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Côtes d’Armor : L’extrême-gauche porte plainte pour obtenir la destruction d’un calvaire restauré par des bénévoles .

 
 
 
 
 
 

 Le foyer de pestilence trotskiste continue de répandre des remugles en Bretagne.

Actu.fr (source) :

Quelle n’a pas été la surprise des habitants de Plorec-sur-Arguenon (Près de Dinan dans les Côtes d’Armor), lors de la cérémonie des vœux, d’entendre le maire révéler un souci auquel la commune devait faire face.
« Une action en justice a été intentée, à l’initiative d’un habitant de Plorec, demandant la démolition du calvaire de la Cour, récemment restauré par l’association pour le patrimoine religieux, présidé par Pierre Allory. Le tribunal administratif de Rennes devrait statuer dans le courant du premier semestre 2020.»
Cette affaire n’est pas sans rappeler celle de Brusvily : une statue à caractère religieux devait être installée sur le parvis de l’église. Or, celui-ci relève du domaine public. La statue a donc été installée dans un jardin privé.
Dans le cas présent, le calvaire est en place depuis des lustres. Des membres bénévoles de l’association ont décidé de le rénover. C’est ainsi que l’emplacement a été embelli.
Le calvaire est cependant situé sur un terrain appartenant au département et cela semble poser problème à une personne faisant partie de la Libre-pensée.

Sous la houlette du juif polonais Pierrick dit « Le Guennec », la Libre Pensée, faux-nez associatif du courant marxiste fondé par le juif russe Boussel-Grinberg, menace le patrimoine spirituel breton.

 

Le juif de Pologne Pierrick dit « Le Guennec » n’aime pas la religion des Bretons

Les nostalgiques des égorgeurs de 1793, même cacochymes comme ceux de la Libre Pensée, consacrent leurs derniers jours de semi-lucidité à semer la haine et l’anarchie dans de paisibles villages bretons, entraînant les plus grands tracas pour des maires déjà accablés de contraintes.

Pour le peuple, c’est encore pire puisqu’on le trouble dans sa quiétude.

Il s’agit, encore et toujours, de la même bande de brigands rouges : celle des compagnons de route communistes de Françoise Morvan, épave hystérique qu’on ne présente plus en Bretagne.

C’est à ce quarteron sectaire affilié au marxisme lambertiste que nous devons le changement de nom de la rue Youenn Drezen à Pont l’Abbé (lire ici), là encore sous l’action d’un agitateur très clairement identifié sur lequel les réseaux nationalistes travaillent en ce moment même.

 

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