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Avec Valls, Hollande et Cazeneuve, les immigrés passent avant les français de souche !

On le sait, c’est toujours pendant les vacances que les gouvernements font passer dans la plus grande discrétion les réformes les plus détestables. Ainsi en est-il de la loi Cazeneuve sur l’immigration dont on parle peu. Pourtant, cette réforme, sur la base du texte présenté par le gouvernement et des amendements parlementaires, transforme en profondeur les règles de l’entrée et du séjour en France aggravant considérablement l’actuelle législation. Trois changements sont particulièrement emblématiques de cette réforme. La première concerne le droit de séjour en France qui est fortement facilité. L’étranger, selon le projet de loi gouvernemental, arrivera avec un visa de long séjour d’un an. Puis une carte de longue durée, dite pluriannuelle de quatre ans, lui sera immédiatement délivrée, avant la carte de résident de dix ans. Le devoir de faire ses preuves pendant cinq ans, la conditionnalité qui s’attache aujourd’hui à la carte d’un an renouvelable disparaîtra. Le prétexte invoqué pour cette réforme est d’épargner à l’étranger de devoir se présenter plusieurs fois au guichet en préfecture. On voit à quel point la gauche se soucie du bien-être des allogènes ! Ajoutons qu’il est possible d’effectuer ces démarches par correspondance ou par Internet et que les immigrés n’ont donc pas besoin en réalité de se déplacer...

Le deuxième bouleversement, extrêmement profond lui aussi, porte sur le régime des étrangers malades. Depuis la loi Chevènement du 12 mai 1998, notre pays propose un dispositif particulièrement munificent aux immigrés en situation irrégulière sur le territoire français atteints d’une grave maladie. Alexis Théas, juriste interrogé par Le Figaro, explique que « cette disposition prévoit qu’une personne résidant en France depuis plus de trois mois, en situation illégale, bénéficie d’une régularisation de plein droit (délivrance de papiers) pour être soignée en France sous deux conditions : qu’elle soit atteinte d’une maladie d’une “exceptionnelle gravité” et qu’elle ne puisse pas être soignée dans son pays d’origine. Le critère de l’exceptionnelle gravité, prévu au départ pour le SIDA, a fait l’objet d’ interprétations extrêmement larges, s’appliquant à de nombreuses pathologies, notamment psychiatriques. Le second critère, sur la “possibilité d’être soigné dans le pays d’origine” a été interprété de manière limitative par les préfectures : la question est de savoir si la possibilité de donner le soin existe ou non, est présente, dans le pays d’origine. Le projet de loi Cazeneuve transforme profondément cette logique. Il oblige désormais l’administration à s’assurer que l’intéressé a personnellement la possibilité d’accéder, dans son pays, à ce soin : moyens financiers, couverture sociale, proximité géographique de son domicile. Sinon, il doit être régularisé pour être soigné en France! Le sujet n’est pas totalement nouveau. Le Conseil d’Etat en 2010 avait déja tenté d’imposer cette interprétation large (arrêt Jabnoun). Le gouvernement Fillon s’y était aussitôt opposé par une loi de 2011. »

On le voit, le gouvernement accorde dans les faits des soins gratuits à tous les étrangers, favorise l’invasion du pays et des hôpitaux alors que les Français sont sans cesse mis à contribution pour boucher le trou de la Sécurité sociale, qu’un nombre croissant de médicaments sont déremboursés, que tout ce qui concerne la dentition et la vue n’est quasiment pas pris en charge par la Sécu, que des Français de souche ne se soignent pas, renoncent à des soins ou y surseoient faute de moyens. Quelle infamie ! Disons-le tout net, la réforme Cazeneuve revient à ouvrir la possibilité d’obtenir le droit au séjour et à l’accès gratuit aux soins en France à toute personne malade (ou prétendue telle) dans le monde et n’ayant pas les moyens de se faire soigner dans son pays. Au moment où les migrants arrivent par bateaux entiers, à cause du chaos libyen, envahissent littéralement l’Italie et qu’ils sont à nos portes, cette réforme est criminelle, agissant d’évidence comme une pompe aspirante. C’est d’ailleurs son objectif réel.

 

Le troisième volet de la réforme concerne les reconduites à la frontière des immigrés en situation irrégulière. La mise en œuvre de ces mesures d’éloignement par les préfectures et la police est d’ores et déjà extrêmement difficile. Le préfet, sous le contrôle du juge administratif, disposait jusque-là de cinq jours pour essayer de mener à bien le retour du clandestin dans son pays. La loi Cazeneuve va abroger cette disposition pourtant déjà très timide et donner au juge des libertés la possibilité d’interrompre le maintien en rétention dès 48 heures après le placement par le préfet. Cette mesure crée d’évidence un obstacle supplémentaire majeur à la mise en oeuvre de mesures d’éloignement déjà très délicates à réaliser. On le voit, cette réforme désireuse de donner des gages à l’aile gauche de la majorité et aussi d’obtenir facilement des électeurs supplémentaires en régularisant puis en naturalisant les immigrés ainsi attirés ou maintenus chez nous est un message adressé aux migrants qui se précipiteront en grand nombre dans un pays qui leur est si favorable dans sa législation. Cette réforme qui assouplit les permis de séjour, facilite l’octroi de soins à toute personne posant le pied en France et en faisant la demande et qui rend quasiment impossibles les reconduites aux frontières est un acte de haute trahison de la part du gouvernement et des parlementaires qui l’entérinent.

La preuve de la fourberie des dirigeants de la France, l’adoption de la loi est prévue pour les tous derniers jours de la session parlementaire de juillet, lorsque les Français sont abreuvés d’images de tracteurs ou de feux de forêts, comptent les morts de la canicule ou ne s’intéressent qu’à leurs vacances. Qui se soucie de ces débats dont les media ne soufflent quasiment pas un mot ? Peut-être ces familles françaises accablées d’impôts qui, à partir du mois d’août, voient leurs allocations réduites de moitié car jugées trop riches. Tout le monde n’a pas la chance d’élever une douzaine de « chances pour la France », rappeurs en herbe ou apprentis djihadistes. Il faut que les parents qui travaillent tous les deux paient pour les Français de papier au chômage, pour les étrangers sidaïques qui n’ont pas accès aux soins chez eux. L’avenir de notre peuple est décidément bien sombre : se faire tondre comme des moutons par des gouvernants qui les spolient et les dépossèdent et demain peut-être se faire égorger par des envahisseurs qui ont la haine !

 

Face à ce nouveau coup porté contre notre peuple et notre nation, face à l’aggravation du processus d’invasion, de colonisation, de submersion et de Grand Remplacement, on aurait aimé que le Front national fût en pointe et audible pour faire entendre la voix des Français qui ne veulent pas mourir et qui ne se résignent pas à leur disparition, à leur assassinat programmé et froidement exécuté. Las, depuis des mois, Marine Le Pen est obsédée par la volonté de liquider à tout prix son père auquel pourtant elle doit tout pour complaire au système médiatique et aux lobbies. On l’a appris le 24 juillet, Jean-Marie Le pen sera jugé dans les mois qui viennent devant la XVIIe chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris pour avoir répété le 2 avril dernier ses propos sur « les chambres à gaz, détail de l’histoire ». Preuve de la soumission de la quasi-totalité des esprits à la vulgate, c’est cette affaire qui a conduit la direction du Front national à vouloir évincer du mouvement le père fondateur. Ce qui est proprement mirobolant. C’est exactement comme si l’on avait naguère chassé François Mitterrand du PS, Jacques Chirac du RPR, Georges Marchais ou Maurice Thorez du Parti communiste. L’impensable s’est pourtant réalisé. Malgré toutes leurs trahisons, leurs turpitudes, leurs coups tordus, jamais les directions successives du PC, du PS ou du RPR n’auraient envisagé d’exclure de leurs rangs leur fondateur ou leur chef historique. On mesure toute l’indécence, l’outrecuidance de Marine Le Pen dans cette affaire. Et là c’est encore plus grave car il s’agit de son père. L’homme de sa vie comme elle le définissait naguère. Celui qui l’a faite femme et femme politique, ainsi qu’elle l’affirmait avec une sincérité dont on peut aujourd’hui fortement douter dans son discours d’intronisation au congrès de Tours en janvier 2011. Comment peut-on ainsi sans se suicider couper avec ses racines, celle de sa famille tant politique que biologique ?

 

 

 

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