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Scandaleuse mise en examen de Jean-Pierre Maugendre à la suite d’une plainte de SOS Homophobie .

 

 

Je viens d’apprendre que, à la suite d’une plainte déposée par l’association Stop Homophobie, Jean-Pierre Maugendre a été mis en examen, comme directeur de publication du site internet Renaissance catholique, par le juge d’instruction pour « provocation à la discrimination à l’égard d’un groupe de personnes à raison de leur orientation sexuelle ».

Le lobby LGBT Stop Homophobie, grassement subsidié, reproche à Renaissance catholique d’avoir publié sur son site, le 13 juin 2019, un article intitulé : L’Eglise du Dieu vivant : la colonne et l’appui de la vérité (1 Tim 3 ,15) tenant « notamment les propos suivants » : « Les autorités civiles ne doivent pas établir d’unions civiles ou légales entre deux personnes du même sexe, qui clairement imitent l´union du mariage, même si de telles unions ne reçoivent pas le nom de mariage, puisque de telles unions encourageraient le péché grave pour les personnes concernées et seraient cause d´un grave scandale pour d´autres (cf. Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Considérations à propos des projets de reconnaissance juridique des unions entre personnes homosexuelles, 3 juin 2003) ».

Jean-Pierre Maugendre fait remarquer que le texte incriminé était signé des cardinaux Burke, patron de l’Ordre de Malte, Pujats, archevêque émérite de Riga, et des évêques Peta, archevêque de Sainte-Marie en Astana, Lenga, archevêque émérite de Karaganda et Schneider évêque auxiliaire de Sainte-Marie en Astana.

Par l’intermédiaire de cette mise en examen, le lobby LGBT tente une fois de plus de priver l’Eglise catholique, son clergé et ses fidèles de leur liberté de proclamer l’enseignement moral catholique, à la lumière de l’Evangile.

Pas un mois ne passe sans qu’une police de la pensée ne vienne tenter de museler ceux qui refusent d’assister sans broncher à l’effondrement de notre pays et de notre civilisation.

Ici comme dans d’autres affaires sur lesquelles Civitas s’est déjà exprimé, il convient de répéter que, quelles que soient les différences qui nous séparent sur certains points, nous tenons à exprimer notre soutien à tous ceux qui sont victimes de cette répression.

Cette mise en examen est inique et scandaleuse. Elle témoigne de l’état de délabrement moral de cette société et de ses gouvernants.

Alain Escada, président de Civitas

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