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  • Pour ou contre la mondialisation et l ' mmigration sauvages voulues par Macron .

     

     

    Emmanuel Macron est un « faiblard » incapable à riposter à la menace terroriste et à la « mondialisation sauvage », a lancé Marine Le Pen pour marquer le début de la campagne pour le seconde tour.

     Au lendemain de sa qualification pour le second tour de l'élection présidentielle, Marine Le Pen a mis l'accent lundi sur la lutte contre le « terrorisme » et la « mondialisation sauvage », deux thèmes grâce auxquels elle entend se démarquer de son adversaire, Emmanuel Macron.

     En visite sur un marché du Pas-de-Calais, la présidente du Front national, arrivée deuxième du premier tour dimanche avec moins de 22% des voix, s'est présentée en « challenger ».

    « Je suis venue pour démarrer cette campagne de second tour de la seule manière que je connaisse, à savoir sur le terrain, avec le peuple français, pour attirer leur attention sur des sujets éminemment importants. Aujourd'hui celui du terrorisme islamiste, dont le moins que l'on puisse dire, c'est que M. Macron est faiblard », a-t-elle dit à la presse.

    « Voilà donc quelqu'un qui se présente à l'élection présidentielle et qui n'a pas de programme pour mettre en protection le peuple français face au danger du terrorisme islamiste », a ajouté la présidente du FN.

    Elle a également, comme la veille, présenté le scrutin comme un « référendum pour ou contre la mondialisation sauvage ».

  • La coordinatrice de la campagne Fillon votera Le Pen pour «faire battre Macron» .

     


    Contrairement aux consignes de vote passées par son candidat, François Fillon, sa coordinatrice de campagne, Françoise Hostalier, annonce son intention de voter Marine Le Pen et de « faire battre Macron », indigne, selon elle, d’exercer la fonction suprême.

    Évidemment déçue par l'élimination de son candidat dès le premier tour, Françoise Hostalier, coordinatrice de la campagne de François Fillon, veut «  faire battre Macron  ».

    «  Je ne m'attendais pas du tout à ces résultats. Je m'étais imaginé que François Fillon serait présent au deuxième tour, cela aurait été logique vu sa campagne  », a-t-elle commenté.

     Évoquant les raison de la défaite du candidat des Républicains, Mme Hostalier a invoqué «  une campagne qui n'était pas assez basée sur les militants de terrain  ».

     Quant à son envie de faire battre Macron, elle estime que l'ancien ministre est indigne d'occuper le poste supérieur.

    « De mon point de vue, il n'est pas digne de pouvoir exercer la fonction suprême. Il a déshonoré la République tout au long de la campagne avec ses propos sur la Guyane, dont il a dit que c'était une île, ou sur la colonisation, qu'il a qualifiée de crime contre l'humanité », a-t-elle expliqué.

     

  • Non à Macron, le candidat du mondialisme ,de l' immigration forcenée et du génocide français.

     
     
    Même si Marine Le Pen n’est pas arrivée en tête , sa présence au deuxième tour avec 7,5 millions de voix n’est pas moins très positive et source d’espérance. Elle l’est pour tous les patriotes français, pour tous ceux qui refusent le nihilisme sociétal et antinational de l’eurocratie et les trois racismes convergents contre l’identité française, l’identité chrétienne, l’identité humaine.
     
    Il faut que tous les militants, adhérents et amis des organisations de résistance nationale et chrétienne votent massivement au second tour pour Marine Le Pen, contre Emmanuel Macron, le candidat de l’utopie du « meilleur des mondes », le candidat de la triple déconstruction, nationale, sociale et humaine, le candidat somme toute du génocide français.
     
     
    L’élection d’Emmanuel Macron serait une abomination pour ce qui demeure de continuité française d’indépendance et de culture, sur le socle des valeurs universelles judéo-chrétiennes du Décalogue et des racines européennes de civilisation greco-latines et gauloises.
     
    L’élection d’Emmanuel Macron serait une victoire pour le désastreux François Hollande, aussi habile hélas dans la rouerie politicienne que dans l’action de  déconstruction morale et sociétale du néo-totalitarisme libéral-socialiste contemporain.
    Elle donnerait encore plus libre cours à la submersion de nos peuples par le ressurgissement moderne de l’islam fondamentalement totalitaire, sur le modèle de son fondateur.
     
    François Fillon a achevé hier pitoyablement sa triste course élyséenne comme si le fait de vitupérer lui aussi, conformistement, sans élégance, petitement, contre une mythique « extrême-droite », allait demain lui valoir de l’indulgence mondaine et judiciaire. Mais le plus triste, c’est qu’avec son image de marque de hobereau conservateur et catholique, c’est toute une masse d’honnêtes bons français, souvent de faibles revenus mais de fortes convictions morales, qui a été ébranlée par ses « affaires ». Elles ont certes sans doute été très habilement sorties et exploitées, à un moment bien choisi, par ce qu’il a appelé « le cabinet noir de l’Élysée ».   
    Car ne voilà-t-il pas qu’il fait voter, sans vergogne, pour l’homme propulsé par le chef de ce « cabinet noir », François Hollande !
     
    Mélenchon a, en cette occurrence électorale, plus de dignité que lui.
    Mais c’est justement le résultat de Mélenchon qui est le plus inquiétant.
    Car 20 % des voix se portant sur le candidat du néo-marxisme-léninisme, sur l’exaltateur jadis des criminels contre l’humanité, HO-Chi-Minh et Castro, c’est infiniment triste ! Après un siècle d’indicibles persécutions, tortures, massacres et exterminations perpétrés par les régimes communistes – cent ans et cent millions de morts – c’est accablant.
     
    Aussi, ce dernier a-t-il à l’évidence « récupéré » un certain nombre d’anciens électeurs communistes passés au vote FN mais sans avoir bien motivé leur désaffection pour le parti communiste par la connaissance de ses criminelles actions et collaborations. Or, en période de troubles, une mouvance néo-communiste de 20 %, c’est une énorme masse de manœuvre pour l’appareil, les syndicats et les organisations formées à la stratégie révolutionnaire.