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  • Il y a trop d' immigrés en France mais la gauche veut encore plus de mixité ....

    immigration
     
     
    OpinionWay a réalisé son sondage annuel pour le centre de recherches de Sciences-Po (CEVIPOV).  Et les résultats sont plutôt affolants pour l’UMPS…
     
    – 82% des sondés sont «fiers d’être français»;
    –  69% des Français estiment qu’il y a trop d’immigrés (20 points de plus qu’en 2009);
    – 69 % des Français perçoivent l’islam comme une «religion négative»;
    –  50% des Français sont pour le rétablissement de la peine de mort (18 points de plus en cinq ans);
    – 85% des Français considèrent que «les responsables politiques ne se préoccupent pas de leur opinion»;
    – 59% des Français n’ont plus confiance en la politique et «n’ont ni confiance dans la droite ou dans la gauche pour gouverner le pays»;
    – 40% des Français ressentent de la méfiance à l’égard de la politique, 25% du dégoût et 11% d’ennui;
    – 64% des Français considèrent que l’école doit «donner avant tout le sens de la discipline et de l’effort» ! ...
     
    Et pour continuer ...alors que Manuel Valls était mercredi en déplacement à Cachan (Val-de-Marne) pour féliciter Jean-Yves Le Bouillonnec et encourager tous « ces maires courageux » qui « s’ouvrent aux jeunes et aux populations nouvelles, et luttent ainsi contre l’apartheid social », le député socialiste du Val d’Oise, Philippe Doucet, rendait publique de son côté un programme gratiné de 24 propositions destinées à « lutter vraiment contre l’apartheid ».

    « Forcer la mixité sociale »

    C’est que, pour Doucet, maire d’Argenteuil de 2008 à 2014 et ancien membre du courant de la Gauche populaire, il n’y pas 36 000 façons de lutter contre « l’apartheid ethnique », ni de « rompre avec la ghettoïsation des populations d’origine immigrée » : il faut « forcer la mixité sociale ». Aussi, aux côtés de mesures assez classiques telles que la mise en place d’un service civique obligatoire d’une durée de six mois pour tous les jeunes de 16 à 18 ans ou encore d’incitations financières pour les professeurs qui, en retour, devront s’engager dans une certaine durée pour enseigner dans ces quartiers, retrouve-t-on dans son catalogue les pires revendications de la gauche et autres associations dites « antiracistes ».

    Les pires revendications de la gauche

    Au menu, en effet : le triplement en cinq ans du nombre de fonctionnaires de police issus de l’immigration, la possibilité pour les associations de lutte contre le racisme de procéder à de vastes campagnes de « testing » en entretien d’embauche, l’autorisation « sous le contrôle de la CNIL » de recourir aux statistiques ethniques, notamment dans les attributions de logements par les bailleurs sociaux, le relèvement des seuils de logements sociaux prévus par la loi SRU à 30 % dès 2020 ou encore une très forte augmentation du barème des amendes pour les « communes délinquantes » ne respectant pas le seuil minimum.

    Bref, de quoi faire plaisir au préfet du Val-de-Marne qui vient de sanctionner lourdement certaines communes, comme Saint-Maur-des-Fossés (3,5 millions d’euros de pénalité) ou Ormesson-sur-Marne (900 000 euros), pour ne pas avoir respecté leurs quotas de logements sociaux.

     

    Philippe Doucet et le "Busing" : quand “crétinerie” et ignorance vont de pair

     

    Le 7 mars le député du Val-d’Oise Philippe Doucet, ancien maire d’Argenteuil, éjecté par les électeurs, publiait dans le Nouvel Obs une chronique absurde sur sa façon de réduire les « inégalités culturelles et sociales » dans l’enseignement français. Ayant salué Valls pour son “courage” d’avoir osé parler « d’apartheid territorial, social, et ethnique », il énonçait péremptoirement comment y remédier. « Pour lutter contre l’apartheid social il faut regarder en face la ségrégation scolaire à l’œuvre dans l’Éducation nationale ». Et il en énumère les causes : « Dans les quartiers, le constat est sans appel : une rotation plus importante des professeurs, la jeunesse de ceux-ci, le mauvais classement dans les parcours des proviseurs et principaux de ces établissements, moins de jeunes agrégés, un recrutement départemental des instituteurs à bout de souffle, etc. ».

    Ce n’est pas la qualité des élèves qui est en doute, pensez donc. Et puisque dans les quartiers favorisés ils ont de bien meilleurs résultats c’est parce qu’ils disposent de pédagogues sédentaires, expérimentés, de proviseurs bien classés, d’agrégés chevronnés, sans compter qu’on leur a réservé les meilleurs professeurs des écoles. Que faire alors ? Multiplier les cars. Comme ils ont fait aux Etats-Unis, où ils appellent cela des bus. Du busing, en somme, mais, évidemment « à la française ».

    Ecoutons le brave M. Doucet : « L’égalité réelle pour ces élèves passe par des mesures qui modifient l’organisation du système éducatif. Nous devons relancer de grandes expérimentations de “busing” à la française, ces programmes bien installés aux États-Unis qui consistent à transporter en bus des élèves de quartiers populaires vers des établissements où la réussite éducative est plus forte ».

    Sauf que lorsqu’il énonce cette allégation dogmatique il désinforme et il ment. D’abord il s’agit bien de conduire en bus des élèves Noirs dans des écoles de Blancs. Et vice-versa des élèves Blancs dans des classes de quartiers Noirs. Avec un double projet. Accélérer le processus de métissage des Etats-Unis. Et introduire dans « les établissements où la réussite éducative est plus forte » c’est-à-dire des établissements blancs, « des élèves de quartiers populaires », en général plus âgés, plus grands et, plus costauds. Afin qu’ils y imposent leur loi aux autres, instaurent de nouvelles hiérarchies dévalorisantes pour les Blancs moins agressifs, et soumettent les jeunes filles blanches de leurs classes à une domination qu’elles seront bien en peine de refuser au risque d’être traitées de racistes.

    Les lois dites civiques qui imposèrent par la force des baïonnettes et une législation barbare l’intégration scolaire dans les écoles américaines rencontrèrent des résistances considérables, y compris de nombreuses familles de couleur. Mais les sanctions étaient telles que l’Amérique dut s’y plier. A partir de 1979 de plus en plus de juges cessèrent d’imposer la déségrégation scolaire et celle-ci n’a depuis cessé de s’effilocher. Entre le moment où George W. Bush accéda à la Maison-Blanche et celui où il la quitta, on était passé de 595 districts scolaires intégrés de force à 380. Avec Obama évidemment le processus s’est ralenti.

     

    LES BLANCS D’AMERIQUE : 40 ANS DE COMBAT CONTRE LE BUSING ET L’AFFIRMATIVE ACTION

     

    Aujourd’hui, néanmoins, on approche des 300 districts. Les plus récentes études montrent que si les institutions dans lesquelles il n’y a pas de Noirs sont rares, un nombre de plus en plus important d’entre elles se “blanchissent” parce que les jeunes Blancs quittent les collèges dans lesquels on les avait forcés à s’enrôler pour en rejoindre d’autres où ils retrouvent un ratio racial plus conforme à leur goût. Et où ils ne sont pas constamment mis en danger par les gangs de jeunes Noirs.

    Une autre étude montre qu’en général dans les dix ans qui suivent un jugement de déségrégation l’intégration recule de 60 %. En revanche la re-ségrégation des écoles noires bat son plein. On estime qu’un jeune Noir sur trois est inscrit dans une de ces “apartheid-schools”. Les Blancs y sont moins de 1 %. La plupart se trouvent dans l’Est et dans le Nord mais déjà 12 % d’entre elles sont dans le Sud et le processus s’accélère. Dans les circonscriptions scolaires ainsi exclues de l’intégration forcée 53 % des jeunes Noirs sont inscrits dans “apartheid-schools”.

    Le fiasco du Système est total. Et bien entendu il s’accompagne d’une disparition du Busing au fur et à mesure que la politique d’Affirmative Action régresse dans tous les domaines de la société américaine. Grâce d’ailleurs à l’action efficace de nombreux Noirs pour lesquels elle aura été la pire des choses survenue à leur communauté. C’est le cas du Professeur Carson, en piste pour la candidature Républicaine aux prochaines élections ou de James Meredith. Celui qui, le 31 mai 1961, força Kennedy à envoyer la Garde Nationale pour lui permettre d’accéder à l’Université du Mississipi. Après avoir soutenu David Duke, Meredith est aujourd’hui l’un des plus acharnés à combattre les Droits Civiques de Michaël King.

    M. Doucet est-il ignorant de ces faits ? Est-ce plus excusable ? Depuis près de 45 ans la résistance contre le Busing n’a jamais cessé et dans de nombreux comtés, cette pratique ignoble est carrément tombée en désuétude, rejetée par le plus grand nombre. Pour beaucoup il s’agit d’abord d’un gigantesque échec doublé d’un fiasco aussi abyssal.

    Le Busing est une des causes principales de ce que l’on a appelé le White Flight ou la fuite des Blancs des centres villes vers les quartiers périphériques. Puis vers la Suburbia, c’est-à-dire, au fur et à mesure de l’avancée des classes moyennes Noires fuyant les ghettos en se réfugiant dans les territoires des Blancs, le dégagement de ces derniers vers des horizons encore plus éloignés. Les grandes vitupérations de Hollande, Valls, Doucet, n’y changeront rien : cette politique consistant à installer par la force des communautés exogènes au milieu de zones peuplées exclusivement de Caucasiens est vouée à l’échec. Et si on se garde bien de la décrire sous cet angle, la rurbanité, qui, en dépit de ses innombrables inconvénients, a converti depuis une trentaine d’années des centaines de milliers d’hectares de bonnes terres agricoles en banlieues agrestes, avait bien une raison majeure.
    Le désir éperdu pour des millions de Français de se mettre, eux et les leurs, à distance respectable de populations immigrées sur la présence desquelles on ne les aura jamais consultés. Décolonisons la France !
     

    Alors que Manuel Valls était mercredi en déplacement à Cachan (Val-de-Marne) pour féliciter Jean-Yves Le Bouillonnec et encourager tous « ces maires courageux » qui « s’ouvrent aux jeunes et aux populations nouvelles, et luttent ainsi contre l’apartheid social », le député socialiste du Val d’Oise, Philippe Doucet, rendait publique de son côté un programme gratiné de 24 propositions destinées à « lutter vraiment contre l’apartheid ».

    « Forcer la mixité sociale »

    C’est que, pour Doucet, maire d’Argenteuil de 2008 à 2014 et ancien membre du courant de la Gauche populaire, il n’y pas 36 000 façons de lutter contre « l’apartheid ethnique », ni de « rompre avec la ghettoïsation des populations d’origine immigrée » : il faut « forcer la mixité sociale ». Aussi, aux côtés de mesures assez classiques telles que la mise en place d’un service civique obligatoire d’une durée de six mois pour tous les jeunes de 16 à 18 ans ou encore d’incitations financières pour les professeurs qui, en retour, devront s’engager dans une certaine durée pour enseigner dans ces quartiers, retrouve-t-on dans son catalogue les pires revendications de la gauche et autres associations dites « antiracistes ».

    Les pires revendications de la gauche

    Au menu, en effet : le triplement en cinq ans du nombre de fonctionnaires de police issus de l’immigration, la possibilité pour les associations de lutte contre le racisme de procéder à de vastes campagnes de « testing » en entretien d’embauche, l’autorisation « sous le contrôle de la CNIL » de recourir aux statistiques ethniques, notamment dans les attributions de logements par les bailleurs sociaux, le relèvement des seuils de logements sociaux prévus par la loi SRU à 30 % dès 2020 ou encore une très forte augmentation du barème des amendes pour les « communes délinquantes » ne respectant pas le seuil minimum.

    Bref, de quoi faire plaisir au préfet du Val-de-Marne qui vient de sanctionner lourdement certaines communes, comme Saint-Maur-des-Fossés (3,5 millions d’euros de pénalité) ou Ormesson-sur-Marne (900 000 euros), pour ne pas avoir respecté leurs quotas de logements sociaux.

    Par FRANCK DELETRAZ

    - See more at: http://www.present.fr/#sthash.2CLUSsea.dpuf

    Alors que Manuel Valls était mercredi en déplacement à Cachan (Val-de-Marne) pour féliciter Jean-Yves Le Bouillonnec et encourager tous « ces maires courageux » qui « s’ouvrent aux jeunes et aux populations nouvelles, et luttent ainsi contre l’apartheid social », le député socialiste du Val d’Oise, Philippe Doucet, rendait publique de son côté un programme gratiné de 24 propositions destinées à « lutter vraiment contre l’apartheid ».

    « Forcer la mixité sociale »

    C’est que, pour Doucet, maire d’Argenteuil de 2008 à 2014 et ancien membre du courant de la Gauche populaire, il n’y pas 36 000 façons de lutter contre « l’apartheid ethnique », ni de « rompre avec la ghettoïsation des populations d’origine immigrée » : il faut « forcer la mixité sociale ». Aussi, aux côtés de mesures assez classiques telles que la mise en place d’un service civique obligatoire d’une durée de six mois pour tous les jeunes de 16 à 18 ans ou encore d’incitations financières pour les professeurs qui, en retour, devront s’engager dans une certaine durée pour enseigner dans ces quartiers, retrouve-t-on dans son catalogue les pires revendications de la gauche et autres associations dites « antiracistes ».

    Les pires revendications de la gauche

    Au menu, en effet : le triplement en cinq ans du nombre de fonctionnaires de police issus de l’immigration, la possibilité pour les associations de lutte contre le racisme de procéder à de vastes campagnes de « testing » en entretien d’embauche, l’autorisation « sous le contrôle de la CNIL » de recourir aux statistiques ethniques, notamment dans les attributions de logements par les bailleurs sociaux, le relèvement des seuils de logements sociaux prévus par la loi SRU à 30 % dès 2020 ou encore une très forte augmentation du barème des amendes pour les « communes délinquantes » ne respectant pas le seuil minimum.

    Bref, de quoi faire plaisir au préfet du Val-de-Marne qui vient de sanctionner lourdement certaines communes, comme Saint-Maur-des-Fossés (3,5 millions d’euros de pénalité) ou Ormesson-sur-Marne (900 000 euros), pour ne pas avoir respecté leurs quotas de logements sociaux

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    Alors que Manuel Valls était mercredi en déplacement à Cachan (Val-de-Marne) pour féliciter Jean-Yves Le Bouillonnec et encourager tous « ces maires courageux » qui « s’ouvrent aux jeunes et aux populations nouvelles, et luttent ainsi contre l’apartheid social », le député socialiste du Val d’Oise, Philippe Doucet, rendait publique de son côté un programme gratiné de 24 propositions destinées à « lutter vraiment contre l’apartheid ».

    « Forcer la mixité sociale »

    C’est que, pour Doucet, maire d’Argenteuil de 2008 à 2014 et ancien membre du courant de la Gauche populaire, il n’y pas 36 000 façons de lutter contre « l’apartheid ethnique », ni de « rompre avec la ghettoïsation des populations d’origine immigrée » : il faut « forcer la mixité sociale ». Aussi, aux côtés de mesures assez classiques telles que la mise en place d’un service civique obligatoire d’une durée de six mois pour tous les jeunes de 16 à 18 ans ou encore d’incitations financières pour les professeurs qui, en retour, devront s’engager dans une certaine durée pour enseigner dans ces quartiers, retrouve-t-on dans son catalogue les pires revendications de la gauche et autres associations dites « antiracistes ».

    Les pires revendications de la gauche

    Au menu, en effet : le triplement en cinq ans du nombre de fonctionnaires de police issus de l’immigration, la possibilité pour les associations de lutte contre le racisme de procéder à de vastes campagnes de « testing » en entretien d’embauche, l’autorisation « sous le contrôle de la CNIL » de recourir aux statistiques ethniques, notamment dans les attributions de logements par les bailleurs sociaux, le relèvement des seuils de logements sociaux prévus par la loi SRU à 30 % dès 2020 ou encore une très forte augmentation du barème des amendes pour les « communes délinquantes » ne respectant pas le seuil minimum.

    Bref, de quoi faire plaisir au préfet du Val-de-Marne qui vient de sanctionner lourdement certaines communes, comme Saint-Maur-des-Fossés (3,5 millions d’euros de pénalité) ou Ormesson-sur-Marne (900 000 euros), pour ne pas avoir respecté leurs quotas de logements sociaux

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    « Forcer la mixité sociale »

    C’est que, pour Doucet, maire d’Argenteuil de 2008 à 2014 et ancien membre du courant de la Gauche populaire, il n’y pas 36 000 façons de lutter contre « l’apartheid ethnique », ni de « rompre avec la ghettoïsation des populations d’origine immigrée » : il faut « forcer la mixité sociale ». Aussi, aux côtés de mesures assez classiques telles que la mise en place d’un service civique obligatoire d’une durée de six mois pour tous les jeunes de 16 à 18 ans ou encore d’incitations financières pour les professeurs qui, en retour, devront s’engager dans une certaine durée pour enseigner dans ces quartiers, retrouve-t-on dans son catalogue les pires revendications de la gauche et autres associations dites « antiracistes ».

    Les pires revendications de la gauche

    Au menu, en effet : le triplement en cinq ans du nombre de fonctionnaires de police issus de l’immigration, la possibilité pour les associations de lutte contre le racisme de procéder à de vastes campagnes de « testing » en entretien d’embauche, l’autorisation « sous le contrôle de la CNIL » de recourir aux statistiques ethniques, notamment dans les attributions de logements par les bailleurs sociaux, le relèvement des seuils de logements sociaux prévus par la loi SRU à 30 % dès 2020 ou encore une très forte augmentation du barème des amendes pour les « communes délinquantes » ne respectant pas le seuil minimum.

    Bref, de quoi faire plaisir au préfet du Val-de-Marne qui vient de sanctionner lourdement certaines communes, comme Saint-Maur-des-Fossés (3,5 millions d’euros de pénalité) ou Ormesson-sur-Marne (900 000 euros), pour ne pas avoir respecté leurs quotas de logements sociaux

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  • Cazeneuve et Juppé deux franc-maçons très attentionnés envers les musulmans ...

    Cazeneuve, c’est cet inquiétant ministre de l’Intérieur – et des Cultes – qui refuse d’interdire de vente dans les librairies (1) les brûlots islamistes. Au motif que « prôner le djihad n’est pas un délit ». Pas un délit chez les dingos d’Allah sans doute, mais en Europe où l’on tue au nom du djihad ?
     
    Vous aurez noté que, par une sorte de contorsion kamasoutresque, le gouvernement et la majorité des médias dhimmitisés ont retourné le problème. Ce sont des musulmans (pervertis, ignorants, fanatiques, déjantés, tout ce que vous voudrez, mais des musulmans revendiqués) qui ont tué en janvier dernier!
     
    Dans les journaux, ça devient : « Depuis les attentats de janvier, les milieux musulmans sont la cible (sic) d’une flambée (resic) d’actes de vandalisme et de violence. »
    C’est bien dommage, car surtout pas damalgame. Mais la faute à qui ? Est-il permis de demander à la communauté musulmane fréquentable (et pas au seul cacochyme Boubakeur) ce qu’elle fait concrètement pour endiguer et annihiler des gens qui, nolens volens, se réclament de l’islam ? Et qui, en tout état de cause, ne sont pas des extra-terrestres sortis de nulle part ?
     
     
    La semaine dernière, Cazeneuve est allé à Bordeaux, la ville du dhimmi Juppé qui l’accompagnait, « pour apaiser » nous dit-on. Pour apaiser qui ? Les chrétiens et les juifs qui sont les cibles – et plus souvent qu’à leur tour – des djihadistes ? Non. Pour apaiser les milieux musulmans !
     
    L’espace d’un après-midi, il a ainsi visité trois lieux de culte musulmans. A la mosquée Al-Houda, il a été reçu par le grand imam de Bordeaux (eh, oui, ça existe…) Tareq Oubrou. Car Cazeneuve a un plan pour l’islam : « s’appuyer sur le dialogue entre les religions pour éviter les fractures communautaires ou confessionnelles »...
     
    Mais qui les a créées et creusées, ces fractures ? Les chrétiens, les juifs, les bouddhistes ?
     
    Cazeneuve, c’est le fils naturel du Père Ubu et de Dada ! Alain Juppé s’est dit réjoui de cette visite (2) et en a profité pour y aller d’un laïus bisounours : « A Bordeaux, nous vivons cette fraternité, nous faisons la promotion du vivre ensemble. » Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais cette expression utilisée ad nauseam, « le vivre ensemble », me fait hurler.
     
    Cazeneuve a dit s’engager à faire tout ce qui est en son pouvoir « pour apaiser les craintes, répondre aux attentes légitimes et procurer la tranquillité d’esprit ». Et comment il apaise ces djihadistes qui, après la décapitation de 21 coptes chrétiens, ont envoyé ce sympathique message : « Ceci est un message de sang à la nation de la croix et aux fidèles de l’Eglise ennemie » ? Et il apaise comment les Merah, Kaouachi, Coulibaly, les « Danois » à la Omar Hamid el-Hussein, à venir ?
     
    Alors que l’UMPS continue de se vautrer dans l’angélisme, il est temps de parler vrai. Même Yves de Kerdrel de Valeurs actuelles, qui n’est pourtant pas une flèche, s’en est rendu compte : « Comme s’il n’y avait pas urgence, de la part de tous, à ouvrir enfin (sic) les yeux sur cette guerre de religion que les islamistes ont décidé de porter sur notre sol contre des Français chrétiens ou juifs ».
     
    (1) Et pas seulement dans les librairies musulmanes, mais jusqu’à la FNAC (entre autres).
    (2) Réjoui et un brin admiratif : « Je n’avais jamais fait trois mosquées dans la journée. » ! ...
     

  • Des soins palliatifs à l' euthanasie généralisée .

    Le 16 février dernier, Véronique Besse, député de la Vendée, signait une tribune libre fort intéressante dans Le Figaro concernant les soins palliatifs. Elle déplore que la loi Léonetti (2005) concernant les soins palliatifs ne soit pas appliquée.

    Il est possible de résumer son propos en trois items :

    - la plupart des Français n’ont pas accès aux soins palliatifs

    - les médecins ne reçoivent aucune formation sur le sujet

    - le manque de volonté politique pour appliquer la loi Léonetti est patent .

     

    Le vrai du faux

    Honneur à Mme Besse : elle a raison dans tous les cas ! La preuve en est donnée par le rapport annuel de la Cour des comptes qui précise d’emblée que la loi tout simplement n’a pas été appliquée. Or il est bien stipulé que tout Français doit pouvoir mourir dans le cadre des unités de soins palliatifs chez lui, comme à l’hôpital.

    Il serait très long de détailler ce rapport. Nous donnons quelques repères. Le point de départ est le programme 2008-2012 défini après la loi Léonetti votée le 22 avril 2005, donc il y a dix ans. Pour l’appliquer a été allouée la somme de 230.000 euros. Ce qui, dit en passant, est minime pour des hommes qui pour la plupart ont travaillé et cotisé toute une vie aux assurances sociales. Le constat de la Cour des comptes est lourd.

    Nous (et elle) ne disposons pas d’autres chiffres plus récents.

    - En 2009, 238.000 personnes sont décédées dans notre pays. 32 % ont bénéficié des soins palliatifs dans le cadre de courts séjours hospitaliers.

    - La même année dans le cadre des 15.000 décès aux urgences, 7,5 % seulement ont bénéficié de ces soins.

    - Seulement 13 % de nos mourants à domicile ont « peut-être » bénéficié de ces soins à domicile.

    Bref, la loi a été appliquée de manière lacunaire. Pourquoi ? Il ne faut pas chercher à comprendre. Comme disait Hitler, il faut appliquer la « solution finale ». L’euthanasie généralisée représente le progrès pour certains comme Romero...

    Si en plus on veut être gentil, plutôt qu’une piqûre, on peut à la rigueur utiliser la sédation finale : la mort douce par déshydratation et privation de nourriture. C’est ce qui coûte le moins cher, mort abominable qui va nous être proposée par une nouvelle loi...

     

    VSED (sédation volontaire)

    Judith Schwarz est infirmière spécialisée dans les soins (ou plutôt non-soins) en fin de vie et développe une pratique connue sous le nom VSED ou Voluntary stopping eating and drinking. Ce mot pourrait se traduire par « arrêt volontaire de boire et manger ». Cette technique permet à toute personne de mourir rapidement dans les 10 jours.

     Un des articles du Daily Beast -célèbre site américain d’informations- rapporte que, les médicaments létaux étant illégaux à New York, cette femme suggère délicatement une autre alternative ; celle de faire tomber dans le coma les hommes et femmes qui parlent de leur détresse et souhaitent mourir ; ceci en les privant de nourriture et d’eau. Elle déclare que « le processus ne devrait pas prendre plus de deux semaines et n’impliquera probablement pas beaucoup de douleur » ; puis elle ajoute « c’est le genre de mort que les gens veulent ».

     Parlons-en alors ! Est-ce vraiment ce que les gens veulent ?

     Avez-vous déjà jeûné, ne serait-ce qu’une journée ? Cette sensation de faim qui tiraille les boyaux, ces nausées parfois qui montent au nez au fur et à mesure des heures, ces lèvres qui s’assèchent, cette sensation de soif désagréable, ces étourdissements parfois… imaginez-vous cela s’accentuer jour après jour. Comment peut-on dire que ce n’est pas douloureux ?

     Aucun médecin ne pourra me contredire. Un patient atteint de déshydratation commence par une soif extrême, une sécheresse de la bouche, une salive épaisse. Il se sent étourdi, faible et incapable de se tenir debout ou même de s’asseoir. Des crampes se font sentir dans les bras et les jambes par carence en sodium et potassium. Cela l’amène dans un état de détresse morale lui donnant envie de pleurer, mais aucune larme ne peut couler de ses yeux desséchés. Une terrible expérience de crampes abdominales et de nausées sont les conséquences du dessèchement des organes internes (notamment de l’estomac et des intestins). Les cellules n’étant plus hydratées, la peau laisse apparaître des gerçures, surtout au niveau des lèvres qui se craquellent et la langue gonfle. Les muqueuses se dessèchent et se fendent ; le nez se met souvent à saigner de façon intense.

     Est-ce réellement cette voie-là qui est si pacifique et « digne » (puisque ce mot est à la mode) comme elle l’entend ?

     Le confort de fin de vie n’est pas présent dans cette méthode. Il n’y a aucun soin ni aucun réconfort dans cette technique barbare. Encore faut-il d’ailleurs que la personne soit réellement en fin de vie ; car selon ce que raconte cette « infirmière » elle-même, ce sont souvent des personnes désireuses de mourir qui font appel à elle ; mais qui ne sont pas nécessairement déjà à la fin de leur vie. Ce n’est donc plus un accompagnement mais un suicide assisté.

     Comment peut-elle ne pas voir le côté humain des personnes qu’elle visite justement en commençant plutôt par écouter leur mal-être et leur détresse ? C’est bien par cela qu’il faudrait commencer par soigner : l’âme et l’esprit ! Le corps sera soulagé de ses maux de moitié. Le soignant devra ensuite travailler sur le confort du corps puis discuter d’une réelle fin de vie palliative si la question se pose toujours.