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  • L ' euthanasie pour les enfants !

    Une nouvelle choc fait le tour du monde et la une des journaux : le premier cas d’euthanasie sur un enfant, à sa demande et avec le consentement de ses parents, a eu lieu en Belgique ! C’est le seul pays au monde à avoir approuvé la loi, en 2014, qui autorise sans limite d’âge des mineurs « en capacité de discernement » et atteints d’une maladie incurable à choisir le « suicide assisté ».

    Le quotidien flamand Het Neuwsblad rapporte : « En silence et dans la discrétion la plus totale, pour la première fois dans notre pays un mineur est mort par euthanasie. » Aucune information en revanche sur l’âge, la maladie.

    Le professeur Wim Distelmans, président de la commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie a confirmé le cas de façon fort inappropriée :

    « Il n’y a heureusement que très peu d’enfants qui entrent en considération, mais cela ne signifie pas que nous devrions leur refuser le droit à une mort digne. »

    Heureusement ? Mort digne ?

    Notre monde contemporain est-il devenu si fou que la mise à mort de ses propres enfants, quand ils sont une charge pour leurs parents, la société, eux-même, est qualifié de « mort digne » ?

    Notre Temps où la culture de mort triomphe impunément est, sans contexte, le règne de la non-civilisation par excellence. Retour aux temps barbares avec toutes sa suite logique d’abîmes : invasion migratoire, mœurs perverses érigées en valeurs positives, dictature de la pensée, et bientôt des corps, perte du sens du sacré accouplé avec une recrudescence de la sorcellerie et des superstitions païennes… Voilà où nous conduisent les décideurs mondiaux et leurs chimères d’un monde meilleur !

    Francesca de Villasmundo

  • La guerre en Syrie est une guerre contre les chrétiens .

    Monseigneur Jacques Behnan Hindo, archevêque syro-catholique de Hassakè-Nisibi, le diocèse qui comprend aussi Raqqa, la capitale du soi-disant État islamique, a décidé de rester en Syrie, dont il est un fils aimant, pour soutenir son troupeau qu’il a choisi de ne pas abandonner. Au risque de sa propre vie puisqu’il est surveillé jour et nuit par les snipers.

    Il a relâché une longue interview à un journaliste italien, Matteo Carnieletto, publiée par Il Giornale.it. Dans laquelle il évoque la guerre qui depuis 5 ans détruit la Syrie, le rôle pernicieux des Américains, le double-jeu des Kurdes, les intérêts israéliens au Moyen-Orient, les mensonges et la propagande des gouvernements occidentaux contre Bachar el-Assad, le démembrement de la Syrie si son président actuel partait. Et les persécutions des chrétiens ! Il aborde tous ces sujets avec réalisme.

    Son interview, dont voici ci-dessous la traduction, nous permet d’avoir un regard sans illusions sur les manipulations politiques occidentales dont sont victimes la Syrie et les chrétiens.

    « Monseigneur, récemment vous avez prononcé des paroles très dures envers les Kurdes de l’ YPG (Unités de protection du peuple kurde) en les accusant de vouloir tout arracher aux chrétiens de votre diocèse. Quelle est la situation aujourd’hui ?

    La présence kurde se fait toujours plus pesante. Ici, dans la ville, ils détiennent tous les croisements et occupent les rues, spécialement dans le quartier chrétien. Les hommes de l’YPG sont en train de se comporter très mal avec nous les chrétiens. Ils sont très agressifs. Initialement ils ont pris le Sud de la ville, puis ils se sont étendus toujours plus. Ils ont pris tout le coton et toutes nos richesses. Ils ont volé jusqu’aux chaises. Ils ont tout vidé, maintenant il n’y a plus rien. Quand Daesh s’est éloigné, sont arrivés les Kurdes de l’YPG, qui voudraient créer un État indépendant, mais cela n’a pas de sens. Ils ont pris un avocat et ils l’ont nommé juge. Mais c’est quoi comme justice ? L’an dernier, en février, 35 villages ont été occupés par Daesh. Les Kurdes de l’YPG les ont vus descendre des montagnes, mais ils n’ont rien fait pour les arrêter. Ils voulaient que l’EI occupe ces terres très belles. Quand ils sont arrivés, les hommes de l’YPG m’ont dit : « Nous sommes ici pour protéger les chrétiens. » Mais ce n’est pas vrai : ils sont venus pour chasser les chrétiens.

    Mais en Occident, les Kurdes de l’YPG sont vus comme des héros parce qu’ils combattent l’EI. Comment alors pouvez-vous dire cela ?

    Ils travaillent pour les Américains qui les utilisent pour faire leur politique. Mais ensuite ils les abandonneront. Les Kurdes ne pensent pas à ce qui peut advenir dans une heure ou demain. Ils pensent seulement à l’instant présent. Ils n’ont rien appris de leur histoire et des persécutions des Ottomans. Savez-vous ce qu’ils sont en train de faire maintenant, les Kurdes ? Ils sont en train d’imposer leur langue dans nos écoles. Deux heures par jour pendant cinq jours. Dans le nord, ils enseignent tout en langue kurde. Je leur ai dit : « Vous n’avez pas de programmes et vous n’avez pas de professeurs compétents. Comment pouvez-vous enseigner aux enfants ? » « Nous sommes prêts à sacrifier sept générations. » Cela n’est pas de la démocratie. C’est de l’idéologie. La propagande kurde et américaine les présente comme des héros seulement parce qu’ils sont contre le gouvernement. Mais les Kurdes sont en train de faire tout cela parce qu’ils veulent un État. Ils sont en train de le faire uniquement pour leur intérêt.

    C’est un scénario très sombre, si c’est vrai – comme c’est le cas – que les Kurdes ont exploité le cessez-le-feu pour ériger des barricades. Selon vous, la trêve a-t-elle été utile pour les civils dans des zones comme Alep ?

    Je suis contre le cessez-le-feu. La première fois que l’armée syrienne a avancé contre les rebelles, les américains ont demandé une trêve et ainsi les terroristes se sont réorganisés pour attaquer les soldats loyalistes. Avec l’actuel cessez-le-feu, ils ont fait la même chose. De Mistura et l’ONU parlent seulement d’Alep Est, où sont présents les rebelles, mais ils ne parlent jamais de l’autre partie de la ville, où résident un million deux cent mille syriens qui sont continuellement bombardés par les djihadistes. Même l’archevêché d’Alep a été touché par un missile, mais les Américains, les Français et les Italiens n’en ont pas parlé.

    Il est vrai que durant la trêve « les rebelles » sont fournis en armes et munitions. Mais qui les leur donne ?

    C’est certain qu’elles n’arrivent pas par avion parce que tout est bloqué. Elles viennent de la Turquie. La Turquie aide Daesh et aussi l’Amérique, qui de fait ne veut pas sa destruction. D’un côté les USA le combattent, de l’autre ils l’aident. Ils entraînent les rebelles qui ensuite passent les armes à Al-Qaida et à l’EI. Quand les chefs de gouvernements occidentaux parlent, ils ne disent que des mensonges. Ils ne veulent pas combattre Daesh ni Al-Nosra. Ils ne veulent pas que la Russie et les Syriens les bombardent. »

    Suite de la IIe et dernière partie jeudi 29 septembre 2016.

    Francesca de Villasmundo

  • Juppé un parfait dhimmi !

    juppe-imam

    Selon le candidat à la primaire de la Droite, « Il faut absolument apaiser le climat qui règne aujourd’hui en France. Le simple mot de ‘musulman’ suscite une hystérie disproportionnée ! », ajoute-t-il. « Si nous continuons comme ça, nous allons vers la guerre civile. Moi, je veux la paix civile. »  (Source Le Monde) 

    Que les centaines de morts des attentats provoquent de la réticence chez les chrétiens et autres autochtones vis-à-vis de l’islam, serait donc une réaction disproportionnée?  et pire, serait même la cause profonde des troubles qui envahissent le pays? Pour Alain Juppé aujourd’hui en France, la paix civile ce serait donc que les Français de souche fassent le dos rond sous les attentats islamistes, tout en accueillant les bras chargés de fleurs les clandestins musulmans.

    Selon Alain Juppé, la guerre civile, ce serait…

    « Ce serait si deux catholiques fondamentalistes pénétraient dans la mosquée de Saint-Etienne-du-Rouvray pour y égorger l’imam local. Ce serait si deux jeunes filles, fraichement sorties du Couvent des Oiseaux, allaient placer une voiture remplie de bombonnes de gaz à proximité de la Grande Mosquée de Paris. »  « La guerre civile, ce serait si des Français de souche, radicalisés par Éric Zemmour et les prédications de Sarkozy, s’en allaient mitrailler de paisibles fumeurs de chicha à la terrasse des cafés d’Aubervilliers. Si d’autres Français de souche, fichés S pour la plupart, allaient massacrer les journalistes d’Oumma.com et du Bondy Blog en criant « Toutatis est grand! »  (Source Atlantico)

    Selon Alain Juppé, la guerre civile ce ne peut pas être…

    Ce ne peut pas être deux musulmans fondamentalistes pénétrant dans l’église de Saint-Etienne-du-Rouvray pour y égorger le prêtre local. Ce ne peut pas être deux jeunes filles emburqanées à souhait allant placer une voiture remplie de bombonnes de gaz à proximité de la cathédrale Notre-Dame de Paris!

    Non, cela n’est pas la guerre civile! Ce n’est rien qu’un climat d’attentats islamiques ordinaires de temps de paix. Il suffit seulement de calmer l’islamophobie des Français de souche et tout continuera de bien attenter en paix.

    Mais Alain Juppé ne sera pas un prophète de malheur

    Mais Alain Juppé nous rassure: « Je ne serai pas un prophète de malheur, » ajoute-t-il dans le même papier…  On ne s’attendait pas à entendre dans la bouche du prétendant à la Présidence suprême, comme un lointain échos du bon pape Jean XXIII fustigeant « les prophètes de malheur » lors de l’ouverture du Concile Vatican II… Réminiscence consciente ou inconsciente du jeune Alain qui usait ses culottes sur les bancs du catéchisme alors que Jean XXIII ouvrait grandes les portes de l’Eglise ? Le jeune Alain a fait du chemin depuis, un chemin parallèle a celui de l’Église conciliaire: plus de prophètes de malheurs et plus de portes ni frontières puisque selon François qui a canonisé son prédécesseur Jean XXIII, la violence des catholiques contrebalance bien la violence des musulmans… Et la paix d’Alain est bien de même nature que la paix de François...

    Depuis que « les prophètes de malheurs » ont été mis à la porte du Vatican, plus aucun malheur ne l’épargne, alors, de grâce, chers électeurs qui voulez épargner la France, ne votez surtout pas pour Alain Juppé!