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L’archevêque de Paris à la rencontre des « migrants » ! ...

 

 

Le monde apostasie, la France est profondément déchristianisée, la société occidentale est en voie d’islamisation forcée, la nature humaine est transformée par des apprentis-sorciers nihilistes, les Français de souche souffrent de milles maux sociétaux, économiques, moraux ..., les Parisiens n’en peuvent plus de l’insécurité exponentielle favorisée par des clandestins hermétiques aux mœurs françaises de respect des autres et des femmes… et le nouvel archevêque de Paris a une préoccupation, bien en phase avec la pensée bergoglienne : promouvoir l’accueil des migrants !

Mgr Michel Aupetit, s’est rendu hier matin dimanche 15 avril à la rencontre des « migrants », installés dans un imposant campement près de la porte de la Villette, dans le nord-est de la capitale, « en signe de fraternité et d' »écoute » » : « C’est une attention aux frères, c’est notre foi », a expliqué l’archevêque à l’AFP !...

 

Pour lui, il faut concilier « l’accueil de celui qui est là » et la question du « bien commun »: « comment accueillir ces gens du mieux possible sans déséquilibrer » le tissu social. En France, « aujourd’hui, nous avons les moyens peut-être d’accueillir plus que ce que nous faisons », a-t-il avancé !

Pendant une heure, Mgr Aupetit a déambulé le long des tentes serrées sous les ponts et rencontré de petits groupes de migrants, pour beaucoup originaires du Soudan et d’Erythrée, installés le long du canal de Sain-Denis. Il était accompagné des curés de deux paroisses voisines et de Mgr Benoist de Sinety, vicaire général du diocèse, en charge du nord-est de la capitale.

Dans ce nouveau campement du XIXe arrondissement où dorment plus d’un millier de migrants, la douceur de l’air ne doit pas faire oublier la rudesse des conditions de vie, raconte Mechac, 32 ans, arrivé il y a huit mois de Côte d’Ivoire via la Libye avec son frère jumeau Chadrac.

Cet hiver, « avec le vent, la pluie, on n’arrivait même pas à dormir », dit-il. Tous deux improvisent une chanson devant le prélat: « Qui changera ce monde ? Toi et moi, nous changerons ce monde-là ».

Cette visite doit aussi « encourager les paroisses qui essaient de faire quelque chose », a souligné le prélat. La paroisse voisine de Saint-Jacques/Saint-Christophe loge ainsi six migrants dans des studios et donne des cours d’alphabétisation.

Mgr Aupetit se fait ainsi le collaborateur du suicide de la France et de la civilisation européenne en promouvant cet « absolutisme de l’accueil » théorisé par les papes conciliaires et particulièrement François.

Comme l’a fort justement écrit Laurent Dandrieu dans son livre, Église et Immigration : Le Grand Malaise :

« à la Vieille Europe, autrefois forteresse de la Chrétienté, passée par pertes et profits, l’Église oppose désormais l’immigration conçue comme une voie nécessaire pour l’édification d’un monde réconcilié » (Jean Paul II), « une préfiguration anticipée de la Cité sans frontières de Dieu » (Benoît XVI), voire « une nouvelle humanité pour laquelle toute terre étrangère est une patrie et toute patrie une terre étrangère » (François) ».

Francesca de Villasmundo

 

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