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  • Macron et la réforme de « l’islam de France » ...

     

    L’islam est un vrai problème en France, et d’ailleurs dans toute l’Europe, que les politiciens au pouvoir ne veulent pas regarder en face.

    Macron prend ainsi la suite de l' apprenti sorcier Sarkozy ...

    Les plus de quinze millions de musulmans, citoyens français sont une manne électorale à ne pas dédaigner…

    Alors on recherche des subterfuges pour faire croire aux Français que l’islam est sous contrôle, que l’État socialiste ou sarkoziste ou en marche gère le problème…

    L’un d’entre eux est déjà en train de parler d’un islam de France plutôt que de l’islam en France. Comme s’il y avait un islam spécifiquement français ! Or c’est le même Coran et la même charia que prône l’islam sous toutes les latitudes et toutes les longitudes.

    La différence est d’ordre territoriale et politique : là où les musulmans sont prépondérants, la charia s’applique avec plus ou moins de rigueur selon le pouvoir politique en place, là où les musulmans sont minoritaires la charia ne peut être appliquée ou seulement de façon clandestine.

    Propager l’idée qu’il existe un islam de France différent de l’islam courant est une véritable fumisterie, destinée à endormir les esprits. Personne, d’ailleurs, n’aurait l’idée de parler d’un catholicisme de France différent du catholicisme romain…

    C’est à ce travail d’endormissement que s’attèle le président Emmanuel Macron : par le biais du Journal du Dimanche, il a annoncé qu’il veut « structurer l’islam de France » :

    « C’est durant ce premier semestre 2018 que je souhaite poser les jalons de toute l’organisation de l’islam de France » affirme-t-il.

    « Nous travaillons à la structuration de l’islam de France et aussi à la manière de l’expliquer, ce qui est extrêmement important. »

    Selon l’hebdomadaire, la création de nouvelles instances représentatives, notamment pour définir un cadre pour le financement des lieux de culte et la collecte des dons, ou la formation des imams, ainsi qu’une taxe hallal (alors qu'elle existe déjà par le biais des abattoirs hallal !), sont à l’étude par les fran-mac de l’exécutif...

    Marine Le Pen a vertement réagi à ces propositions :

    « Il y a toute une série de pistes dont certaines sont insupportables, inadmissibles : par exemple, l’idée d’un concordat, l’idée de toucher à la loi de 1905. » Et suggère « l’arrêt total du financement étranger des mosquées ».

    Autant Macron que Marine croient en la laïcité, imposée de manières différentes, comme solution miracle au problème islamique.

    Mais la seule solution pour résoudre le problème non pas de l’islam de France mais de l’islam en France, c’est, et nous citerons l’écrivain Michel Houellebecq, que le catholicisme redevienne religion d’État :

    « L’intégration des musulmans ne pourrait fonctionner que si le catholicisme redevenait religion d’État ».

    Et que les Français soient à nouveau fiers de leurs racines chrétiennes…

    Prions pour cela .

  • En Italie comme en France, les associations catholiques, collaboratrices de l’invasion afro-musulmane !

     

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    Elles sont « catholiques » de nom mais elles sont immigrationnistes de fait ! Elles se disent « catholiques » pour mieux imposer le nouvel Évangile du migrante, cher au pape François !

    En  prêchant un « christianisme » pseudo-humanitariste et solidaire, pseudo-catholique aux vertus chrétiennes devenues folles, elles sont le cheval de Troie de l’invasion migratoire et du Grand Remplacement.

    Elles sévissent depuis des décennies dans les pays européens submergés par l’immigration, grâce bien trop souvent l’aide d’évêques modernistes et progressistes déconnectés de leur mission première qui consiste à prêcher, à temps et à contretemps, la foi en Jésus-Christ, seul et unique Sauveur du monde, mais branchés à l’altruisme socialo-marxisant de l’establishment mondialiste.

    A quelques semaines des futures élections législatives en Italie, ces associations prétendument catholiques ou ecclésiastiques ont fait sept propositions soi-disant pour sortir de l’urgence migratoire, des insuffisances et de la lenteur du système d’accueil. Sept propositions pour « démontrer que gouverner le phénomène migratoire c’est possible, en garantissant les droits et les devoirs de tous et en s’opposant à l’actuelle vague de racisme et de xénophobie. »

    Parmi les requêtes avancées on trouve l’éternelle revendication de la gauche internationaliste : « le droit de vote pour les étrangers qui travaillent en Italie ». Pareillement ces associations, telles la Communauté Saint’Egidio, le mouvement des Focolari, l’Action catholique, le Centre jésuite Astalli pour les réfugiés, militent pour « une réforme des lois sur la citoyenneté pour imposer à la place du droit du sans le fameux droit du sol rejeté pourtant par les Italiens au cours de l’année 2017. Elles demandent également la mise en place de nouvelles modalités d’entrée plus libérales qu’elles ne le sont déjà. Et elles aspirent à développer les couloirs humanitaires, pour permettre une entrée par des voies légales aux ‘migrants’.

    Bien entendu toutes ces belles consciences morales donnent des leçons d’économie aux Italiens en prétendant cette main-d’œuvre indispensable au tissu industriel de la péninsule et donc n’enlevant pas  de travail aux autochtones.

    Simplifier et unifier le système d’accueil, toujours dans un sens qui ne peut qu’encourager les arrivées illégales, est un autre de leur dada.

    Immigrationnistes et immigrophiles convaincues, ces associations se donnent le beau rôle face aux médias et à la pensée unique en reliant leur combat en faveur des migrants au combat antiraciste :

    « Chaque type de discrimination envers quelqu’un est un affront à la dignité de ces personnes qui ont fui leurs terres parce qu’elles étaient déjà discriminées. Nous prenons donc une position nette par rapport à celui qui fait du racisme un élément de la propre campagne électorale » a expliqué le Père Ripamonti, du Centre Astalli à Vatican Insider.

    Dans un raccourci parfaitement injuste et discriminatoire mais si politiquement correct, le père jésuite compare toute défense de l’identité nationale et civilisationnelle des pays du Vieux Continent par certains partis politiques à de la xénophobie :

    « je me sens comme chrétien capable d’assumer mes responsabilités dans ce contexte historique où certaines forces politiques, les forces racistes et xénophobes, rehaussent la tête : alors il faut dire non, que ceci ne fait pas partie de notre appartenance chrétienne et de notre appartenance citoyenne. »

     

    En Italie, comme en France d’ailleurs, les associations ecclésiales et ‘catholiques’ sont des alliées de l’immigration-invasion. Leur attitude multi-culturelle et mondialiste est une autre conséquence du dialogue inter-religieux promu par l’Église conciliaire. Le principe de suppression des frontières religieuses et spirituelles s’imposent à la nature… D’ailleurs ce sont ces mêmes associations qui prônent l’accueil à tout va qui prêchent l’union œcuménique et inter-religieuse « dans la diversité » !