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  • Ignoble et scandaleux blasphème contre le Christ sur France Inter !

     

    Un ignoble blasphème public a été commis contre Notre-Seigneur Jésus-Christ et ne peut rester sans réaction.

    Le vendredi 10 janvier, sur les ondes de la radio France Inter, une « chanson » ordurière intitulée « Jésus est pédé » a été diffusée, entonnée par le soi-disant « humoriste » Frédéric Fromet.

    Pour que chacun mesure la gravité du blasphème, voici quelques extraits de ce qui a été diffusé par une radio du service public.

    « Jésus est pédé, membre de la LGBT… du haut de la croix pourquoi ne pas l’avoir encu** »
    « Jésus de Nazareth était en vérité, Jésus du quartier du Marais ».
    « Jésus est pédé, il n’y a pas que l’hostie qu’il faut sucer ».
    « Cette manif’ qu’on appelle la cène fut la première gay pride »
    « Jésus est pédé, chante Boutin et de Villiers »
    « Jésus est pédé, à tous les homophobes » – comprendre à “tous les chrétiens”.

    Ce « chanteur-humoriste » Frédéric Fromet n’en est pas à sa première provocation foncièrement antichrétienne. Il s’était déjà illustré sur cette même radio France Inter en chantant “elle a cramé la cathédrale” – aux paroles également ignobles – quelques jours seulement après l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris.

    Le blasphème public diffusé par France Inter vendredi dernier a entraîné l’hilarité des animateurs présents sur le plateau radio.

    Il est bien évident qu’il serait inconcevable que France Inter diffuse une chanson qui se moquerait de façon équivalente du judaïsme ou de l’islam. Sous couvert d’humour, c’est le christianisme qu’ils haïssent publiquement.

    CIVITAS appelle tous les catholiques à réagir massivement. Non pas par une pétition mais en protestant directement à France Inter. Nous devons exiger des excuses publiques et des sanctions à l’égard des responsables récidivistes d’actes antichrétiens.

    Par mail : presidence@radiofrance.com
    Par téléphone : 01.45.24.70.00 / 01.56.40.22.22
    Par courrier postal : Maison de la Radio – France Inter, 116 avenue du Président Kennedy, 75220 Paris Cedex 16

    Notre silence serait impardonnable. L’antichristianisme qui sévit en ce moment ne se résume ni à des paroles ni à des dessins immondes. Il se traduit aussi, en France, par de très nombreuses profanations de lieux de culte et même  des incendies de lieux de culte.

    Cela doit cesser !

     

    Mais voici que Laurence Bloch, la présidente de France-Inter, radio financée avec l’argent de tous, se pâme aujourd’hui de sa finaude trouvaille : elle a adressé des excuses à la gent LGBT et non aux chrétiens pour la profération sur la radio de l’ignominie « Jésus est pédé » par le misérable Fromet.

    Mais pour mieux se couvrir, elle a pitoyablement suivi l’argument de la donzelle Charline Vanhoenacker, chouchou du bobarland radiophonique se portant avec  des accents grotesques d’autohéroïsation au secours de son petit camarade Frédéric Fromet.

    Au nom de la défense du grand principe intouchable de la « liberté d’expression » et d’une sublime fidélité véritablement d’ordre religieux à la grandeur sacrée de « l’esprit Charlie ». L’indécence de pareille argumentation, au demeurant d’un pitoyable conformisme, est à faire « hennir des constellations », comme aurait dit le grand Léon Bloy.

    Comme si le prix du sang de leurs collègues assassinés par les islamistes frères Kouachi octroyait à leurs continuateurs et à ceux du même acabit dans leur dérision et l’abjection scatologique d’être dans un statut d’intouchables de la République.

    Nous, nous ne nous prosternons pas  à l’invocation du soi-disant « esprit Charlie ». Nous, défendons fermement la liberté d’expression et notamment celle de pouvoir dire que Charlie ne mérite aucun respect.

    Aucun respect quand on s’y efforce de défigurer le visage du Christ dans un sommet d’obscénités blasphématoires.

    Nous disons, nous, que Charlie, subventionné aussi, n’est qu’une misérable, longue et terne continuité d’expression scatologique, de maladive et dégoulinante obsession d’excrémentation.

     Rien à voir avec la géniale santé paillarde de notre bon François Rabelais. Ce dernier n’eut certainement pas trouvé des qualités torcheculatives à ce torchon défécatoire ! ...