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  • Une véritable décérébration de l’humanité...

    Notre société est devenue celle du « zapping ». Notre esprit ne sait plus s’arrêter pour prendre le temps de réfléchir. À toute vitesse elle saute d’une information à une autre.

    Une étude vient d’être diligentée par Microsoft sur 2.000 Canadiens. Il s’agissait d’apprécier leur capacité à se concentrer. 112 d’entre eux ont bénéficié d’un électroencéphalogramme ; ceci permettant en quelque sorte de signer sur papier la réalité des conclusions à apporter. Quelles sont-elles ?

    40 % des Canadiens estiment avoir des difficultés de concentration. Les plus touchés sont ceux qui ont une addiction au smartphone ; à propos de celle-ci, un certain nombre de psychiatres estiment qu’il s’agit d’un véritable trouble psychologique, une maladie qu’il est nécessaire de soigner. En première ligne sont concernés les jeunes de 18 à 24 ans et en général les grands consommateurs de « réseaux sociaux ».

    Par ailleurs la capacité de concentration de chacun des sujets étudiés est passée en dix ans de 12 secondes à 8 secondes. Par comparaison le poisson rouge dans son bocal se concentre une seconde de plus que l’homme. Cette situation est à impliquer principalement à la multiplication des contacts accrus avec les ordinateurs, les tablettes et autres smartphones permettant le zapping permanent. À l’extrême, l’homme moderne peut tout à fait regarder la télévision et en même temps pianoter sur un de ces appareils. Est-ce un bien ?

    Certainement pas, car toute activité humaine créatrice de quelque nature que ce soit, nécessite une concentration et une réflexion. Pour construire une belle maison ou élaborer un plat savoureux, il faut du temps, de l’attention. Sinon on en reste aux HLM et au hamburger. La France a la correspondance de la situation décrite par les Canadiens ; c’est l’effondrement de la culture et de la vie associative qui y est liée. Mais aussi une improvisation totale telle que nous voyons désormais en politique. 

  • Quand Hollande envoie des porteurs de valise et franc-maçons apatrides au Panthéon ...

    Tous les ingrédients y étaient. « Quatre figures, deux hommes, deux femmes » qui, tous, à un moment ou à un autre de leur vie, voire leur vie durant, ont agi, volontairement ou involontairement, contre leur patrie. Le discours consternant de révisionnisme et de niaiserie républicaine d’un président obsédé à l’idée de marquer l’Histoire. Sans oublier, bien sûr, l’inévitable couplet sur « ces haines qui reviennent » et qu’il faut absolument « conjurer ».


    Certes, il ne fallait pas attendre de miracle de cette bouffonnerie républicaine. Les noms des « panthéonisés », choisis par Hollande en personne et non par un comité de sages comme il est d’usage, annonçaient à eux seuls la couleur : de Jean Zay, pour qui notre drapeau était « de la race vile des torche-culs » à la porteuse de valises Germaine Tillon, en passant par le franc-maçon Pierre Brossolette et la militante des droits de l’Homme Geneviève de Gaulle-Anthonioz, nul doute que la Patrie, la vraie, ne serait guère à l’honneur ce jour-là.

    Ne manquait plus que – dixit son entourage – « l’un des plus grands discours du quinquennat » du pingouin, dont les grandes lignes devaient d’ailleurs lui être soufflées par les historiens officiels que sont le socialiste Jean-Pierre Azéma, le « dreyfusard » Vincent Duclert et Mona Ozouz, ainsi que par quelques proches, dont Manuel Valls, Najat Vallaud-Belkacem ou encore Jack Lang. Et le résultat, sans surprise, fut à la hauteur du « casting ».

    Ainsi le franc-maçon Jean Zay, qui hurlait en 1924 sa haine du drapeau français pour tout ce qu’il représente, Germaine Tillon, l’amie de l’égorgeur fellouze Yacef Saadi et grande dénonciatrice de la « torture », honorée en 2003 par le gouvernement de Bouteflika, Pierre Brossolette et Geneviève de Gaulle-Anthonioz devenaient-ils, dans la bouche de Hollande, « le meilleur » de notre pays, un « exemple à la France toute entière pour inspirer les générations nouvelles », et des « héros » qui ont été « indissociablement soudés par le même amour, l’amour de leur patrie » !

    « L’amour de leur patrie »… On a beau être habitués aux énormités « hollandaises », on en mourrait presque de rire. Mais au fond, l’essentiel du message présidentiel ne résidait pas dans ces biographies revisitées. Ce qu’il fallait surtout rappeler, c’est que « 70 ans après, ces haines reviennent, avec d’autres figures, dans d’autres circonstances, mais toujours avec les mêmes mots et les mêmes intentions ». Et Hollande de déclamer alors : « l’indifférence, voilà l’ennemi contemporain. Indifférence face au fanatisme, au racisme, à l’antisémitisme. » Avant d’ajouter : « face à l’indifférence, chaque génération a un devoir de vigilance, de résistance. Et chaque individu a le choix d’agir (…) A notre tour, nous devons faire les choix qui correspondent aux défis d’aujourd’hui. » Or, « faire les choix qui correspondent aux défis d’aujourd’hui », c’est bien sûr voter socialiste …



     

  • Des évêques français, suisses et allemands en réunion secrète ce lundi pour préparer le Synode… contre la Famille !

    C’est ce lundi de Pentecôte que des évêques français, suisses et allemands, tous connus pour être des « progressistes », se réuniront en secret pour se concerter en vue du Synode consacré à la Famille et établir leur stratégie pour obtenir la subversion de la doctrine catholique  à propos des divorcés remariés et des homosexuels. 

    Cette réunion à huis clos se déroulera ce lundi 25 mai, à Rome, dans les locaux de l’université jésuite de la Grégorienne. Une cinquantaine de participants sont attendus. Parmi eux, le cardinal Walter Kasper, qui fait partie du conseil rapproché du Pape François, ainsi que le cardinal Reinhard Marx, président de la conférence des évêques allemands, qui prononcera le mot de conclusion de cette journée.

    Malgré le caractère secret de cette réunion, des fuites ont permis d’en savoir un peu plus sur les noms des participants. Les noms de « théologiens réformateurs » sont cités : le jésuite français Alain Thomasset (qui prône explicitement le conflit avec le magistère), l’allemande Eva-Maria Faber (qui réclame de mettre fin à la notion d’indissolubilité du mariage), l’allemand Eberhard Shockenhoff (qui milite pour que l’ Eglise soutienne les homosexuels) viendront « éclairer » les prélats invités.

    Le programme est clair : une journée d’études centrée sur l’accueil des divorcés remariés et des personnes homosexuelles dans l’Église.

    Depuis que le secret de cette réunion a été percé, plusieurs évêques s’offusquent de ces manœuvres occultes.