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  • Le désastreux et inquiétant bilan économique de Macron, par le Cercle National des Économistes .

     

     

    Bilan du quinquennat MACRON: en marche vers la banqueroute ?

     

    Dans une note de synthèse sur l’audit du bilan Macron 2017-2022, le CNE [Cercle National des Économistes] pourfend sans concession les piteux résultats de celui que la presse nous a présenté comme le « Mozart de la finance » !

    En résumé, le CNE constate objectivement que le bilan macro-économique mondialiste et ultralibéral de E. Macron est déplorable, y compris hors crise sanitaire. Il agit contre les intérêts stricts de l’indépendance de la France, pire il disloque notre Nation. On comprend mieux pourquoi le candidat-président E. Macron escamote le débat contradictoire sur son bilan et n’utilise qu’une communication médiatique mensongère afin de tromper le jugement des électeurs.

    Par conséquent, le CNE exprime sa défiance envers E. Macron par un : halte au mandat présidentiel de trop !

    Avant d’examiner le programme 2022 du candidat E. Macron, le CNE a audité les résultats quantitatifs de son quinquennat 2017-2022 ; et tout particulièrement les principaux chiffres socio-économiques suivants :

    En conclusion, les Français n’ont jamais autant souffert sur le plan socio-économique depuis que E. Macron préside aux destinées du pays. Tous les voyants économiques sont au rouge. Dans le contexte futur de « stagflation » de l’occident, si les Français réélisent E. Macron pour 5 ans encore, alors la France vivra une « banqueroute » qui dissoudra définitivement notre économie nationale, notre modèle social et notre patrie, dans le magma mondialiste.

    Jean-Richard Sulzer, Président du CNE
    Bernard Monot
    Pierre Tiga
    Maxime Lion
    Florence Bernard
    Jean-Paul Tisserand
    Emmanuel Crenne
    André Posokhow

  • Macron et McKinsey, les liaisons dangereuses ...

    Présidents en eaux troubles  : après l’Ukrainagate aux Etats-Unis qui révèle une possible corruption du clan Biden avec les autorités ukrainiennes, voilà le McKinseygate qui éclabousse Macron à quelques semaines du 1er tour de l’élection présidentielle.

    Les accusations brandies contre le célèbre cabinet de conseil américain par la commission d’enquête du Sénat pour fraude fiscale ainsi que la dénonciation, par la même commission, du « rôle de plus en plus important des cabinets de conseil dans la prise de décision publique, et notamment sur des dossiers critique » font émerger les liaisons dangereuses entretenues entre Macron et McKinsey, dès la campagne présidentielle de 2017.

    Oubliées, ces relations en eaux troubles avaient pourtant fait l’objet de l’intérêt d’un média aussi politiquement correct que Le Monde en février 2021 avant d’être minorées par les journalistes serviles à la faveur d’une « pandémie » occupant tout le devant de la scène médiatique.

    Le 5 février 2021, Le Monde publiait un article intitulé De la création d’En marche ! à la campagne de vaccination, McKinsey, un cabinet dans les pas de Macron, dans lequel on apprenait que le programme de Macron en 2017 avait été écrit « gratuitement » par vingt salariés de McKinsey ! ...

    Cette longue enquête affirmait qu’« en 2017, deux jours avant le second tour de la présidentielle, des hackeurs […] mettent en ligne des milliers d’e-mails internes de l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron. On y identifie une vingtaine de salariés du cabinet très actifs. Des « partners » (« associés ») aguerris comme des « juniors » enthousiastes. Pour écrire le programme du candidat comme pour gérer l’intendance. Car, entre McKinsey et la Macronie, l’histoire a commencé dès 2007 » lorsque jeune énarque, inspecteur des finances de 29 ans, il devient rapporteur général adjoint de la commission Attali, et est remarqué précise Le Monde par « Eric Labaye, alors dirigeant de McKinsey en France, et Pierre Nanterme, son homologue d’Accenture ». Au sein de cette commission se trouvent « trois ou quatre jeunes de McKinsey » dont Karim Tadjeddine, 32 ans, polytechnicien, que l’on retrouve au moment de la création d’En Marche !.

    Plus loin, le journal du soir écrit :

    « En 2010, le banquier Macron et le consultant Tadjeddine entrent ensemble au conseil d’administration du think tank En Temps réel. […] En 2016, l’inspecteur des finances Cazenave devient directeur adjoint de cabinet du ministre Macron. Il codirige aussi un livre collectif sur l’administration moderne, L’Etat en mode start-up (Eyrolles, 2016). Macron signe la préface et Tadjeddine, le chapitre sur les réformes menées à l’étranger. »

    « Où s’arrête la complicité intellectuelle, où commence l’entre-soi ? » s’interroge Le Monde.

    Car, continue de dévoiler l’article :

    « Elu président, Emmanuel Macron engage sa réforme de l’Etat. Il crée une direction interministérielle à la transformation publique (DITP) et place à sa tête Thomas Cazenave. Grand manitou de la réforme, il supervise toutes les missions commandées par l’Etat aux cabinets de conseil privés. Karim Tadjeddine se trouve être codirecteur de la « practice (le département) Secteur public » de McKinsey, chargée justement des missions pour l’Etat et prestataire, parmi d’autres, de la DITP. »

    D’autres jeunes de McKinsey rencontrés au sein de la commission resteront en contact avec Emmanuel Macron dont Guillaume Liegey qui définit les caractéristiques du « parti politique du futur » : il « devra oublier l’idéologie et se concentrer sur des projets concrets, une offre répondant à la demande des électeurs ». « La gauche caviar est morte, voici venue la gauche McKinsey » ironise Le Monde qui continue en retraçant la genèse de LREM, le parti de Macron :

    « En avril 2016, Emmanuel Macron crée En marche ! Le parti joue sur la « disruption », comme on dit chez les consultants. Officiellement, son programme sera ainsi établi à l’issue d’une « grande marche », du porte-à-porte à travers la France pour recueillir les doléances et les désirs sur une application. LMP, la société de l’ex-McKinsey Guillaume Liegey, est chargée de collecter et de traiter ces data et ces verbatim. « Des gens de McKinsey ont ensuite mis en forme le rapport de la “grande marche” », confie un acteur de l’opération. Les « MacronLeaks » révèlent effectivement que, début septembre 2016, le stratège du parti, Ismaël Emelien, transmet les résultats du porte-à-porte à deux cadres du cabinet de conseil, Karim Tadjeddine et Eric Hazan, un collègue chargé du secteur du numérique à McKinsey. »

    Des membres du McKinsey, on en trouve à la pelle pendant la campagne d’Emmanuel Macron. Il « n’a pas encore annoncé sa candidature, peut-on lire dans les colonnes du Monde, mais, à l’été 2016, des groupes de travail sont déjà constitués pour élaborer son programme. On y croise Thomas Cazenave, mais aussi une dizaine de salariés de McKinsey. Ils planchent sur l’économie comme sur les dossiers régaliens. Chez McKinsey, Guillaume de Ranieri dirige la « practice » chargée de la défense et du secteur aérospatial. Il rejoint le groupe de travail concerné. (…) ».

    « McKinsey ne souhaite pas nous préciser si ses collaborateurs se sont engagés à titre personnel, bénévolement et sur leur temps libre » souligne Le Monde qui ajoute :

    « Nous n’avons en tout cas trouvé aucune trace de « la Firme » dans les factures de la campagne, déposées à la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP). A La République en marche (LRM), la direction de la communication nous assure que le parti lui-même ne fait pas appel à des cabinets de conseil en stratégie : « Ni pour des missions facturées, car nous n’en avons pas les moyens, ni pour des missions “pro bono”, car ce serait considéré comme un don d’une personne morale à un parti politique et c’est interdit par la loi. » »

    Le « don » de leur temps des jeunes consultants de McKinsey à Macron leur permet, après la victoire de leur champion de « sauter le pas » pour être embauchés dans les cabinets ministériels !

    Le manque de transparence « sur la nature précise des missions comme sur leurs prix » dans le recours à ce cabinet de conseil n’en est que plus accru de même que « l’entre soi » « illustré, déclare le journal du soir, par la proximité entre le premier patron de la DITP, Thomas Cazenave, et son interlocuteur chez McKinsey, Karim Tadjeddine ».  

    Déjà en 2021, Le Monde s’était interrogé sur le règlement des impôts en France par McKinsey :

    « « Lors de la candidature au marché, cette société a fourni les attestations prouvant qu’elle est en règle avec l’administration fiscale française », et les missions pour l’Etat sont dûment facturées à Paris, nous assure pourtant le cabinet d’Amélie de Montchalin. » Il n’y a pas qu’à McKinsey devant la commission du Sénat que le mensonge est roi.

    Pour conclure, si « l’Elysée semble résister aux consultants privés […] en réalité, McKinsey rend quelques services à la présidence de la République. »

    Et avec une contrepartie officieuse : les fameux sommets organisés par Macron, entre autres, avec « grands patrons de la « tech […] sont en partie sous-traités à McKinsey ». Ainsi que la campagne vaccinale, la réduction des APL, la réforme des retraites, etc., etc. Pour un milliard d’euros sous le quinquennat Macron.

    Les liaisons dangereuses entre Macron et McKinsey rapportent au cabinet mais pourraient plomber le prétendant à un deuxième quinquennat. A l’aide McKinsey, il faut sauver le candidat Macron !

    Francesca de Villasmundo

     

  • Macron vient de couler Renault avec ses sanctions imbéciles !

     

    ……………………………Renault Arkana, un SUV Coupé pour la Russie

    Quelles qu’en soient les raisons !

    Renault se voit privé de son deuxième marché !
    2 ou 3 milliards d’investissements vont partir en fumée… et que récupèreront les Russes ! 
    Belle opération !!! Le travail de Carlos Ghosn est littéralement démoli… comme celui de son remplaçant !

     

    Renault quitte la Russie : chronique d’un départ en catastrophe

    Poussé par Macron dans ses retranchements, Renault a fini par céder en annonçant mercredi soir la suspension de ses activités en Russie et la possibilité de se désengager du constructeur russe Avtovaz. Un scénario inimaginable il y a encore un mois et qui se solde par une perte financière colossale. Récit d’un mois où tout a basculé.

    C’est jour de fête à Boulogne-Billancourt ce 18 février. Luca de Meo, le directeur général du groupe Renault, s’apprête à annoncer à la presse et à l’ensemble de la communauté financière des comptes de résultats miraculeusement bons dans un contexte pourtant défavorable avec la pénurie de semi-conducteurs, la hausse des prix des  matières premières, ou encore la baisse des marchés. Tous les voyants sont au vert : cash flow, profit opérationnel, résultat net…

    Tout semble sourire à ce nouveau Renault que l’Italien, arrivé en juillet 2020, est parvenu à remettre sur les rails en un temps record. Le groupe automobile français est même prêt à enclencher une nouvelle étape dans son plan de reconquête : l’international. Dans les couloirs du siège, on prépare le lancement imminent de trois nouveaux modèles en… Russie. Ces modèles sont fin prêts, et certains cadres préviennent les journalistes de l’imminence d’une grande opération de lancement à Moscou même.

    Inimaginable…
    Renault est à des années-lumières d’imaginer qu’une semaine plus tard, le président russe enverrait ses troupes en Ukraine…

    C’est tout juste si Luca de Meo est interrogé sur les conséquences d’un embargo sur la production russe. Il assure alors que la forte localisation des approvisionnements des usines de Renault, à plus de 90% explique-t-il, protègera les activités russes. Sauf que la crise du Covid a montré qu’il suffisait qu’une seule pièce manque pour paralyser pendant plusieurs semaines une usine.

    A ce moment de l’Histoire, personne chez Renault (comme ailleurs puisque le monde entier a été surpris par la tournure géopolitique des événements en Ukraine) n’envisage le pire. D’autant que la Russie représente des enjeux industriels colossaux pour le groupe français. C’est d’abord le rachat d’Avtovaz, le fabricant des célèbres Lada, dans lequel le groupe détient 63% du capital.

    Depuis dix ans, plusieurs milliards d’euros ont été injectés dans la modernisation des usines, puis la refondation d’une nouvelle gamme… Renault a commencé à tirer les premiers fruits de ses investissements avec un premier exercice profitable en 2021.

    Le groupe s’attendait à ce que la Russie, son deuxième marché mondial en volume, monte désormais en puissance dans la contribution aux profits du groupe. Avec la nouvelle gamme que Renault s’apprêtait à lancer, Luca de Meo voulait appliquer sa nouvelle formule visant à privilégier la création de valeur, c’est-à-dire augmenter la profitabilité unitaire par rapport à une stratégie de volumes. Pour Renault, le levier était alors perçu comme immense.

    Un déni ?
    Puis la guerre survint, et son cortège de sanctions internationales mais qui semblent préserver, sur le papier du moins, la légalité des opérations de Renault en Russie. « Nous resterons toujours en conformité avec les sanctions », a toujours expliqué Renault. Même le scénario d’une nationalisation russe n’est pas pris au sérieux : le pays de Vladimir Poutine ne serait pas capable de poursuivre les opérations industrielles, veut-on croire à Boulogne-Billancourt.

     

    Pertes et profits
    Un conseil d’administration réuni dans la soirée de ce mercredi 23 mars, a acté la fin de l’aventure russe. Et de préciser qu’il « évalue les options possibles concernant sa participation dans Avtovaz ». Autrement dit, Renault prépare son retrait de Russie, et passe ses lourds investissements autant en cash qu’en ressources humaines (ingénieurs, transferts technologiques…) par pertes et profits.

    Le préjudice s’élève à plusieurs milliards d’euros, trois milliards si l’on en croit la valeur comptable inscrite dans les comptes de 2021. Bien plus si on projette les profits prévus sur les dix prochaines années, additionnés aux investissements des dix années précédentes. Colossal !

    Au passage, Renault abandonne son objectif d’une génération de trésorerie d’un milliard d’euros cette année, et baisse d’un point son objectif de marge opérationnelle (3%). Une annonce qui ne devrait pas stopper la chute du titre qui a déjà perdu 21% en Bourse depuis un mois…

     

    Quoiqu’ils pensent de leur embargo, comme suite à celui de 2014, la Russie en ressortira gagnante !

    Les Européens, dont les Français, seront les grandes perdants !