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  • Avec Belkacem, l' Education Nationale continue encore plus à déstructurer les esprits .

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    Il aura fallu vingt morts pour exhumer un peu de bon sens d’un fatras idéologique imbécile. Enfin, plutôt pour annoncer que désormais, c’est promis, finies les bêtises, terminées les absurdités, on restaure l’autorité à l’école, nom d’un chien ! Papa ne porte plus de robe, Fifille ne joue plus avec des chars d’assaut ou des haltères de musculation et Fiston, juché sur des talons hauts, arrête de se gribouiller de mascara.
     
    Comment une classe politique entière, Belkacem et Rossignol en tête, a-t-elle pu vouloir imposer leurs inepties, que seule une caste « hors sol » peut défendre. Qu’elles aillent dans les campagnes, dans la France profonde, celle dont le sang des aïeux abreuve les sillons de l’Histoire. Qu’elles aillent demander en Vendée, dans le Massif Central, chez les Savoyards des Glières ou d’ailleurs, dans les villages du Chemin des Dames, enfin partout où est la vraie France, si le souci du temps présent consiste à demander à des petites filles, à qui l’on n’enseigne ni à parler, ni à lire ni à compter, si elles ne préfèreraient pas, après tout être des garçons ! Ou à convaincre des petits garçons que l’utilisation de leur zizi prime sur les apprentissages élémentaires.
     
    Ah ! Les garnements ne veulent pas chanter la Marseillaise ! Mais, c’est pas bien du tout, ça ! C’est pas « citoyen » ! Oh, les pauvres choux ! Jusqu’à présent, on s’est interdit de les réprimander ! Vous pensez, une punition ! Pas bien du tout ! Pas compatible avec les valeurs de la République !
     
    Et il a fallu un double attentat islamiste pour prendre un tout petit peu conscience de l’absurdité de la direction prise par l’école, alors qu’un nombre croissant de gens sensés tirent le signal d’alarme depuis des années.
    Et la mini-ministre de constater : « La question de l’autorité à l’école se pose. ».
    Quelle candeur ! A-t-elle trouvé cela tout seule ou le lui a-t-on soufflé ?
    Elle découvre l’eau tiède, le fil à couper le beurre.
     
    On a tout fait pour ne rien enseigner aux enfants et on est tout choqué de voir que l’on a réussi, que nos élèves, ou du moins certains d’entre eux, se foutent complètement du prof, de l’école, du contenu, de ce qu’il faut savoir pour être un adulte responsable. Qu’ils n’ont pas la plus petite notion de politesse élémentaire – se lever lorsque le prof entre en classe, vous n’y pensez pas ! c’est traumatisant –, qu’ils n’imaginent même pas qu’ils aient à apprendre le B. A. BA de la vie en commun. Alors on fait mine de s’effaroucher : « Y’a plus d’autorité » ! Oh ! le désastre ! Et le coup des gommettes de couleur pour remplacer les notes, cela ne remonte quand même pas à Mathusalem : elle est mouillée jusqu’au coup dans cette imposture, notre brillante et émérite ministre. Au passage, jamais une fonction n’a mieux porté son nom : ministre… même racine que minus !
    Alors on va corriger le tir : des cours de morale, des cours d’histoire des religions, des cours de laïcité, des cours de ceci…, des cours de cela… Et on croit que cela va changer les choses !
     
    Une suggestion : si l’on en revenait aux bonne vieilles bases : parler (avec plus de quatre cent mots), écrire (en évitant cinq fautes d’orthographe ou de syntaxe par ligne), apprendre par cœur (les fables de La Fontaine, par exemple) et compter (sans calculette). La refondation de l’école n’est pas une révolution des méthodes ; elle ne devrait pas non plus consister à tirer à vue sur des enfants que les parents peuvent aider – les fameux enfants « favorisés » ! – en déployant tout l’énergie nécessaire pour que tout le monde se retrouve au sous-sol de la connaissance élémentaire, sinon, « y’ a pas d’égalité ! ». La vraie refondation, celle qui est inéluctable, consiste à jeter au feu toutes les idioties qui ont gâché des générations d’élèves, qui ont fait plonger la France au plus bas de tous les classements internationaux, qui montrent, aujourd’hui, à la grande surprise des responsables du dossier, leur échec patent. Dans cette grande lessive, on pourrait également demander des comptes à tous ces fonctionnaires, hauts ou moins hauts, qui, sans l’ombre d’une esquisse de légitimité, ont influencé, dirigé, et finalement imposé cette désastreuse politique menée à marche forcée depuis des décennies par des cohortes de ministres impuissants à faire valoir le plus élémentaire bon sens.
     
    Aujourd’hui, la seule entreprise française qui résiste à la crise, c’est « la Fabrique du crétin », chère à F. Brighelli.
     
     
     

  • La montée de l' islamisme en France doit être interprétée comment un châtiment divin.

     

    L'islamisme, châtiment des peuples hérétiques et apostats

     

    Publié le 29 janvier 2015 par Clément LECUYER
    L'islamisme, châtiment des peuples hérétiques
     
     Instruit à l’école des saintes Écritures, l'historien chrétien sait que l’asservissement des peuples sous le joug de fer de la conquête est à la fois un châtiment du Ciel pour les prévarications d’un peuple, et un exemple terrible donné aux autres nations. C’est bien le moins, en effet, qu’un chrétien comprenne ce que comprenait un barbare, une espèce de sauvage, Attila, en un mot, qui se définissait lui-même le Fléau d’un Dieu qu’il ne connaissait même pas.
     N’en doutons pas, l’islamisme n’est point simplement une révolution d’Arabes qui s’ennuient sous la tente, et auxquels un chef habile a imprimé une surexcitation qui les pousse tout à coup à la conquête des villes les plus luxueuses de l’Orient. Non ; mais Dieu a laissé prévaloir pour un temps l’antique ennemi de l’homme, et lui a permis de choisir un organe à l’aide duquel il séduira les peuples, en même temps qu’il les asservira par le glaive. De là, Mahomet, l’homme de Satan, et le Coran, son évangile. Or, quel est le crime qui a poussé ainsi à bout la justice de Dieu, et l’a portée à abandonner ces peuples à un esclavage dont nous ne prévoyons pas encore la fin ? L’hérésie est ce crime odieux, qui rend inutile la venue du Fils de Dieu en ce monde, qui proteste contre le Verbe de Dieu, qui foule aux pieds l’enseignement infaillible de l’Église. Il faut qu’il soit puni et que les nations chrétiennes apprennent qu’un peuple ne s’élève pas contre la parole révélée sans s’exposer à voir châtier, même dès ce monde, son audace et son ingratitude. Alors succombent et Alexandrie, second siège de Pierre et Antioche, où il siégea d’abord, et Jérusalem, qui garde le tombeau glorieux. Dans ces villes fameuses, il y a bien encore un peuple que l’on a vu tantôt orthodoxe, tantôt hérétique, au gré de ses patriarches ; la servitude qu’ont déchaînée les blasphèmes de cette autre population plus nombreuse qui suit les dogmes impies de Nestorius et d’Eutychès, vient envelopper ces restes catholiques d’une église autrefois si florissante, comme les eaux du déluge engloutirent les pécheurs repentants avec la foule des méchants que Dieu avait résolu de perdre, comme la peste, quand Dieu la lance sur un pays, moissonne à la fois les amis de Dieu et ses ennemis.
     Le flot s’arrête devant Constantinople et n’inonde pas encore les régions qui l’avoisinent. L’empire d’Orient, devenu bientôt, l’empire grec, est mis à même de profiter de la leçon. Si Byzance eût veillé à la foi, Omar n’eût visité ni Alexandrie, ni Antioche, ni Jérusalem. Un délai est accordé ; il sera de huit siècles ; mais lorsque Byzance aura comblé la mesure, le croissant vengeur reparaîtra. Ce ne sera plus le Sarrasin, il est usé ; mais le Turc, et Sainte-Sophie verra badigeonner ses images chrétiennes et peindre par dessus les sentences du Coran,parce qu’elle est devenu le sanctuaire du schisme et de l’hérésie. Mais nous reviendrons sur Byzance. À l’époque que nous repassons, le Sarrasin, après avoir asservi les trois villes saintes, plonge jusqu’à l’Arménie, dont le peuple a embrassé l’erreur monophysite ; il se jette sur le littoral de l’Afrique, souillé par l’arianisme, et d’un bond il arrive en Espagne. Il en sortira de force, car l’hérésie n’est plus là : il faudra seulement du temps. Quant à son audace de pénétrer jusque sur le sol français, il l’expiera durement dans les champs du Poitou. L’Islam s’était trompé ; là où l’hérésie ne règne pas, il n’y a pas place pour lui. En retour de cette prouesse, il recevra dans la Péninsule plus d’une visite de ce Charles-le-Grand, toujours orthodoxe et toujours vainqueur, qui, en chevalier du Christ, vient en aide à ses frères d’Espagne. Arrêtons-nous ici, après avoir salué la justice de Dieu sur l’hérésie et reconnu la vraie cause des triomphes de l’islamisme, et l’unique raison de la permission divine à laquelle il doit d’avoir existé, de n’avoir pas été une secte obscure et éphémère au fond de l’Arabie.
     L’historien chrétien n’oubliera pas non plus de montrer l’islamisme accomplissant une autre mission de justice ; mais cette fois, c’est contre le polythéisme et l’idolâtrie. En dépit de lui-même, Satan devra descendre de plus d’un autel ; car le Coran proclame l’unité de Dieu, la spiritualité de Dieu, l’horreur pour le culte des idoles. La Perse est réduite par le cimeterre à abjurer son sabéisme, auquel elle a immolé tant de martyrs chrétiens. Ce point de vue, que je ne fais qu’indiquer, s’harmonise avec l’ensemble ; car la connaissance du vrai Dieu est un pas vers le christianisme, et la route frayée à travers les débris de l’idolâtrie doit conduire à Jésus-Christ tout homme de bonne volonté.
     
     C’est ainsi que la miséricorde et la justice s’unissent dans la permission donnée au mahométisme de prévaloir pour un temps. Mais « la lumière a lui dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point comprise. » Que du moins le chrétien comprenne et qu’il rende gloire à cet ordre surnaturel sans lequel l’histoire n’est qu’une énigme indéchiffrable, avec lequel nous suivons siècle par siècle les plans de Dieu.
     Auteur : Dom Gueranger, 4 juin 1858
     
  • Mariage gay et mariage musulman en France .

    Les conventions et les traités internationaux ont une autorité supérieure au droit français. C’est pourquoi, jusqu’ici, les « mariages » d’homosexuels étaient rejetés si l’Etat du partenaire étranger ne le reconnaissait pas. C’est le cas du Maroc. La convention franco-marocaine prévoit que la loi s’appliquant à chacun des « conjoints » est celle de son pays. Par conséquent, un homo marocain ne peut se « marier » en France.

    Mais le lobby gay ne l’entend pas ainsi qui, à l’occasion de l’annulation  d’une telle union par le procureur de Chambéry, a saisi la Cour cassation. Or, celle-ci a donné raison aux intéressés, leur « mariage » ne sera pas annulé. Ce qui ouvre la voie aux ressortissants de tous les pays qui sont dans le même cas : la Pologne, le Monténégro, la Serbie, le Kosovo, la Slovénie, la Tunisie, l’Algérie, le  Cambodge, le Laos, etc. On comprend la réaction de la Manif pour Tous qui, à juste titre, dénonce cette volonté « d’imposer » une loi française à des nations qui n’en veulent pas. Les homosexuels auraient donc la liberté de se « marier » et les Etats dont ils sont ressortissants pas celui de le refuser ?

    Pour quel motif la Cour de cassation a-t-elle cru devoir rendre cette décision ? Au-dessus de la convention entre nos deux pays, dit-elle, il y a le respect de l’ordre public, or le droit au mariage en relève et on ne peut priver personne du mariage, tranche la Cour.

    Laissons aux juristes le soin de commenter et sans doute de contester cet arrêt. Nous nous bornerons à constater que le droit au mariage au nom de l’ordre public n’est pas défendu avec le même zèle.

    En effet, un Français qui veut se marier, en France, avec une Marocaine, doit préalablement se convertir à l’islam. C’est écrit en toutes lettres sur le site du consulat du Maroc.

    Que se passe-t-il si on passe outre ? Le mariage français n’est pas reconnu dans le royaume chérifien, en conséquence, la femme qui y vit avec un homme sans être mariée, au regard de loi marocaine, tombe sous le coup de l’article 490 du code pénal local : « Sont punies d’emprisonnement d’un mois à un an, toutes personnes de sexe différent qui, n’étant pas unies par les liens du mariage, ont entre elles des relations sexuelles. » La femme est considérée comme une prostituée et les enfants issus de cette union seront considérés comme des bâtards.

    Quand nous disons : « s’ils passent outre », cela veut dire que le couple franco-marocain se marie dans une mairie de l’Hexagone. Mais ce n’est pas gagné ! Car on y applique… le droit marocain ! Témoin le cas, exposé par l’AFP et Le Point d’un Français, habitant Aubervilliers, qui, en 2012, s’est vu demander par la mairie un document qui prouvait sa conversion à l’islam, il s’agit du « certificat de coutume » délivré par le consulat du Maroc. Le maire socialiste, Jacques Salvator, a confirmé en déclarant « être tombé de sa chaise » en l’apprenant : « Il n’est pas normal de se soumettre à des exigences confessionnelles pour se marier avec un homme ou une femme étrangère. »

    Qu’attend donc le pouvoir, qui n’a que le mot « laïcité » à la bouche, pour mettre fin à ce scandale, ou seul le « mariage » homo est-il digne d’intérêt pour lui ? ...