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Aggravation et accélération des avortements, la politique du Grand remplacement dans ses oeuvres: vers un avortement pour quatre naissances ...

Dans la nuit, les députés ont supprimé en commission le délai de réflexion de sept jours imposé aux femmes souhaitant avorter, dans un amendement au projet de loi Santé.

Actuellement, deux consultations médicales sont obligatoires avant un avortement, -appelé pudiquement IVG-, avec un délai de réflexion d’une semaine entre les deux. Ce délai de réflexion est « infantilisant » selon la député PS hystériquement féministe, Catherine Courtelle; il a pour tort de stigmatiser « l’avortement comme un acte médical à part ».; elle a donc déposé un amendement pour la suppression de ce laps de temps. Le ministre de la Santé, Marisol Touraine, voulait simplement le réduire à 2 jours. Mais dans la nuit du 18 au 19 mars, les députés ont supprimé purement et simplement le délai de réflexion, en commission des affaires sociales. C’est plus simple!

Vers la suppression de la clause de conscience des médecins ?

La présidente de la délégation aux Droits des femmes Catherine Coutelle (PS) a également proposé de supprimer la clause de conscience permettant aux médecins de refuser de pratiquer une IVG. Elle estime que cette disposition spécifique à l’avortement est redondante avec la clause de conscience générale, s’appliquant à tous les actes médicaux et inscrite dans le Code de la santé publique.

La ministre de la Santé Marisol Touraine a émis « un avis résolument défavorable » à cet amendement, jugeant qu’il ne fallait pas « ranimer de débat éminemment symbolique dans un contexte de tensions sur un certain nombre de sujets de société ». Du coup Catherine Coutelle a accepté de retirer son amendement.

On le voit la politique de mort avance à grands pas dans notre pays et pas seulement en raison des menaces islamistes ou en raison des accidents de la route. On ne sait pas encore si certains députés se sont élevés contre cette loi barbare.

 

Totalitarisme: contrôle de la vie 

Cela intervient suite au programme national d’action pour améliorer l’accès à l’avortement qui a été publié en janvier par le Marisol Touraine; il prévoit notamment le remboursement intégral de l’avortement volontaire. Ces mesures interviennent dans un climat de totalitarisme général et plus particulièrement en ce qui concerne la vie.  Il s’agit notamment d’établir une liste des établissements de santé « dont l’activité d’IVG est insuffisante ». Ces établissements devront, dans le cadre de contrats d’objectifs et de moyens, s’engager sur des quotas d’avortements, à hauteur d’1 avortement pour 4 naissances.

Le Grand remplacement

L’objectif est clair, détruire la vie! Mais pas n’importe quelle vie. Les populations d’origine musulmanes qui envahissent notre pays, -par terre, par air et par mer-, elles, grâce à la politique propice aux prétendues « familles uniparentales », peuvent multiplier les naissances à la faveur de la tolérance de la polygamie et grâce à la possibilité pour les musulmans de faire des mariages religieux sans passer par la mairie. Le tout subventionné par les aides sociales...

 

Bompard, un homme courageux .

 

Bien décidé à tout mettre en œuvre pour s’opposer aux projets criminels d’une majorité socialiste qui traite l’avortement « dans une démarche purement idéologique », le député-maire d’Orange demande aujourd’hui que l’on fasse écouter le cœur de leur enfant aux femmes souhaitant avorter, afin de leur « faire prendre conscience de la réalité de ce qu’elles portent ».

Chacun a encore en mémoire le discours poignant que Jacques Bompard avait prononcé en novembre dernier devant les députés qui venaient d’adopter à 143 voix contre 7 – honte à eux ! – la proposition de résolution réaffirmant le « droit fondamental » à l’IVG. Dénonçant les « nombreux attentats contre le bon sens », il avait alors demandé pardon – entre autres – « pour les enfants qui ne naîtront pas » et pour les « 225 000 parents en France qui disparaissent devant la grande coalition du prêt à penser et de la culture de mort ».

Depuis, la « grande coalition » a encore avancé ses pions, faisant adopter mercredi par l’Assemblée la suppression du délai de réflexion de sept jours imposé aux femmes souhaitant une IVG. Mais le fondateur de la Ligue du Sud ne désarme pas. Dans un amendement déposé le 27 mars, il demande non seulement que « des solutions alternatives » soient proposées à la mère, mais aussi qu’on lui fasse écouter le cœur de son enfant afin de lui faire prendre conscience qu’elle porte une vie en elle .

 

Bien décidé à tout mettre en œuvre pour s’opposer aux projets criminels d’une majorité socialiste qui traite l’avortement « dans une démarche purement idéologique », le député-maire d’Orange demande aujourd’hui que l’on fasse écouter le cœur de leur enfant aux femmes souhaitant avorter, afin de leur « faire prendre conscience de la réalité de ce qu’elles portent ».

Chacun a encore en mémoire le discours poignant que Jacques Bompard avait prononcé en novembre dernier devant les députés qui venaient d’adopter à 143 voix contre 7 – honte à eux ! – la proposition de résolution réaffirmant le « droit fondamental » à l’IVG. Dénonçant les « nombreux attentats contre le bon sens », il avait alors demandé pardon – entre autres – « pour les enfants qui ne naîtront pas » et pour les « 225 000 parents en France qui disparaissent devant la grande coalition du prêt à penser et de la culture de mort ».

Depuis, la « grande coalition » a encore avancé ses pions, faisant adopter mercredi par l’Assemblée la suppression du délai de réflexion de sept jours imposé aux femmes souhaitant une IVG. Mais le fondateur de la Ligue du Sud ne désarme pas. Dans un amendement déposé le 27 mars, il demande non seulement que « des solutions alternatives » soient proposées à la mère, mais aussi qu’on lui fasse écouter le cœur de son enfant afin de lui faire prendre conscience qu’elle porte une vie en elle.

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Bien décidé à tout mettre en œuvre pour s’opposer aux projets criminels d’une majorité socialiste qui traite l’avortement « dans une démarche purement idéologique », le député-maire d’Orange demande aujourd’hui que l’on fasse écouter le cœur de leur enfant aux femmes souhaitant avorter, afin de leur « faire prendre conscience de la réalité de ce qu’elles portent ».

Chacun a encore en mémoire le discours poignant que Jacques Bompard avait prononcé en novembre dernier devant les députés qui venaient d’adopter à 143 voix contre 7 – honte à eux ! – la proposition de résolution réaffirmant le « droit fondamental » à l’IVG. Dénonçant les « nombreux attentats contre le bon sens », il avait alors demandé pardon – entre autres – « pour les enfants qui ne naîtront pas » et pour les « 225 000 parents en France qui disparaissent devant la grande coalition du prêt à penser et de la culture de mort ».

Depuis, la « grande coalition » a encore avancé ses pions, faisant adopter mercredi par l’Assemblée la suppression du délai de réflexion de sept jours imposé aux femmes souhaitant une IVG. Mais le fondateur de la Ligue du Sud ne désarme pas. Dans un amendement déposé le 27 mars, il demande non seulement que « des solutions alternatives » soient proposées à la mère, mais aussi qu’on lui fasse écouter le cœur de son enfant afin de lui faire prendre conscience qu’elle porte une vie en elle.

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