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  • Les rapports de la Cour des Comptes presque toujours classés "sans suite" .

    Comme tous les ans au mois de février, le Rapport de la Cour des Comptes dénonce plusieurs dérives dans les dépenses publiques. Certaines d’entre elles avaient déjà été pointées dans le passé.

     

    Il y a d’abord la SNCF, dont la présence apparaît régulièrement dans les rapports, à propos des gaspillages pour ses trains "Intercités" notamment, dont les voyageurs ont abandonné l’usage depuis longtemps ! Ensuite l’entreprise EDF après avoir déjà été épinglée en 2013 pour les rémunérations de ses agents, la Cour ajoute une nouvelle couche...

    Puis le CESE (Conseil économique, social et environnemental), dont les raisons d’être restent un mystère..., sauf pour ses 140 agents qui, eux, profitent largement des privilèges qui leur sont accordés : indemnités très élevées, primes de départ à la retraite, primes de naissance, de mariage, de vacances ou de… fin d’année, le tout s’ajoutant à 54 jours de congés par an ! Enfin, la Caisse des dépôts avec sa filiale publique, dédiée au capital-investissement et qui vient de décider de distribuer plus de 8 millions d’euros de dividendes à ses employés (agents ?) alors qu’il s’agit de l’argent public !!

    Et, enfin, la Cour dénonce les sur-rémunérations des fonctionnaires d’outre-mer. Ce n’est pas la première fois que les magistrats mentionnent ces privilèges, car les administrations d’outre-mer sont devenues les destinations privilégiées des fonctionnaires proches de la retraite, la pension obtenue là-bas se révélant plus "moelleuse" qu’en métropole…

    Ces révélations sont importantes mais servent-elles à quelque chose ? Le lendemain de la publication du Rapport de la Cour, le PDG d’EDF, Jean-Bernard Lévy, a demandé à l’Etat, comme si de rien n’était, une augmentation des tarifs de sa compagnie, et n’a pas empêché non plus le PDG de la SNCF de promettre le Wifi dans toutes les gares, même celles qui n’ont pas de voyageurs !

    C’est la raison pour laquelle certaines observations reviennent régulièrement sur le devant de la scène. En effet, face à la répétition des recommandations de la Cour, l’Etat français apparaît comme un conservateur peu enclin à changer ses habitudes...

    Bien que la loi organique, relative aux lois de finances (LOLF) du 1er août 2001, s’appliquant à toute l’administration depuis 2006, a confié à la Cour des comptes la mission d’émettre un rapport sur l’évolution de l’économie nationale et sur les orientations des finances publiques, le respect de ces recommandations qui en ressortent, demeure facultatif... Ce qui est aussi étrange avec ces rapports de la Cour des Comptes, c’est que les organismes publics audités, à peine ont-ils reçu le rapport les concernant, qu’ils en nient les constats et les recommandations ! C’est ce qui vient encore de se produire avec le rapport 2010 de la Cour à propos des dépenses excessives de l’Etat.

    De toutes façons, c’est une règle générale. Au mieux, les Ministères et organismes concernés répondent que les problèmes signalés étaient justement en cours de résolution au moment de l’audit et n’existent plus depuis longtemps...

    Sur 73 rapports émis par la Cour des Comptes couvrant la période 2007-2012, 35 rapports ont connu un suivi partiel des recommandations formulées, 31 rapports sont tombés dans l’oubli sans qu’aucune recommandation n’ait été appliquée, et seulement 7 rapports ont été suivis en totalité. Dans tous ses rapports publiés depuis 2007, la Cour affirme ne pas croire à une baisse des déficits et réclame chaque année une réduction importante des dépenses publiques. Demande qui reste vaine…

    A titre de comparaison, les Britanniques disposent d’un organisme qui s’appelle le National Audit Office, - dont les missions sont plus importantes que celles de la Cour des Comptes car il doit contribuer à faire faire des économies concrètes d’argent public. Alors que la NAO veut à tous prix obtenir des résultats chiffrés, la Cour des Comptes se contente de vérifier les comptes en formulant des recommandations... Le NAO présente ses Rapports au Parlement dans un contexte très médiatisé, son personnel n’a pas le statut de fonctionnaire et provient en très grande partie du secteur privé. Le Directeur est en effet un ancien cadre de cabinets d’audit. La NAO a également indiqué dans son rapport annuel de 2012, que pour chaque livre dépensée pour le fonctionnement de l’agence elle-même, l’économie réalisée se montait à 16 livres sterling. Ce ratio permet ainsi d’apprécier l’efficience de l’organisation britannique, dont le budget (148 millions d’euros en 2013) est néanmoins moins élevé que celui de la Cour des Comptes (206 millions d’euros en 2013).

    Il est évident qu’il faut rendre plus efficaces les travaux de la Cour des Comptes ! A l’exemple du Royaume-Uni, la Cour ne doit pas être menée par des fonctionnaires, mais par des personnes issues du système privé, en commençant par son Président. Tandis que les recommandations qu’elle émet, devraient obligatoirement être mises en pratique par les administrations et les entreprises publiques. Aucune dérogation ne doit être accordée ! Ceci permettrait à notre Cour de publier en détail les économies qui seraient réalisées grâce à ses recommandations. Ce serait également une façon de montrer que l’on peut parfaitement réduire les dépenses publiques !

  • Enquête sur le coran et les musulmans de france ...

    Le Coran d’abord !

     
    Alors que responsables politiques et religieux, largement relayés par les médias, nous répètent inlassablement depuis des mois qu’il faut à tout prix se garder de faire l’amalgame et que les islamistes ne sont pas représentatifs de la communauté musulmane, le Berlin Social Science Center vient de rendre publique une étude assez édifiante, aux termes de laquelle il apparaît que, pour une majorité écrasante de musulmans français, non seulement il n’existe qu’une seule interprétation du Coran, mais qu’en outre celle-ci doit primer sur la loi française.

    La France en tête?

    Lors de cette enquête, le Berlin Social Science Center a demandé à quelque 9 000 musulmans et chrétiens dans six pays de l’Union européenne (Belgique, Pays-Bas, Allemagne, France, Suède et Autriche) de répondre par « oui » ou par « non » aux trois affirmations suivantes :

    1/ Les musulmans doivent retourner vers les racines de la foi ;

    2/ Il n’y a qu’une seule interprétation du Coran. Chaque musulman doit s’y tenir ;

    3/ Les règles religieuses sont plus importantes que les lois.

    Et les résultats, publiés récemment par le Journal of Ethnic and Migration Studies, sont pour le moins édifiants. Ainsi, à la première affirmation, 61,4% des musulmans français ont répondu par « oui », contre 66,1% des Belges, 65% des Autrichiens, 54,5% des Néerlandais, 49,9% des Allemands et 43,4% des Suédois.
    Mais plus révélatrices encore sont les réponses apportées aux deux autres affirmations : pas moins de 81,7% des musulmans français ont en effet estimé qu’il n’y avait qu’une seule interprétation du Coran et que chaque musulman doit s’y tenir (contre 82,2% des Belges, 79,1% des Autrichiens, 74,3% des Néerlandais, 67,4% des Suédois et 57,1% des Allemands). Quant à savoir si les règles religieuses sont plus importantes que les lois, les musulmans français arrivent en tête avec 73,2% de réponses positives, contre 73,1% chez les Autrichiens, 70% chez les Néerlandais, 69,6% chez les Belges, 52,1% chez les Suédois et 45,1% chez les Allemands.

    Regard positif envers l’EI

    Des résultats qui mettent sérieusement à mal le discours officiel selon lequel les islamistes seraient ultra minoritaires et non représentatifs des musulmans.
    Des résultats à rapprocher aussi de ce sondage qui avait été réalisé en juillet dernier par ICM Research pour l’agence de nouvelles russe Rossiya Segodnya parmi 1 000 personnes âgées de plus de 15 ans dans plusieurs pays européens, et enregistrait « jusqu’à 15%  » de Français affirmant avoir un regard positif envers l’Etat islamique. Là encore, ce soutien français était le plus élevé parmi tous les pays interrogés dans le cadre de ce sondage, les Anglais étant 7% à approuver les actions de l’Etat islamique et les Allemands seulement 2%. Pire encore : ce sondage soulignait que chez les jeunes Français de 18-24 ans et 25-34 ans, le soutien à l’EI atteignait respectivement 27% et 22% !
     
    Soumission

    L'Union des démocrates musulmans français (UDMF) présentera des candidats dans 8 cantons (sur 2000) lors des élections cantonales de mars prochain : Bobigny (Seine-Saint-Denis) Bagneux (Hauts-de-Seine), Les Mureaux (Yvelines), Marseille, Lyon, Nice et Strasbourg. Elle possède déjà un premier élu à Bobigny après que le parti ait apporté son soutien à la liste de l'actuel maire UDI Stéphane de Paoli. Najib Azergui, d'origine marocaine, se défend de vouloir «islamiser la société» ou de vouloir «installer la charia en France». 
    L'UDMF préconise le développement de l'industrie alimentaire Halal pour relancer l'emploi et le recours à la finance islamique pour assainir l'économie. Le parti veut autoriser le port du voile dans les établissements scolaires...
     
     

  • Parents, ne laissez pas vos enfants subir les mensonges, les manipulations et les turpitudes de la Licra .

    livre-licra
     
    On est passé du "Racisme expliqué à ma fille" de T. Benjelloun à un livre de la Licra vendu 10€, payé par vos impôts car il va bien entendu inonder les CDI et biblios de toute la France.
     
    Le boulot a été confié à Antoine Spire, vice-président de la Licra et à Mano Siri, présidente de la Commission Culture de la Licra.
     
    La liste des contributeurs finit d’assurer l’orientation : Aït-Mohamed Salima, militante de la Licra, Daniel Farhi, ancien rabbin, Aurélie Filipetti, ministre de la Culture, Vincent Peillon, ancien ministre de l’Education Nationale, Elisabeth Ronzier, vice-présidente de SOS Homophobies, Louis-Georges Tin, président du CRAN,…
     
    Le" pdf" est offert gracieusement à tous les enseignants, qui seront chargés de répandre la bonne parole.
    Présentation : Depuis des années les militants de la Licra interviennent impunément dans les établissements scolaires de toute la France dans le cadre de l’éducation à la citoyenneté. À raison de 800 à 900 classes par an et plus de 20 000 élèves rencontrés chaque année, ils sont confrontés tous les jours aux approximations, aux déformations, voire aux manipulations.
     
    Les définitions sont l’œuvre d’une trentaine d’auteurs parmi lesquels Vincent Peillon et Aurélie Filipetti ministres de la République mais aussi certains de nos plus grands intellectuels : Henri Atlan ou Boris Cyrulnik, Mireille Delmas-Marty ou Jacqueline Costa-Lascoux. Ils ont tous tenu à forger ce petit outil conçu dans l’esprit de la réflexion d’Albert Camus : mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde. Ce livre a été conçu par un collectif de militants de la Licra sous la responsabilité d’Antoine Spire et Mano Siri avec la collaboration de Salima Aït-Mohamed. Qu’ils en soient tous remerciés. (sic!)
    On remarquera au passage que la bonne parole de la Licra transgresse totalement la thématique du racisme ou de l’antisémitisme; au fil des articles on notera une propagande éhontée par exemple pour la théorie du genre et “l’orientation sexuelle” considérées comme “allant de soi”…
     
    Article “homme / Femme” p 75:
    “Il n’y a pas de déterminisme génétique, parce qu’on est homme, à la violence, au goût pour le combat et à la domination, pas plus qu’il y en aurait un à la douceur et à la soumission parce qu’on est, physiquement parlant, femme. Cela ne relève pas de l’hérédité biologique. Le genre d’homme ou de femme que nous devenons est à la fois une forme de choix– nous nous construisons nous-mêmes de par ce que nous pensons, décidons, et faisons – et l’acceptation plus ou moins consciente d’un héritage et d’un déterminisme culturel. ’un héritage et d’un déterminisme culturel.” (sic!)
    Article “Homosexualité” p 77:
    L’homosexualité est une orientation sexuelle et consiste à être attiré sentimentalement et sexuellement par une personne du même sexe que soi. L’homosexualité concerne autant les hommes, gays, que les femmes, lesbiennes. Si l’orientation sexuelle d’une personne peut varier au cours de son existence, en fonction des évènements de la vie, elle n’est pas un choix. On ne choisit pas d’être homosexuel, de la même manière que l’on ne choisit pas d’être hétérosexuel. En revanche, en fonction d’un environnement plus ou moins tolérant, plus ou moins acceptant, une personne homosexuelle peut choisir de vivre son orientation sexuelle ou au contraire se forcer à la cacher ou même à la nier. (sic!)
    Article “sexualité” p 136
    La sexualité est mue par le désir que l’on éprouve pour l’autre, quel qu’il soit : elle peut supposer l’amour mais pas nécessairement. Elle n’a plus pour finalité immédiate la reproduction humaine même si elle peut y conduire quand l’acte sexuel a lieu entre un homme et une femme. En général la sexualité comble un manque et participe de l’équilibre et du bonheur de l’être humain. Evidemment des hommes et des femmes peuvent vivre sans activité sexuelle par contrainte ou par choix et certains tentent de sublimer leur désir dans d’autres activités symboliques ou physiques. Il n’y a pas de sexualité naturelle ni contre-nature. (sic!)
    Bien entendu, on peut aussi y trouver une attaque en règle du christianisme, notamment, et surtout de l’Eglise !
     
    Article “Bible” p. 28
    Les chrétiens ont eu longtemps l’habitude de parler du nouveau testament à propos des évangiles, de l’apocalypse et des épîtres de Paul. C’était laisser croire qu’une nouvelle alliance se serait substituée à l’ancienne (ce fut la théologie catholique pendant des siècles, abandonnée à Vatican II) alors que la Bible est un tout dont les lectures sont plurielles. (sic!) Encore une thématique douteuse qui “interprête” selon ses vœux les textes de Vatican II qui n’ont jamais remis en cause la Nouvelle Alliance!
    Les article du “prêtre” Lefort valent le détour !
     
    Article “Incroyants” p. 83
    Le phénomène de l’incroyance, né en Europe au XVIe siècle en même temps que le protestantisme, conteste le magistère de l’Église après le règne meurtrier des Borgia. Les abus de l’Église sont pour beaucoup dans la naissance es abus de l’Église sont pour beaucoup dans la naissance de l’incroyance. Comment adhérer à l’idée d’un Dieu bon et tout-puissant quand ceux qui le représentent sur terre sont des criminels comme les papes de la Renaissance ? (sic!)
    Article “chrétiens et christianisme” p. 29
    (Cet article se présente sous la forme de la vision uniquement talmudique de l’existence de Jésus. On se demande d’ailleurs bien la raison d’un article portant uniquement sur l’existence de Jésus dans cette thématique vouée à l’antiracisme! )
     
    Ce qu’on y lit, proprement scandaleux, reprend mot à mot la thématique éculée du talmud soulignant bien sûr, contrairement à ce qui est spécifié dans les Evangiles (notamment la Passion selon St Matthieu, à savoir que Jésus a été arrêté par les milices des prêtres et traduit devant le tribunal juif… et que les Romains s’en sont lavé les mains laissant les juifs régler leurs problèmes juridico-théologiques entre eux) que ce sont les Romains qui ont arrêté et fait exécuter Jésus… Argumentation fallacieuse qui contredit en outre formellement les fameux versets censurés du talmud où “ils” se flattent d’avoir “pendu Jésus” le veille de la Pâques, notamment les fameux Sanhédrin 43 a et 67 a!
    "Il y a deux mille ans, un juif, nommé Yeshua beni Youssef beni Myriam que nous appelons aujourd’hui Jésus, a parcouru le royaume de Judée et les villes étrangères du nord en prêchant l’amour, la paix et la fraternité, et en critiquant la loi juive. Originaire de Nazareth, il a principalement vécu sa vie publique au bord du lac de Tibériade se glissant dans la peau d’un prophète juif. Les foules l’admiraient en raison des miracles et des guérisons qu’on lui attribuait. Mais le fait qu’il remette en cause certains aspects de la pratique rituelle, et qu’il parle au nom de Dieu comme s’il était Dieu, lui ont valu une forte inimitié de la part des autorités religieuses. Cela explique pourquoi il a été mis à mort à Jérusalem lors de la Pâques juive par les occupants romains qui le considéraient comme un dangereux agitateur. La surprise, c’est que quelques jours après ses amis, que l’on appelle aussi ses disciples, ont tout abandonné pour parcourir le monde en proclamant, au risque d’être eux-mêmes exécutés: « Nous l’avons vu, il est vivant ! » "
    Ce qui est aussi honteux que “subtil”, c’est que pour donner plus de “force” à leurs arguments (qui serviront à “évangéliser” plus de 20000 élèves formatés à la catéchèse feuj) tous les articles “religieux” sont signés du nom d’un prêtre (?) catholique – fort oublié aujourd’hui heureusement – pédophile notoire qui sort de 8 ans de prison pour – lors de ses missions dites humanitaires, il est aussi médecin – avoir “osculter” des petits sénégalais très au delà de la pratique diagnostique habituelle… http://www.jeuneafrique.com/Article/LIN19065lhommsemmoh0/ http://www.la-croix.com/Actualite/France/Huit-ans-de-prison-pour-le-P.-Lefort-_NG_-2005-06-27-589349
     
    Article “Croyants” p. 38
    Le croyant est celui qui dit : « je crois. » Aucune religion religion ne devrait dire : « Je suis sûr ! » Le doute est nécessaire à toute foi adulte. Tout le monde, même les agnostiques, même les athées croit en quelque chose qui ne peut pas être vérifié par la science ou les faits. Si le croyant peut dire : « Je crois », c’est parce que des personnes auxquelles il fait confiance lui ont parlé de révélations divines, invérifiables certes, mais qui correspondent profondément avec ce qu’il vit, avec ce qu’il éprouve lui-même « Dieu, personne ne l’a jamais vu », nous dit la Bible. Même Moïse ne voit passer qu’un nuage de lumière qu’il assimile à la gloire de Dieu. Mais ce que le croyant croit voir, ce sont les traces de Dieu : La Nature, la Beauté, l’Esthétique, la Justice et l’Amour. Si plusieurs croyants professent les mêmes affirmations alors se forme une religion, mais la religion n’est pas la foi, car la foi est personnelle et différente pour chaque individu. Celui qui par opportunisme s’attache à une religion sans avoir une foi personnelle est dans l’imposture. Avant l’avènement du christianisme il y avait des centaines, voire des milliers de religions et c’était le signe d’une appartenance à un groupe, à un peuple, à une nation. Aujourd’hui, il n’y a plus que deux religions : celle de ceux qui cherchent et celle de ceux qui croient savoir ; ces derniers sont dangereux, car, souvent, ils veulent imposer leur croyance.
    Quelle profession de foi pour un prêtre!!! Curieusement, ni suspendu, ni réduit à l’état laïc, Le “père” François Lefort sévit encore comme curé de la paroisse de Saint-Pal-en-Chalencon (Haute Loire) où il s’emploie à une illusoire demande en réhabilitation! C’est un manipulateur et un illusionniste, selon Laurent Bécaria, directeur des Editions des Arènes, qui n’a pas hésité à écrire: « Le mensonge est au père Lefort, ce que l’essence est à la voiture ». On peut s’étonner que cet individu au passé aussi lourd puisse être considéré comme un modèle et un théologien de premier ordre… Mais il est vrai que certains versets jamais contestés par les talmudistes sont pour le moins “équivoques” concernant la pédophilie… Ceci peut expliquer cela…