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La campagne du gouvernement contre le prétendu racisme est un nouvel acte de guerre contre les français de souche .

Campagne contre le “racisme” : le gouvernement veut culpabiliser les Français !

 

Alors que la France est en état d’invasion libre, qu’elle compte des millions de pauvres et de chômeurs, qu’elle croule sous les dettes et les déficits, quelle est la priorité absolue du gouvernement Valls ? Combattre le racisme. Mais attention, pas tous les racismes ! Le racisme anti-Blancs, anti-Français et anti-chrétien, lui, n’est jamais stigmatisé ni sanctionné ! …

Le gouvernement a lancé une grande campagne, intitulée « tous unis contre la haine », à l’occasion de la semaine annuelle « d’éducation et d‘actions contre le racisme et l’antisémitisme », qui donne lieu à un intensif bourrage de crâne des enfants et des adolescents. Six spots-choc mettent ainsi en scène « des agressions racistes ou antisémites » prétendument inspirées de faits réels. Les six petits films sont tous bâtis sur le même principe : une agression filmée dans des conditions amateur, avec en surimpression sonore une conversation, qu’on devine autour d’une table, « reprenant des clichés racistes couramment véhiculés sur la communauté concernée ». Dans ces clips sont considérés comme victimes les Noirs, les Arabes, les musulmans et les juifs. Les Français, les Blancs, les catholiques, eux, ne sont jamais victimes. Ils sont forcément coupables. C’est ce que suggèrent très clairement ces clips où l’on s’en prend au prétendu racisme des Français qui véhiculeraient des stéréotypes désobligeants sur des minorités ethniques ou confessionnelles. On s’étonne que le gouvernement n’est pas songé dans ces clips à dénoncer le racisme anti-homosexuel, le tableau eût été ainsi complet.

Que l’on ne s’y trompe pas, cette campagne du gouvernement payée par les contribuables taillables et corvéables à merci est un acte de guerre de plus contre le peuple français, contre son héritage et son substrat ethnique et religieux.

On ne prend pas toujours suffisamment conscience de ce que les pouvoirs publics, depuis plus d’un demi-siècle, sont là pour détruire la France et liquider les Français. Par la contraception, l’avortement, la pornographie et l’immigration de masse. Par la culpabilisation des autochtones dès la maternelle et tout au long de la vie. Par le truchement de l’école, des media, du cinéma, de la publicité.

La fin de ces six clips montre du doigt le Français de souche, et uniquement lui avec cette phrase assassine : « Le racisme/l’antisémitisme/les actes antimusulmans, ça commence par des mots. Ça finit par des crachats, des coups, du sang. » Le message est limpide : si vous vous opposez à la submersion de votre pays, si vous trouvez qu’il y a trop d’immigrés et trop de mosquées en France, si vous ne vous réjouissez pas sans réserves du déferlement de migrants, si vous considérez que les juifs en font vraiment beaucoup, vous êtes un criminel en puissance. Il s’agit donc là de tétaniser les Français, de détruire leurs défenses immunitaires, de tuer dans l’œuf toute velléité de résistance au Système qui nous asservit.

Le gouvernement a même créé un organisme spécial, la Dilcra, Délégation interministérielle de lutte contre le racisme et l’antisémitisme, chargée de traquer, de dénoncer, de poursuivre et de recenser les actes, paroles et écrits jugés racistes ou antisémites. C’est cette même Dilcra qui a ainsi engagé une action en justice contre nous pour un simple tweet au sujet de la nomination de Laurent Fabius à la tête du Conseil constitutionnel. Alors que des millions de crimes et de délits sont commis chaque année en France, le gouvernement n’a rien de plus pressé que de traquer sur Internet et dans la presse écrite tout ce qu’il juge contraire à sa vision du monde et qu’il condamne comme raciste et/ou antisémite.

Cette campagne contre un prétendu racisme des Blancs rend d’autant plus obscène l’autosatisfaction manifestée à l’occasion de l’arrestation de Salam Abdeslam, présenté comme le dernier membre vivant du commando ayant ensanglanté le Bataclan le 13 novembre dernier, d’autant qu’au moment où nous bouclons des attentats terroristes ont eu lieu ce 22 mars à l’aéroport et dans le métro de Bruxelles, preuve que rien n’est résolu, rien n’est réglé et que le pire est devant nous. De plus qu’il ait fallu quatre mois aux polices française et belge pour mettre la main sur Abdeslam, et cela qui plus est grâce à une dénonciation, n’est pas spécialement glorieux ni rassurant. D’ailleurs, combien de Salah Abdeslam en puissance sont-ils actuellement sur le territoire national, prêts à tout moment à passer à l’action ?

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