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  • un TGV "arc-en-ciel" !

     

     

    A l’occasion du 50e anniversaire de la révolte gay de Stonewall à New-York et du mois des immondes GayPride, le TGV se pare des couleurs arc-en-ciel. Les premier et dernier wagons ont été peints des couleurs symboles du mouvement Lgbt agrémenté du slogan :

    « Stonewall, 50 de fiertés Lgbt+ ».

    Derrière cette initiative il y a GARE, l’association des personnes Lgbt du groupe ferroviaire SNCF.

    L’idéologie gay court toujours plus vite et tous les moyens, même le train à grande vitesse, sont bons pour diffuser le credo lgbt+ ! Avec nos impôts, bien entendu…

    Francesca de Villasmundo

     

  • Chasse aux Eglises à Jérusalem .

     

    Nous avons déjà largement évoqué l’imposture sioniste qui, pour « légitimer » la supposée continuité historique d’une présence et d’une souveraineté juive, instrumentalise et déforme l’histoire de la vieille ville de Jérusalem qui, depuis au moins quinze siècles n’a plus rien de proprement juive…

    Au point que les fameux quartiers juifs (dont l’emblématique mea sharim) ont été construits à partir des années 1870 sur des terrains alors achetés « hors les murs » par des ashkénazes russes proches de Hertzl…

    Au point que, pour gommer les repères historiques, certains petits malins songent très sérieusement aujourd’hui à détruire la muraille d’enceinte de Soliman !

    https://infos-israel.news/est-il-temps-de-detruire-les-murs-de-la-vieille-ville-de-jerusalem-le-conseiller-municipal-arieh-king-a-fait-la-demande/

    Depuis l’envahissement consécutif à la guerre des 6 jours, la lâcheté internationale a permis à l’état d’Israël d’entamer, et aujourd’hui de poursuivre, en toute illégalité en regard du droit international, la colonisation de la Judée-Samarie et de la ville ancienne de Jérusalem qui n’appartiennent pas au pays…

    Dans la vieille ville, se poursuit le grignotage des antiques quartiers chrétiens et musulmans par les activistes sionistes et les promoteurs immobiliers (en Israël le pognon ne perd pas ses droits !).

    Les premiers quartiers visés sont évidemment les quartiers arméniens et orthodoxes (grecs) qui représentaient 70% de la superficie intramuros.

    Les cartes sont explicites !

    https://www.medias-presse.info/destruction-de-la-jerusalem-historique/103254/

    Depuis quelques années les autorités israéliennes se sont faites complices des spéculateurs qui cherchent à mettre la main sur les très importants patrimoines immobiliers des communautés religieuses…

    Cela, nous l’avons déjà souligné à propos d’une expulsion de moines coptes éthiopiens (guèzes) : la communauté chrétienne la moins importante et la moins médiatisée, donc la plus vulnérable.

    https://www.medias-presse.info/israel-rempart-de-la-chretiente-desormais-la-police-du-regime-chasse-les-religieux-chretiens-a-jerusalem/99885/

    Mais depuis déjà plus de dix ans une affaire judiciaire oppose le patriarcat grec (le plus gros propriétaire occupant de la vieille ville de Jérusalem) et le groupe activiste Ateret Cohanim qui, à travers des sociétés écran, cherche à récupérer les terrains du patriarcat et à s’opposer au renouvellement des baux emphytéotiques de 99 ans, souscrits au temps de la Palestine sous mandat britannique…

    https://fr.timesofisrael.com/baux-dans-la-vieille-ville-la-cour-supreme-statue-en-faveur-dateret-cohanim/

    Baux dans la Vieille Ville : la Cour suprême statue en faveur d’Ateret Cohanim

    Le jugement met fin à une bataille de 14 ans entre l’Eglise grecque-orthodoxe et un groupe pro-implantation, l’archevêque dénonce une décision “illégale et illégitime”

    « L’achat par Ateret Cohanim de baux emphytéotiques – renouvelables pour 99 années supplémentaires – via trois sociétés-écrans avait été contesté par l’Église, qui avait clamé que les accords avaient été ratifiés par un responsable qui s’était livré à des actes de corruption et qui n’avait pas été autorisé à conclure ces ventes. »

    [Soyons clairs : le signataire du patriarcat a été soudoyé !…

    L’archevêque Iranaios titulaire et responsable du patriarcat au début des années 2000 – destitué et rétrogradé depuis à cause de ce scandale – a souligné alors : « l’ancien directeur des finances, Nikolas Papadimos, avait utilisé une procuration qui lui avait été confiée dans d’autres dossiers pour finaliser les baux sans que lui-même en ait été averti. » L’intéressé, curieusement, a depuis disparu d’Israël…]

    /…

    « Dans un communiqué, l’archevêque grec-orthodoxe palestinien Atallah Hanna a qualifié la décision prise par la Cour suprême « d’illégale et illégitime ».

    « La saisie des propriétés historiques de la porte de Jaffa par des organisations extrémistes est une nouvelle catastrophe qui s’ajoute aux catastrophes et aux revers subis par la présence chrétienne dans cette Ville sainte », a-t-il déclaré, appelant à mener des actions pacifiques pour faire annuler cette acquisition.

    /…

    Ateret Cohanim tente de peupler la Vieille Ville et les quartiers de Jérusalem-Est de résidents juifs en achetant des biens immobiliers à leurs propriétaires non juifs, souvent par le biais de sociétés-écrans.

    Selon des documents du tribunal, trois sociétés-écrans – Berisford Investments Limited, Richards Marketing Corporation et la Gallow Global Limited – avaient signé des accords en 2004 avec l’Église concernant l’acquisition de trois baux de 99 ans : le premier pour l’hôtel Imperial, à hauteur de 1 million d’euros ; le deuxième pour l’hôtel Petra, d’un montant de 450 000 euros, et le troisième conclu pour un immeuble situé également dans la Vieille Ville, la Maison Muzamiya, au prix de 50 000 euros.

    Les deux hôtels – le New Imperial et le Petra – sont situés entre la porte de Jaffa et l’entrée du marché arabe. »

    « Ce jugement représente une victoire immense pour Ateret Cohanim.

    Toutefois, sa signification pratique reste peu claire, parce que les familles qui dirigent les deux hôtels – les familles Dajani au New Imperial et Kiresh au Petra — bénéficient d’un statut de locataire protégé, ancré dans une loi de l’ère ottomane, qui gère les locations de biens immobiliers pour éviter les évictions arbitraires. Le statut des personnes qui vivent dans l’immeuble résidentiel – privé – est indéterminé.

    Le statut de locataire protégé – qui se transmet sur trois générations en continuation de la lignée masculine – avait été aboli après la conquête israélienne de Jérusalem-Est, au cours de la guerre des Six Jours. Mais il s’applique encore techniquement si le statut a été octroyé avant 1968.

    Les locataires protégés peuvent être expulsés de leurs habitations après trois générations ou avant – si les tribunaux israéliens peuvent être convaincus que le statut a été perdu par des activités telles que la sous-location.

    Des organisations, dont Ateret Cohanim, ont tenté et continuent d’essayer de faire expulser un certain nombre de locataires protégés à Jérusalem-Est, et notamment dans la Vieille Ville.

    Dans son jugement, Yitzhak Amit, magistrat à la Cour suprême, a indiqué que malgré les affirmations de l’Église disant que l’accord ressemblait à « une sorte de film de Hollywood au centre duquel se trouvent intrigues, pots-de-vin et accords douteux », le patriarcat n’était pas parvenu à présenter des preuves suffisantes montrant que la transaction avait été entachée de fraude. »

    En un mot, c’est la plus grande offensive jamais menée avec succès par les Israéliens contre le patrimoine légal des différentes Eglises.

    Ce qui ne pourrait être qu’un début visant l’ensemble de leur patrimoine immobilier…

    Pour les sionistes, cela ne concernera dans un premier temps, ni les lieux de culte ni les bâtiments conventuels afin de « tranquilliser » les chrétiens sionistes et de s’assurer de leur indéfectible attachement…

    Quand ces idiots utiles comprendront, il sera trop tard : coupé de ses infrastructures locales, le christianisme originel, dans ses diverses obédiences historiques, sera balayé et interdit dans l’état juif au nom de « l’état-nation » que Netanyahu veut à toutes forces faire proclamer.

    A terme, le Saint Sépulcre et les autres Lieux Saints seront démolis, comme les mosquées de l’esplanade…

    Ce qui pourrait arriver beaucoup plus vite qu’on ne croit si personne, comme d’habitude, ne réagit de façon contraignante…

    Car il est bon de s’informer sur le personnage d’Yitzhak Amit, juge à la Cour Suprême depuis 2009.

    C’est un juif orthodoxe supposé « modéré » mais qui s’est déjà signalé par son intransigeance sioniste et son militantisme conquérant…

    C’est ainsi qu’il s’est clairement prononcé pour la destruction immédiate des villages palestiniens ou bédouins qualifiés d’illégaux, alors qu’il affecte la plus grande des complaisances vis-à-vis des colonies juives illégales de Judée et de Samarie qui sont normalement également vouées à la destruction…

    https://www.irishtimes.com/news/world/middle-east/bedouin-village-in-west-bank-to-be-razed-israeli-court-rules-1.3619435

    Aujourd’hui il appuie les activistes d’Ateret Cohanim !

    En 2024, il devrait – par le jeu de l’avancement consécutif aux mises à la retraite (70 ans) des juges – devenir le prochain « Juge en Chef » (président) de la Cour Suprême en remplacement d’Esther Hayot…

    Pour la chrétienté comme pour les Lieux Saints, cela promet !

    Claude Timmerman

  • De moins en moins de contribuables paieront de plus en plus d’impôts !

     Edouard Philippe a expliqué que la baisse de l’impôt sur le revenu annoncé par le président de la République, en avril dernier, se concentrera sur « les classes moyennes qui travaillent ».Cette baisse, selon lui, fera gagner en moyenne 350 euros aux contribuables de la première tranche d’imposition, dont un bon nombre basculera sans doute alors dans la zone non imposable qui représente déjà 57% des foyers. Et il promet un avantage de 180 € pour chacun des 5 millions de foyers de la tranche suivante. Le fossé se creusera donc encore entre ceux qui supportent la plus grande partie du fardeau et les autres. 10% des contribuables payent déjà aujourd’hui 70% de l’impôt sur le revenu. Ils en paieront demain 75%, ce qui est totalement discriminatoire et démotivant.

    À l’inverse, la suppression de la taxe d’habitation pour tous fera bien disparaître une discrimination à l’égard de 20 % des Français. Mais comment assumer le coût de cette mesure, de l’ordre de 10 milliards ? Pour financer ces réformes, Edouard Philippe évoque la réduction de certaines niches fiscales : c’est un coup de rabot plus qu’une transformation d’ensemble de notre système fiscal ! Un système mité de partout et qui mériterait, tant en matière de revenus que de bénéfices des sociétés et de TVA, d’être repensé dans son entier pour avoir des impôts à taux plus bas et une assiette plus large.

    Quant à la nécessaire réforme du chômage, il est envisagé à juste titre que personne ne perçoive plus au chômage qu’en activité, ce qui est bien la moindre des choses. Pour le reste, en l’état elle vise surtout à faire payer les cadres pour les autres. En réduisant leur indemnisation sans abaisser leurs cotisations, la loi transformera définitivement le système assurantiel en impôt. D’une manière générale, ce système français qui est l’un des plus redistributif de la planète le sera encore un peu plus...