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  • Le nouveau plaidoyer du FMI pour l’immigration de grand remplacement !



     

    Le Fonds Monétaire International (FMI) a publié une étude sur l’effet macroéconomique des migrations internationales qui est naturellement un nouveau plaidoyer mondialiste pour intensifier l’immigration de grand remplacement vers le continent européen.

    L’étude du FMI prétend faire un exercice de projection des flux migratoires d’ici 2050 et affirme sans rire qu’une hausse massive de l’immigration vers l’Europe serait une opportunité économique !

    Pour la Haute Finance apatride probablement, mais pour les Européens de souche ! L’étude du FMI l’avoue d’ailleurs en termes choisis : toute la population “native” ne tirerait pas le même avantage de ce coup de pouce économique, certaines tranches risquant de se retrouver en concurrence avec les nouveaux arrivés et de voir leur situation menacée. Comme c’est joliment dit !...

    L’étude du FMI rejoint d’autres publications de l’ONU faisant elles-aussi, depuis de nombreuses années, l’apologie d’un grand remplacement de population sur le continent européen. En l’occurrence, le FMI estime que l’Europe et l’Asie centrale devraient accueillir 24 millions d’immigrés supplémentaires en provenance de l’Afrique subsaharienne d’ici 2050.

    Sans surprise, l’étude du très mondialiste FMI proclame qu’a contrario, les mesures de contrôles et restrictions de l’immigration auraient tendance à être contre-productives du point de vue économique. Pour les exploiteurs de main d’œuvre payée au rabais, sans doute...

     

  • La France en 2019: toujours moins de naissances, mais record de naissances d’origine étrangère surtout musulmane !

     

    Les années se suivent et se ressemblent, malheureusement, du point de vue démographique. Une fois de plus, et pour la 9e année consécutive, le nombre de naissances vivantes a diminué en France métropolitaine pour atteindre son 3e plus bas niveau depuis 1945, à savoir 714 029 naissances vivantes. En 2010, date à laquelle a commencé cette baisse, il y en a eu 802 224.

    Pour la deuxième fois depuis la 1e guerre mondiale, le nombre de bébés nés en France métropolitaine ayant deux parents nés en France est tombé sous les 500 000. Après 493 912 en 2018, il n’y en a eu que 485 452 en 2019, soit 68% à peine de toutes les naissances.

    En comptant les naissances vivantes dans les 5 régions d’Outre-Mer (Guadeloupe, Guyane, Martinique, Mayotte et Réunion), il n’y a eu que 507 928 naissances de bébés ayant deux parents nés en France, soit 67,4% seulement des 753 383 naissances enregistrées en tout. En l’an 2000, il y en avait 626 821 sur 807 405, soit 77,6%.

    L’indice de fécondité s’est établi à 1,84 en France métropolitaine en 2019 (comme en 2018) et à 1,87 en France métropolitaine et régions d’outre-mer.

    Il y a d’énormes variations départementales.  Mayotte a un indice conjoncturel de fécondité (4,68) supérieure à la moyenne estimée de l’Afrique (4,3 en 2019), la Guyane 3,63, la Réunion 2,39, la Seine Saint-Denis et le Val d’oise 2,27 (ces deux départements ont une importante population immigrée ou d’origine immigrée), 2,11 pour l’Essonne, 2,07 pour les Yvelines.

    Il y a heureusement des départements gardant une importante population catholique qui ont une fécondité au dessus de la moyenne française et renouvellent presque leur génération: par exemple le Vaucluse avec 2,07 enfants par femme, la Mayenne (2,03), dans une moindre mesure la Sarthe (1,96), le Maine-et-Loire (1,91), le Pas-de-Calais (1,90), la Manche (1,89), le Nord (1,87), le Morbihan (1,86), les Deux-Sèvres (1,85). La Corse-du-sud (1,44 enfant par femme) et la Haute-Corse (1,40) ont été les départements les moins féconds de France en 2019.

    Que fait le gouvernement pour relancer la fécondité? Rien.

    Au contraire, il aggrave encore l’accès à l’avortement pendant le confinement et ne s’oppose pas à une tentative d’un groupe d’extrême gauche du Parlement d’aggraver la “loi” Veil (déjà mauvaise en elle-même) une fois de plus en faisant passer le délai de 12 à 14 semaines de grossesse. Gravement immoral et suicidaire politiquement. Prions pour que cette aggravation soit rejetée par le Sénat puis par l’Assemblée nationale en 2e lecture.

     

    Gontran Paume

    Sources des données brutes:

    Tableau T37 ter: https://www.insee.fr/fr/statistiques/4647540?sommaire=4647557

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/2012734

  • Avortement jusqu’à 14 semaines de la grossesse: Les députés ont voté majoritairement en faveur de cet horrible infanticide !

     

     

    Par une majorité de 102 députés sur 178 présents, l’Assemblée Nationale a voté ce jeudi pour autoriser l’avortement jusqu’à 14 semaines de grossesse.

     

    Il suffit pourtant de voir les images d'un enfant présent dans le ventre de sa mère à 14 semaines de grossesse pour comprendre qu’un tel avortement n’est rien d’autre qu’un infanticide mais ces députés qui n' ont plus rien d' humain ont voté pour !

     


    On notera que même parmi les députés qui ont voté contre cette proposition de loi, la plupart n’ont absolument pas l’esprit clair. A l’exemple de Nicolas Dupont-Aignan qui s’est senti obligé d’affirmer que l’IVG est un droit fondamental auquel il est attaché. Aucun des députés ayant voté contre cette proposition de loi n’a remis en question le “droit” à l’avortement !!