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  • Mai 68 : la fin du mythe !

     

    Cinquante ans, ça se fête, pourtant, il est aisé de constater que cet anniversaire, de la révolte des étudiants de mai 68, n’a pas donné lieu à de grandes festivités, à part quelques rappels inévitables dans les médias. Ce sont surtout les opposants qui s’en souviennent. Mais au fait, fêter quoi ? Si cette révolte, conduite par des fils de notables et des petits-bourgeois immatures, deviendra dans l’imaginaire d’une toute une jeunesse en mal-être, « La Révolution de mai 68 « , et qu’elle sera, ensuite, fantasmée par tous les bobos, d’ici et d’ailleurs, à l’origine, elle n’a séduit que peu de monde. Et, jamais, la majorité silencieuse. Qui n’a fait que subir ! Ce n’est qu’un peu plus tard, en gangrenant la plupart des politiciens de gauche et de la droite molle, que cette révolte va consacrer une idéologie libertaire qui se résume en deux slogans emblématiques : « il est interdit d’interdire » et « jouissez sans entraves ». Quel programme ! Pas étonnant, que de jeunes fauves pleins d’appétence fussent enthousiasmés par cette vitrine alléchante, avec ses slogans, claquants et vibrants comme des couperets : ils vont s’offrir une grande libération sexuelle débridée. Là où ça va se compliquer – Freud étant passé par là – c’est quand nos apprentis sorciers eurent l’idée saugrenue d’investir leur défoulement d’une véritable politique idéologique, pour l’appliquer à tous les rouages de l’État. Et ils réussirent, en désintégrant et en pervertissant toutes les valeurs qui fondent une société, normalement constituée.

    On sait que le passage à l’âge adulte ne se fait pas sans extravagances, ni anicroches, mais, justement, avec le recul, on voudrait comprendre comment ce projet infantile de transmutation a pu aller au-delà du concevable et de toute logique politique rationnelle.

    Et nous fabriquer une société, à tel point invertie, où tout discernement est totalement impossible. D’une permissivité complètement ingérable, autant par ses lois que par ses mœurs, nous payons aujourd’hui le prix fort de toutes les sottises des enfants de mai 68.

    En déconstruisant la société de leurs parents, mais surtout en se regardant le nombril et d’abord leur propre intérêt, ils ont ouvert la porte au capitalisme mondialisé et au libéralisme… qu’ils disaient combattre – quelle foutaise ! Ils voulaient Lénine ou Mao, ils ont eu Mitterrand et, soudain, toute la gauche caviar est devenue ministrable jusqu' à Macron inclus !

    Ils voulaient abattre le religieux, ils ont eu l’islamisme et le voile partout, même à l’UNEF, syndicat soixante-huitard s’il en est.

    Ils voulaient que toute la classe ouvrière puisse aller à l’université, il n’y a jamais eu si peu d’enfants d’ouvriers dans les facultés. Échecs, partout ! Par contre, ils ont réussi à imposer leur idéologie mortifère dans toutes les institutions et les organismes d’État, les médi

    as et la plupart des cerveaux pensants de notre pays, et même au-delà. Et, ils se sont érigés en petits commissaires de la pensée en corsetant la liberté d’expression et en investissant une pléiade d’associations « humanitaires » qui, dorénavant, contrôlent la plus simple expression malencontreuse qui peut vous envoyer en prison pour peu que cela ne convienne pas.

    Dans la foulée, ils ont établi les lois Gayssot, qui empêchent les historiens de faire correctement leurs recherches. La liberté est devenue un leurre et la terreur intellectuelle s’est institutionnalisée. Pourtant, le mythe de la révolution gauchiste semble s’éloigner à tout jamais. Mais l’interrogation sur sa conquête idéologique va encore perdurer longtemps.

    Pour l’instant, quel aspect positif peut-on retenir de ces cinquante années de bêtises et de perversions ? Aucun ! Ou plutôt si, en cherchant bien, on peut en trouver un, un petit rien : les héritiers de mai 68, nouveaux bobos un peu écolos, en reprenant à leur compte un des slogans de mai 68, entre autres célèbres, « sous les pavés, la plage« , fleurissent les rues et les trottoirs où ils habitent… Peut-être par ce geste, s’exercent-ils à honorer, bientôt, la tombe d’une idéologie qui les formate encore ?

     

  • Jeanne d’Arc , patronne secondaire de la France, souillée par la Ligue de Défense Noire Africaine !

     

    http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2018/06/ligue-defense-noire-vs-jeanne-darc.jpg

    Il y a chez les membres de la Ligue de défense noire africaine autant de bêtise que de haine des Blancs et de la France.

    Il y a quelques jours, cette bande de gugusses prétendait dénoncer l’esclavage de leurs frères noirs en Libye. Le leader de cette Ligue de défense noire africaine voulait pointer la responsabilité de BHL et Sarkozy. Jusque-là, pourquoi pas ?

    Mais quel symbole ont choisi ces cerveaux d’huîtres pour dénoncer BHL et Sarkozy ? Le domicile de l’un des deux ? Le bureau de Sarkozy à Paris ? La brasserie préférée de BHL ? Le siège du CRIF ou de la LICRA ? Une synagogue ? La boutique qui fournit à BHL ses chemises blanches immaculées de grande conscience internationale sur les champs de batailles ? Non, rien de tout cela.

    Les demeurés de la Ligue de Défense Noire Africaine ont choisi d’aller profaner la statue de sainte Jeanne d’Arc située place des Pyramides à Paris.

    Cette association de sombres crétins – dont l’appellation est directement inspirée de la Ligue de Défense Juive – propose même une vidéo de son action soi-disant coup de poing au cours de laquelle leur grotesque chef insulte copieusement Jeanne d’Arc en tant que symbole de la France.

    L’imbécile ne s’est même pas rendu compte que cette sainte héroïne de la patrie française est exactement l’antithèse des mondialistes BHL, Sarkozy et consorts.

    Ainsi, en s’attaquant à Jeanne d’Arc, cette Ligue de Défense Noire Africaine se fait l’alliée objective des BHL et Sarkozy qu’elle prétendait dénoncer.

    Cette ligue de bouffons anti-Blancs et anti-Français ne mérite qu’une chose : un rapatriement immédiat de l’ensemble de ses membres vers le continent africain auquel ils sont si attachés et qu’aucun Français ne leur a demandé de quitter !

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