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  • La faillite des départements : Un élément de plus dans la crise de l’État providence !

     

    Le débat ouvert par le département du Haut-Rhin, à propos du RSA et d’une contrepartie demandée aux bénéficiaires, n’est que la partie visible d’un iceberg, celui de la quasi-faillite des départements : mais, ici comme ailleurs, c’est « l’Etat providence » qui est en faillite ; que l’Etat ait décentralisé une partie de ses dépenses sociales ne change rien à cette réalité. Nos départements, comme toutes les collectivités, souffrent d’un excès de dépenses, d’une décentralisation illusoire et du millefeuille territorial français.

    La fausse autonomie des collectivités territoriales

    On savait les départements en grande difficulté financière, une dizaine d’entre eux étant déjà asphyxiés. Le vote du conseil départemental du Haut-Rhin, demandant aux bénéficiaires du RSA une « contrepartie », sous forme de 7 heures de bénévolat, a attiré l’attention sur l’explosion des dépenses sociales. Mais Marisol Touraine, ministre des affaires sociales, a été claire : le gouvernement affirme que l’assemblée départementale « n’avait pas le droit de conditionner le RSA à l’exercice du bénévolat ou de telle activité »...

    Cela en dit long sur l’autonomie des collectivités locales, alors que l’article 72 de la Constitution stipule leur libre administration, il est vrai « dans les conditions prévues par la loi » ! Quelle autonomie, puisque les départements reçoivent une part de leur financement du budget de l’Etat, via la dotation globale de fonctionnement ? Quelle autonomie, puisque la péréquation enlève toute réalité à l’autonomie fiscale ? Quelle autonomie, puisque l’Etat impose aux départements la prise en charge d’une part des dépenses sociales, dont le RSA, tout en se réservant le monopole de la décision en la matière : il est plus facile d’être généreux avec l’argent des autres et l’Etat peut augmenter le RSA : ce sont les départements qui en paient une part croissante !

    Les effectifs de la fonction publique territoriale explosent ! ...

    La question de la contrepartie du RSA n’est qu’un signal d’alarme ; conditionner ce versement à une activité bénévole visait à décourager la fraude. Mais qu’est-ce qu’un bénévolat obligatoire ? Et qui pourrait bénéficier de ce vrai-faux bénévolat ? Des associations, des collectivités locales et des établissements publics. Donc des organismes publics, qui hurleraient au scandale si une entreprise pouvait embaucher quelqu’un à ce tarif-là, payé en outre par le contribuable ! Comme pour beaucoup de mesures « sociales », destinées à masquer le chômage, on créée de faux emplois publics ou parapublics. La réalité, c’est que le coût du travail est excessif pour les non-qualifiés (effet pervers du SMIC), créant du chômage, et la meilleure réponse serait de diminuer ce coût, permettant aux entreprises de créer de vrais emplois.

    Au-delà du RSA, les départements, comme l’ensemble des collectivités territoriales, sont en grandes difficultés financières. Mais, au lieu de réagir en réduisant les dépenses, ces collectivités réclament des recettes nouvelles ! Certes, l’Etat est hypocrite en transférant une part de ses dépenses sociales sur les collectivités, mais les collectivités ne font guère d’efforts pour réduire leurs dépenses. Il a d’ailleurs été souvent démontré que les dépenses des collectivités locales augmentaient plus vite en France qu’à l’étranger...

    Si l’emploi public a explosé ces dernières années, cela est dû avant tout aux collectivités territoriales ; elles représentent désormais 35% des effectifs de l’ensemble de la fonction publique, contre 21% à la fonction publique hospitalière et 44% à la fonction publique d’Etat. Depuis un demi-siècle les effectifs territoriaux ont été multipliés par trois !

    Le socialisme local est lui aussi en cause

    Non seulement les dépenses de fonctionnement représentent 80% des dépenses départementales, mais encore la moitié est constituée par les seules dépenses sociales... Leurs difficultés financières ne sont donc qu’un élément de la crise des Etats-Providence ; l’ensemble de toutes ces dépenses, locales et nationales, fait de la France le champion des dépenses publiques et des prélèvements obligatoires. En prétendant rendre des « services publics », qui auraient pu être assurés par le secteur privé, les collectivités locales ont une part de responsabilité : le socialisme local ne vaut pas mieux que son exercice au niveau national.

    Le millefeuille administratif français est source de dépenses : la France est suradministrée. Aux communes, départements, régions, on a ajouté des échelons intermédiaires. On peut s’interroger notamment sur l’opportunité de conserver l’échelon départemental, créé en 1789/90 par l’Assemblée constituante sur des critères dépassés, comme le fait qu’aucune commune d’un département ne soit éloignée de plus d’une journée de cheval du chef-lieu ! Quand la commission européenne nous a encore mis en garde début février contre le maintien de nos déficits publics à un niveau trop élevé, elle a mis en cause l’absence de véritables réformes structurelles : il est évident qu’à côté de l’Etat, les collectivités locales sont elles aussi concernées.

     

  • Belgique : " retour à l' envoyeur " ...

     

    La Belgique a peur de voir son territoire envahi du côté sud. Pourtant la France ne songe pas à l’annexer ! Ce n’est pas des Français dont elle se protège mais des migrants, lesquels, si la jungle de Calais est évacuée, vont s’installer ailleurs, ce qui a d’ailleurs commencé : appliquant eux aussi le principe de précaution, une trentaine d’individus ont déjà été arrêtés à Adinkerke. Les autorités belges ont donc décidé de fermer leurs frontières. Les contrôles seront réalisés « systématiquement sur les lieux stratégiques connus pour les passages » a indiqué le ministre de l’Intérieur, Jan Jambon.

    Contrairement à ce qu’imagine son homologue français, Bernard Cazeneuve, ceux qui veulent aller en Grande-Bretagne à tout prix ne vont pas se rendre dans un centre d’hébergement dans les Causses ou à Romorantin mais vers un autre port du Nord. C’est donc la crainte de voir les maux de Calais s’exporter vers le port de Bruges-Zeebrugge, d’où partent les ferries à destination de la Grande-Bretagne, qui justifient la décision de Bruxelles. Il s’agit aussi de faire taire la rumeur qui se répandait dans la jungle selon laquelle les Belges seraient plus « ouverts » que les Français, rumeur qui serait le fait des passeurs afin de pouvoir continuer leur coupable activité de l’autre côté de la frontière.

    Ce n’est pas de gaieté de cœur que le chef du gouvernement belge a pris cette mesure à l’encontre de son plus proche voisin avec qui les échanges sont permanents et amicaux. Cela montre que la Belgique n’est pas dupe du discours de notre ministre de l’Intérieur pour résorber cet abcès sur la côte calaisienne, elle ne veut pas faire les frais de cette impuissance. Ceux des « migrants » qui parviendraient à passer à travers les mailles du filet et interceptés en Belgique, où ils ne voudraient pas demander l’asile, se verraient notifier un « ordre immédiat de quitter le territoire » et seraient raccompagnés à la frontière française par la police belge. Retour à l’envoyeur !

    Il s’agit d’une dérogation « temporaire » aux règles de Schengen, a précisé le ministre de l’Intérieur belge. C’est la formule que tous les pays emploient pour rester dans le cadre de la légalité européenne qui ne prévoit qu’une fermeture temporaire et exceptionnelle. Mais quand déjà sept pays de l’espace Schengen ont fermé leurs frontières et pour le même motif, petit à petit ce seront les Etats qui les maintiennent ouvertes qui deviendront l’exception… avant de s’y rallier. En effet, quand un accès est fermé, les passeurs et leurs clients en ouvrent un autre, ce qui conduit le pays victime de cette situation à reprendre lui aussi le contrôle de ses frontières. Quant au caractère « temporaire » ni en Belgique, ni ailleurs il n’y a de date butoir. Son gouvernement a indiqué que cette fermeture « durera autant que nécessaire », c’est-à-dire très longtemps car la crise dite des « migrants » est encore devant nous.

    Les chefs d’Etat et de gouvernement ont beau proclamer qu’il faut tout faire pour conserver « Schengen » ce n’est qu’une imprécation stérile ! La liberté de circulation se réduit chaque jour davantage, « Schengen » devient une coquille vide. Mieux vaudrait le constater et déclarer ces accords caducs au lieu de cet acharnement même pas thérapeutique .

  • Lois économiques liberticides: De la suppression du billet de 500 euros à la fin de toutes les libertés …

     

     
     
    « Qui veut tuer son chien dit qu’il a la rage », selon l’adage populaire. Donc, qui veut tuer les billets dit qu’ils sont dissimulés. C’est l’avis du ministre du budget, Michel Sapin: «Je le dis du point de vue français parce que je le vois en France, le billet de 500 euros est plus utilisé pour dissimuler que pour acheter» a-t-il déclaré à l’AFP.
     
    Et les sommes phénoménales qui partent en fumée chaque année au nom des intérêts payés par la France aux banksters, celles-là n’inquiètent pas Michel Sapin, n’est-ce pas ? Pourtant il n’y a pas de plus grand hold-up sur les finances publiques, comme nous le verrons!
     
    La dissimulation, que voilà un bon prétexte pour supprimer la liberté de disposer de son argent en toute liberté, hors des circuits bankstéristes! Décidément les attaques terroristes islamistes sont du pain béni pour les oligarques. On irait jusqu’à se demander s’ils ne les arrangent pas? Car si l’existence des billets est remise en cause s’est au nom de la dissimulation fiscale mais aussi, évidemment, au nom de la lutte contre le terrorisme. On commencera par les billets de 500 euros, puis on passera au porte-monnaie électronique dissimulé dans le téléphone mobile. Le téléphone mobile n’est-il pas appelé à devenir le tout-en-un rêvé de Big brother en attendant qu’il ne soit greffé directement dans votre cerveau? 
    On nous dit que l’opinion plongée dans la peur par les attaques islamistes parisiennes, accepte avec joie l’Etat d’urgence qui restreint les libertés et fait emprisonner un général de corps d’armée, interdire les  manifestations contre l’invasion ou supprimer le sapin de Noël de Notre-Dame de Paris, trop emblématique. Bref un Etat d’urgence qui sert l’idéologie mondialiste au pouvoir, bien plus qu’il ne garantit contre l’islamisme alors que les immigrés continuent de rentrer en flot continu dans une Union européenne ouverte aux musulmans, sous prétexte de refuge.
    Depuis 2007, l’UE -la France en particulier- ne cesse de renflouer les banques qui ont incité les politiciens grecs à leur emprunter. Des devises qui passent directement des contribuables de l’Union dans les coffres des banksters, sans passer par la case de la Grèce. Prenant pour préjugé que les banques ne doivent pas faire faillite (au nom de quoi?), une loi est passée à Bruxelles exigeant que les pays membres de l’Union avalisent la saisie des dépôts bancaires des particuliers pour renflouer leurs éventuelles banques déficientes, prétextant qu’ainsi les contribuables seraient exonérés dudit renflouement. Comme si les les déposants n’étaient pas aussi des contribuables! Nous avions évoqué  L’ordonnance qui est passée en France où désormais, une banque pour se renflouer pourra ponctionner les comptes de ses clients.
    Mais cette atteinte inouïe au droit de propriété des déposants n’est qu’une étape vers le totalitarisme des banquiers. Depuis quelques années ceux-ci et leurs courroies de transmission médiatiques et politiques ne cessent d’évoquer la suppression de la monnaie fiduciaire.
    Au départ l’État gérait lui-même ses finances et sa planche à billet au gré de ses intérêts. Puis ce droit régalien (ou souverain) a été transféré aux banques par la Loi de janvier 1973 sur la Banque de France. Cette loi est le fruit des efforts du président Pompidou, du ministre des finances Giscard d’Estaing et du banquier Rothchild…
    Dans la loi portant sur la réforme des statuts de la banque de France, nous trouvons en particulier cet article 25 très court, qui bloque toute possibilité d’avance au Trésor :
    « Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France. » (…)
    Autrement dit : auparavant, l’État français avait le droit de battre monnaie, et avec cette nouvelle loi, il perd ce droit qui est du même coup légué aux banques privées, qui en profitent pour s’enrichir aux dépends de l’État en lui prêtant avec intérêt l’argent dont il a besoin.
    Cette décision correspond à une privatisation de l’argent et ramène la nation au même rang que n’importe lequel de ses citoyens. (…)
    La dette à fin 1979 était de 239 milliards d’euros (*), déjà injustifiables ; la dette à fin 2008 s’établit à 1327 milliards d’euros ! Ainsi, entre 1980 et 2008, la dette a augmenté de 1088 milliards d’euros et nous avons payé 1306 milliards d’euros d’intérêts.
    1327 – 1306 = 21 Milliards d’Euros ! : Si nous avions pu créer notre monnaie — faire exactement ce qu’ont le droit de faire les banques privées —, la dette publique serait quasiment inexistante aujourd’hui. (Source)
    Evolution de la dette
     
    On comprend aisément où cela peut conduire lorsque les politiciens sont liés d’une manière ou d’une autre aux banques, comme ce fut le cas de Pompidou, et tout le profit que les banques peuvent tirer de politiciens dévoués à leurs affaires. Il suffit dans ce cas de multiplier les emprunts pour grossir les intérêts versés aux banques, qui pourraient ristourner une infime partie de leurs gains à ceux qui ont signé les emprunts, ou bien d’intéresser un oligarque au capital de la banque etc..
    Mais honi soit qui mal y pense! Comment ai-je pu formuler des idées aussi tordues qui jamais ne viendraient à aucun politicien ni aucun banquier! Pourtant il arrive assez couramment, par hasard sans doute, que les banques placent leurs hommes directement à la tête d’États comme ce fut le cas récemment pour la Grèce ou l’Italie et ainsi que c’est toujours le cas pour la Banque Centrale Européenne. 
    L’histoire pourrait combler toutes les attentes des adeptes des théories du complot. Où est le pouvoir mondial ? La réponse tient dans un seul nom et lieu : au siège de la banque d’affaire Goldman Sachs. La banque étasunienne a réussi un exploit peu fréquent dans l’histoire politique mondiale : placer ses hommes à la tête de deux gouvernements européens et de la banque qui régit les destins des économies politiques de l’Union Européenne. Mario Draghi, l’actuel président de la Banque Centrale Européenne ; Mario Monti, le président du Conseil Italien qui a remplacé Silvio Berlusconi ; Lucas Papademos, le nouveau Premier ministre grec, tous appartiennent à la galaxie Goldman Sachs. (Source)
    Et devinez qui est à la manœuvre pour la suppression du billet de 500 euros ? La BCE avec à sa tête Mario Draghi! Bien qu’il ait affirmé que « Cela n’a rien à voir avec une réduction de la liquidité. » Ah vraiment ? Mais alors pourquoi vouloir également imposer encore des plafonds aux règlements en liquide? Alors qu’en France ces plafonds ne cessent de s’effondrer sur nos libertés? 
    En France les paiements en espèces à des commerçants sont limités à 1000 euros depuis 2015, tandis qu’entre particuliers ces paiements ne sont soumis, pour le moment, à aucune limite.
    La monnaie en circulation dans la zone euro a dépassé les mille milliards d’euros l’an passé dans la zone euro, dont près de 30% thésaurisés sous la forme de billets de 500 euros, reflet d’une inquiétude quant à la stabilité des banques doublée d’un sentiment d’exaspération face à des taux d’intérêt dérisoires.
    Si les billets de 500 euros étaient supprimés, ceux qui les détiennent seraient forcés de les porter à la banque ne serait-ce que pour les faire remplacer…
    Mais revenons aux lois qui privatisent les finances publiques, car la loi de janvier 1973 sur la Banque de France  ne faisait qu’annoncer celle contenue dans le Traité de Maastricht en son article 104. Loi réitérée et confirmée à l’article 123 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE).
     
    Des lois qui font de l’économie européenne une jungle dans laquelle les banquiers sont rois:
     
    Article 123 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne:
    1. Il est interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États membres, ci-après dénommées « banques centrales nationales », d’accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions, organes ou organismes de l’Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres; l’acquisition directe, auprès d’eux, par la Banque centrale européenne ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite. (…)
    Si les banksters réussissent à imposer la suppression de la monnaie fiduciaire, plus personne ne pourra s’acheter une baguette de pain sans que Big brother ne sache où quand et comment et d’où provient l’argent du prix d’achat de la baguette. Plus fort, imaginons le despotisme illimité des banksters mondialistes lorsqu’ils leur prendra l’envie de bloquer un ou une série de comptes, alors que l’argent liquide aura été supprimé et qu’il n’existera aucune autre alternative pour régler ne serait-ce, que son pain. 
    Ainsi si les espèces sonnantes et trébuchantes étaient supprimées, la ponction des comptes bancaires ne connaîtrait plus aucune parade, puisqu’il serait impossible de les prévenir en retirant ses avoirs, ou en les transformant en valeurs refuges physiques, par exemple.
    Mais, me dira-t-on, il ne s’agit que des billets de 500 euros! Evidemment, mais les prétextes invoqués pour supprimer ce billet, ne peuvent que rendre perplexe quand on remet ce fait dans le contexte des lois depuis celle de 1973 avec leurs flots de restrictions de liberté qui s’accroissent d’autant de moyens de surveillance, d’interdits et d’obligations, alors que dans le même temps la volonté populaire est de plus en plus méprisée. Car il ne s’agit pas de supprimer le billet de 500 euros actuel pour le remplacer par un autre afin de lutter contre la fausse monnaie, mais de le supprimer tout simplement avec les commodités d’épargne qu’il permet dans un minimum de place…
    La dématérialisation de l’argent est une idée mondialiste qui fait son chemin depuis les USA, en passant par la Suède, l’Allemagne, la France, le Danemark, etc. Ce genre d’idées mondialistes est à ranger avec  le « mariage » homosexuel ou le gender ou les lois sur les discriminations à géométrie variable, qui sont destinées à se répandre sans limite pour l’esclavage de l’humanité. A moins d’une véritable réaction populaire. Mais comme les choses avancent en douceur sans révéler leur véritable objectif, les gens ne se méfient pas.
    La monnaie électronique interdira toute dissidence, tout commerce libre.  C’est la marque de la bête annoncée dans l’Apocalypse de Saint-Jean:
    16 Elle fit qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front,
    17
    et que nul ne pût acheter ou vendre, s’il n’avait pas la marque du nom de la bête ou le nombre de son nom.
     
    Certes, il restera le troc… et peut-être serait-il sain d’en revenir là!