, géopolitiques, financières, morales, métaphysiques et religieuses sont incommensurables, alors c’est que l’on ne vaut rien, que le combat que l’on mène n’a aucun sens et qu’il est perdu d’avance. « Qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui perdra sa vie à cause de moi et de la Bonne Nouvelle la sauvera » (Marc 8,35) affirme le Christ dans l’Evangile.

     

    Florian Philippot, faisant état d’appels nombreux de militants de base choqués par les déclarations de Jean-Marie Le Pen, a répété que le Front national devait parler du chômage, du pouvoir d’achat, de l’insécurité, de la souveraineté nationale, des dangers de l’islamisme, des préoccupations quotidiennes des Français et ne pas parasiter le message avec des provocations inutiles. Des propos qui semblent à première vue frappés au coin du bon sens et qui pourtant sont fallacieux. Car les graves problèmes auxquels sont aujourd’hui confrontés notre pays et notre peuple sont en grande partie la conséquence directe de la religion de la Shoah. Entend-on lutter contre l’immigration de masse et organiser le retour des immigrés extra-européens dans leur pays d’origine, aussitôt est-on accusé de vouloir déporter les étrangers comme naguère l’on déportait les juifs et donc de perpétrer un crime abominable. Souhaite-t-on défendre la famille, la natalité française et les valeurs traditionnelles, aussitôt est-on soupçonné de pétainisme, idéologie jugée criminelle car, nous dit-on, complice des nazis et antisémite. Juge-t-on déraisonnables les demandes des dirigeants de la communauté juive, et de Klarsfeld en particulier, de condamner la France pour son attitude, nous assure-t-on, criminelle pendant la guerre à l’égard des juifs, l’on est considéré comme des monstres n’ayant aucune compassion, aucune empathie envers les « victimes de la Shoah ». Souhaite-t-on une politique vraiment répressive contre le crime, le rétablissement de la peine de mort pour les assassins, l’on est accusé de vouloir instaurer un régime totalitaire, source des crimes les plus horribles. Proteste-t-on contre l’ouverture excessive des frontières, la décadence morale (théorie du genre, homosexualisme militant, avortement et pornographie de masse), le règne de l’étranger, aussitôt est-on accusé de reprendre le discours en vogue pendant les heures les plus sombres de notre histoire dont on sait où elles ont mené…

    Si nous n’avons plus de défenses immunitaires pour nous défendre contre les agressions externes et la dissolution interne, si la nation, les familles, l’armée, les corps intermédiaire sont en état de décomposition avancée, si plus rien ne semble avoir de sens, si nous sommes désarmés, dépossédés, submergés, en voie d’être remplacés, c’est la conséquence de l’idéologie des droits de l’homme dont la religion de la Shoah est le ciment et le garant le plus puissant. Ce que les Français ne savent pas, c’est que nous avons été rendus impuissants. On ne citera jamais assez les pages magnifiques du grand Maurice Bardèche dans son monumental Nuremberg ou la Terre Promise écrit en 1948 il y a près de soixante dix-ans. Le beau-frère de Robert Brasillach avait tout compris. Qu’on nous permette de le citer un peu longuement car son diagnostic n’a rien perdu de son acuité, bien au contraire :

    « Le monde est désormais démocratique à perpétuité. Il est démocratique par décision de justice. Désormais un précédent judiciaire pèse sur toute espèce de renaissance nationale. (…) La décision de Nuremberg consiste à faire une sélection préalable entre les partis. Les uns sont légitimes et les autres suspects. Les uns sont dans la ligne de l’esprit démocratique et ils ont le droit en conséquence de prendre le pouvoir et d’avoir un plan concerté, car on est sûr que ce plan concerté ne menacera jamais la démocratie et la paix. Les autres, au contraire, n’ont pas le droit au pouvoir et par conséquent il est inutile qu’ils existent : il est entendu qu’ils contiennent en germe toutes sortes de crimes contre la paix et l’humanité. (…)

    Il y a dans ce simple énoncé un principe d’ingérence. Or, cette ingérence a ceci de particulier qu’elle ne traduit pas, ou du moins, ne semble pas traduire une volonté identifiable. Ce n’est pas telle grande puissance en particulier ou tel groupe de grandes puissances qui s ‘oppose à la reconstitution des mouvements nationalistes, c’est une entité beaucoup plus vague, c’est une entéléchie sans pouvoirs ni bureaux, c’est la conscience de l’humanité. Cela, personne ne sait exactement ce que c’est. Mais cette voie de l’humanité est bien commode. Cette puissance anonyme n’est qu’un principe d’impuissance. Elle n’impose rien, elle ne prétend rien imposer. Qu’un mouvement analogue au national-socialisme se reconstitue demain, il est bien sûr que l’ONU n’interviendra pas pour en demander la suppression. Mais la conscience universelle approuvera tout gouvernement qui prononcerait l’interdiction d’un tel parti, ou, pour sa commodité, de tout parti qu’il accuserait de ressembler au national-socialisme. Toute résurrection nationale, toute politique de l’énergie ou simplement de la propreté, est ainsi frappée de suspicion. On a donné une entorse aux consciences et maintenant on nous regarde boiter. Qui a fait cela ? Qui a voulu cela ? C’est Personne comme criait le Cyclope. Le super-Etat n’existe pas, mais les vetos du super-Etat existent : ils sont dans le verdict de Nuremberg. Le super-Etat fait le mal qu’il peut faire avant d’être capable de rendre des services. Le mal qu’il peut faire c’est de nous désarmer contre tout, contre ses ennemis aussi bien que contre les nôtres.

    C’est une situation singulière. Nous sommes désarmés et menacés par une idée et rien d’autre qu’une idée. Rien n’est interdit, mais nous sommes prévenus qu’une certaine orientation n’est pas bonne. Nous sommes invités à préparer en nous certaines sympathies et à installer en nous plusieurs refus définitifs. On nous apprend à conjuguer des verbes, comme aux enfants : « (…) M. Roosevelt est un grand citoyen du monde, M. Jean-Richard Bloch est un grand écrivain (…) », et inversement : « Je ne serai jamais raciste, j’aimerai bien M. Kriegel-Valrimont, je maudirai éternellement les SS, Charles Maurras et Je Suis Partout. » Et ceux dont l’esprit n’est pas susceptible de ces sympathies ou qui rejettent ces refus ? Ceux dont le cœur répond à d’autres appels, ceux dont l’esprit ne pense qu’à travers d’autres catégories, ceux qui sont faits autrement ? J’ai la même impression ici qu’en lisant certains textes marxistes : ces gens-là n’ont pas le cerveau fait comme le mien, c’est une autre race. Et ce rapprochement nous met sur la voie. Il y a un monde clos de l’idéalisme démocratique qui est du même ordre que le monde clos du marxisme. Ce n’est pas étonnant si leurs méthodes arrivent à coïncider, si leur justice finit par être la même bien que les mots n’aient pas chez eux le même sens. C’est aussi une religion. C’est la même entreprise sur les âmes. Quand ils condamnent le nationalisme, ils savent bien ce qu’ils font. C’est le fondement de leur Loi. Ils condamnent notre vérité, ils la déclarent radicalement fausse. Ils condamnent notre sentiment, nos racines même, notre manière la plus profonde de voir et de sentir. Ils nous expliquent que notre cerveau n’est pas fait comme il faut : nous avons un cerveau de barbares. » (pages 50 à 54, Les Sept couleurs, 1948)

    Le journaliste Patrick Cohen n’avait-il pas dit de Dieudonné qu’il avait un « cerveau malade » ? Et les nationalistes ne sont-ils pas considérés comme des fous dangereux, des esprits dérangés ? Bardèche avait tout prévu, honneur à lui !

     

    L’idéologie démocratique qui annihile nos défenses immunitaires, nous empêche de nous protéger et de nous défendre contre nos ennemis repose depuis 1945, et plus encore depuis les années soixante — et cela n’a fait que s’accentuer depuis — sur un « devoir de mémoire » qui une véritable contre-religion. Laquelle repose sur la morale individualiste des droits de l’homme sans Dieu, exècre les valeurs prônées par l’Etat français, le travail, la famille, la patrie, la religion chrétienne. Elle refuse la morale naturelle et le fait qu’il y ait un ordre dans l’univers. Dans sa perspective, Dieu ne peut pas exister puisqu’il a permis Auschwitz. Et s’il existe, il s’est tu, c’est donc qu’il n’est ni tout-puissant ni infiniment bon.

    La religion de la Shoah débouche sur un athéisme pratique même si elle singe les rituels catholiques avec son culte des martyrs (les six millions), des saints (les Justes récompensés par l’Etat d’Israël), ses pèlerinages et processions (à Auschwitz, au Struthof et ailleurs), ses temples et ses cathédrales (les musées de l’Holocauste), ses reliques (les cheveux, les dents des déportés), son hagiographie (les livres d’Elie Wiesel, de Primo Levi), ses martyrologes (les murs et mémoriaux recensant l’identité et le patronyme des victimes), ses lieux de supplice (les chambres à gaz), ses tables de la loi (la déclaration des droits de l’homme, le jugement du tribunal militaire international de Nuremberg), ses grands prêtres et ses pontifes (Klarsfeld, Simone Veil), son inquisition (les tribunaux de la République), sa loi contre le blasphème (la loi Fabius-Gayssot et son équivalent dans une vingtaine de pays), ses juges (les magistrats), sa cité sainte (l’entité sioniste), ses archanges (Tsahal protégeant l’Eretz), ses prédicateurs et ses gardiens (les enseignants et tous les organes dirigeants, qu’ils soient politiques, médiatiques, religieux, syndicaux, économiques et financiers, associatifs, sportifs), ses saintes congrégations (le Congrès juif mondial, le B’nai B’rith, le CRIF, la LICRA, l’UEJF…), son enfer (tous les nationalistes, sauf les israéliens, les révisionnistes, les catholiques fidèles à la doctrine sur le nouvel Israël, à la théologie dite de la substitution), ses fidèles (la quasi-totalité de l’humanité), ses mécréants (les révisionnistes comme l’ancien président iranien, le professeur Faurisson et tous les révisionnistes).

    Si elle singe la religion chrétienne, cette contre-religion en constitue aussi l’inversion : à l’amour elle oppose la haine, à la vérité le mensonge, au pardon la vengeance, au respect des anciens la traque aux vieillards, à l’oubli des offenses l’imprescriptibilité des crimes, à l’esprit de pauvreté l’appât du gain, à l’humilité la volonté de domination, au sens du partage l’esprit de lucre, à la charité le chantage, au respect d’autrui le lynchage, à la discrétion des vertus domestiques le bruit et la fureur médiatiques, à la justice infinie de Dieu la partialité d’un tribunal des vainqueurs jugeant les vaincus.

     

    Pour comprendre l’importance des enjeux, pour se convaincre que cette question des chambres à gaz n’est pas indifférente par ses implications immenses à la défense de notre civilisation, de notre terre, de notre morale, de notre art de vivre, de notre conception de la famille et de la vie en société, à la sauvegarde aussi de notre religion (car le funeste conciliabule Vatican II est à la fois une acceptation de la philosophie des Lumières mais aussi une réponse à la Shoah, qu’on pense aux manœuvres détestables du “cardinal” Béa avec les organisations israélites !), pour prendre conscience pareillement qu’il existe bien une question juive, un lobby juif, encore faut-il avoir lu et réfléchi. Or qui parmi les actuels dirigeants du Front national a lu les maîtres du nationalisme, de Drumont à Bardèche, de Mauuras à Ploncard d’Assac ? Marine Le Pen s’était vantée d’avoir dévoré dans sa jeunesse Mickey et les livres de gare de la collection Harlequin. Et elle connaît par cœur le générique du dessin animé nippon Albator ! C’est un peu juste pour prétendre diriger et conduire sur une voie droite le mouvement national en France !

    Comment ne pas être consterné lorsque l’on voit la plupart des mouvements de droite populiste et nationale en Europe dirigés par des lavettes ? Rappelons-nous les reptations de Gianfranco Fini en Italie qui, mussolinien dans sa jeunesse, est devenu par arrivisme un anti-fasciste radical, se situant à gauche de Berlusconi et allant rallumer la flamme à Yad Vashem muni d’une kippa. Et que dire de celles d’un Geert Wilders au Pays-Bas, sans même parler de celles du Vlaams Belang et du FPÖ dont une délégation s’est rendue assez récemment en Israël pour aller brûler l’encens à l’idole. Comment croire que ces individus qui rampent de manière aussi misérable alors qu’ils sont dans l’opposition résisteront une fois au pouvoir sachant que les pressions qui s’exercent sur les dirigeants d’un pays, sur un gouvernement sont infiniment plus fortes ?

    Ce qui nous manque aujourd’hui par dessus tout, ce sont des hommes de caractère et de conviction. Ce sont des chefs, des vrais, que l’on peut suivre parce qu’on les admire, parce qu’ils montrent l’exemple, parce qu’ils sont courageux, lucides, tenaces, parce qu’ils ne rompent pas, ne trahissent pas, ne reculent pas, parce qu’ils ont une doctrine sûre et des vertus incontestables. Notre société malade et décomposée est-elle encore capable de sécréter des chefs, quel que soit d’ailleurs le domaine de leurs compétences ? La question mérite d’être posée. Il est frappant de constater que ce sont seulement des hommes d’âge, au terme de leur vie politique, et alors qu’ils sont près de prononcer leur Nunc dimittis qui ont encore l’audace de dire quelques vérités sur le lobby dont on n’a pas le droit de parler, sinon pour en dire du bien ou pour prétendre qu’il n’existe pas. Raymond Barre, François Mitterrand et Roland Dumas ont été de ceux-là. Pour cela, et pour cela seulement, il leur sera beaucoup pardonné. Quant à Jean-Marie Le Pen, depuis une trentaine d’années, il a fait preuve d’une constance remarquable suscitant l’ire des lâches, l’incompréhension des imbéciles et les cris d’orfraie des malveillants.

     

    On nous dit aussi qu’il ne faut pas parler de passé mais seulement du présent et de l’avenir. Mais outre que pour comprendre le présent il faut connaître le passé, qui nous parle ad nauseam des heures les plus sombres de notre histoire ? Le jour même où Jean-Marie Le Pen tenait ses propos iconoclastes, France 3 diffusait une énième fois Shoah, l’interminable navet de Claude Lanzmann. Et le lundi de Pâques, François Hollande se rendait à Izieu au nom du devoir de mémoire, affirmant dans son allocution : « Tous les aspects de notre passé doivent être enseignés dans nos établissements scolaires : l’esclavage, la colonisation, la Shoah ». Dans son dernier livre, la courageuse Anne Kling démontre à quel point la saga des réparations financières dans ce dossier est loin d’être terminée. Les réclamations sont sans fin, comme les poursuites, incessantes, contre des vieillards aujourd’hui nonagénaires. L’endoctrinement de la jeunesse est sans cesse plus intense, plus précoce, plus total. Il commence au jardin d’enfants et ne se termine jamais. Par ailleurs, il n’est que de se promener dans la capitale pour voir se multiplier devant telle rue, tel école, tel monument une plaque commémorative indiquant que pendant la guerre des enfants ont été déportés, des résistants torturés ou fusillés par la barbarie nazie et ses complices de Vichy. Car la barbarie n’est bien sûr que d’un seul côté. Les bombes au phosphore déchiquetant les corps, l’arme atomique asphyxiant les âmes ne sont pas des crimes contre l’humanité dès lors que ce sont les Alliés qui en sont les auteurs. Dans leur monde démocratique un crime n’a pas d’existence objective : tout dépend qui lance la bombe et qui la reçoit.

    On nous dit enfin que la disproportion des forces en présence est trop grande et qu’il faut donc contourner ce sujet car il serait suicidaire. Mais les brillants stratèges qui prétendent sauver la France et l’Europe ont-ils réussi dans leur entreprise ? Quel est le mouvement qui a enrayé la décadence et interrompu la submersion migratoire sur le Vieux Continent depuis un demi-siècle ? Qu’est-ce que les droites nationales ont gagné à ramper sur ce sujet essentiel ? D’autant qu’à partir du moment où l’on accepte les mots d’ordre, le vocabulaire et les tabous de l’ennemi, il n’’y a pas de raison de s’arrêter et de ne pas procéder à de nouvelles concessions, à d’autres abdications. On ne veut pas se mouiller de près ou de loin avec le révisionnisme historique, on le condamne même fermement. Mais par voie de conséquence on condamne également Pétain, son régime et sa devise ; on ne combat pas non plus le mariage homosexuel ni l’avortement ni l’euthanasie parce qu’il faut être moderne et ne pas être diabolisé par l’adversaire en étant accusé de vichysme.

     

    Ce que Marine Le Pen et ses proches appellent la dédiabolisation n’est jamais qu’un complet déculottage devant l’adversaire. C’est la forme euphémisante et jésuitique du renoncement et de la trahison dans l’espoir d’être reconnu par le Système et de s’y intégrer. La stratégie de normalisation de la présidente du FN, c’est la victoire posthume du mégrétisme. Bruno Mégret reprochait déjà à Jean-Marie Le Pen d’empêcher par ses “dérapages” la conquête du pouvoir. Ce n’est pas un hasard si la garde rapprochée de Marine Le Pen est composée d’anciens fervents mégrétistes (Nicolas Bay qui fut secrétaire général du MNR jusqu’en juin 2008, Steeve Briois, ex-secrétaire général et maire d’Hénin-Beaumont, Bruno Bilde…) Mais de quel pouvoir parle-t-on ? Comment croire que l’on puisse résister au rouleau compresseur du mondialisme et de la finance internationale, anonyme et vagabonde, si l’on fait sien le dogme qui explique sa puissance et garantit sa pérennité ?

    Jany Le Pen avait dit un jour de son conjoint « Jean-Marie ne ment jamais ». Et le fait est que Jean-Marie Le Pen est sans doute le dernier homme politique à dire publiquement ce qu’il pense, ce qu’il croit vrai. Certes le mot “détail” n’est sans doute pas le plus approprié car, de quelque façon qu’on la prenne, la question des chambres à gaz est bien loin d’être un détail. Reste que Jean-Marie Le Pen, quels que soient ses défauts et ses erreurs (et nous n’avons pas toujours approuvé tous ses choix, notamment celui de confier le mouvement à sa benjamine, même si, à sa décharge, il est vrai qu’il n’avait pour lui succéder aucune option vraiment enthousiasmante), est un homme fait dans le granit de sa terre natale. A la différence de tous ceux qui aujourd’hui dirigent et animent le mouvement qu’il a fondé et qui sont, eux, à l’image de l’émail dont on fait les bidets ! Si, comme c’est vraisemblable, on retire à Le Pen la tête de liste aux régionales en PACA, ce sera le signe que le Front national tel qu’on l’a connu, aimé, servi, est définitivement mort. En tuant symboliquement le père fondateur le jour du Jeudi Saint, en le livrant comme Judas au Sanhédrin, — même si évidemment Le Pen n’est pas Jésus —, c’est quarante ans de combats que l’on renie, que l’on efface au nom de la “Mémoire”. La flamme, logo historique du Front national inspiré de celui du MSI et symbole de l’espérance, se sera alors éteinte tandis que brillera plus que jamais dans le ciel étoilé celle, lugubre, de Yad Vashem.

     

  • Juppé mis au pilori par Michel Onfray !

    Juppé est mis au pilori par Onfray pour le fait d’avoir un avis sur l’islam sans  jamais avoir lu le Coran,alors qu’il est un responsable politique...

    Le 9 décembre 2009, Juppé disait  à l’antenne d’Europe 1 en plein débat sur l’identité nationale que : « la France est islamo-compatible » « Evidemment oui parce que toutes nos valeurs, précisément liberté, égalité, fraternité, laïcité, respect de l’autre, nous conduisent à dire que la société française comme elle l’a été dans le passé- parce que la France a été historiquement un grand pays d’immigration-doit être accueillante et respectueuse des différences ».

    Pour ne prendre que le sous-statut de la femme dans le Coran, est- ce compatible avec les valeurs de la France ?

    Sourate 4 verset 34 : « Admonestez celles (les femmes) dont vous craignez l’infidélité ; Reléguez-les dans les chambres à part et frappez-les. »

    Sourate 2 verset 223 : «  Vos femmes sont pour vous un champ de labour ; allez à votre champ, comme vous le voudrez »

    Ou encore le témoignage d’une femme vaut la moitié de celle d’un homme (Sourate 2 verset 282).

    Nous sommes bien loin du respect dû à la femme obtenu grâce à 2000 ans de civilisation chrétienne où le grand modèle de l’Eglise est la Vierge Marie ! ...